Voler du temps………

Voler du temps
Exposition collective
du 21 au 30 avril 2010

L’Œuvre de l’Autre, le centre d’exposition de l’UQAC présente, du 21 au 30 avril, l’exposition collective « VOLER DU TEMPS » qui regroupe les travaux de 12 étudiants-es à la maîtrise « interdisciplinaire » en art, guidés ici par l’artiste montréalais Guy Laramée. Chevauchant 4 disciplines – arts visuels, arts numériques, théâtre et cinéma – ces travaux sont un avant-goût de la production finale de ces étudiants-es chercheurs.

À la jonction entre un texte du transcendentaliste Henry David Thoreau et les démarches de ces artistes en devenir, cette exposition est l’occasion de fouiller les rapports entre le travail d’atelier et la vie en société, entre la subjectivité et l’objectivité, entre la participation et l’observation.

Le vernissage sera précédé à 13h d’une présentation publique des artistes à laquelle le public est convié. La soirée se poursuivra jusqu’à 20 h avec la présentation des travaux théâtraux ainsi que la projection d’un film.

ERUOMA AWASHISH
ERIKA BRISSON
NATHALIE LAVOIE
ANICK MARTEL
SYLVIE MARTIN
JESSICA MORIN
LUIS ORTEGA GIL
GUILLAUME OUELLET
ALEXANDRE RUFIN
MATHIEU TARDIF
KARINE TREMBLAY
PIERRE TREMBLAY-THERIAULT

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Fin de recherche


Le résultat de la recherche de maîtrise de Samuel Larouche Cauchon a été divulgué hier lors du vernissage de son exposition. Il lui reste à se présenter devant son jury le 12 avril prochain.
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Samuel Larouche Cauchon

Vernissage mercredi 31 mars à 17h
L’exposition se poursuit jusqu’au 16 avril.

«Ma démarche artistique propose, par le biais de la photographie et de la vidéo, une similitude entre l’image numérique et l’image du réel. L’image du réel fait agir ma perception, mes intuitions et le hasard dans les situations de mon quotidien et de celui des individus que j’observe. Les personnes que je décide volontairement de m’arrêter pour les regarder tout en me questionnant sur le geste que je suis en train de commettre, voler l’image, et ce, à mes propres fins; capturer un fragment du moment présent. On me qualifie d’artiste-observateur proche des documentaristes et des photographes de rue, car je tente de documenter mon époque, ma situation et mon environnement visuel. Je fais un constat de ma relation avec mon entourage. J’entretiens un rapport singulier avec les choses qui croisent mon regard. Je traque les images de manière à être le plus anonyme et discret que possible afin que les personnes qui sont observées ne se sentent pas épiés par l’appareil et surtout par mon geste artistique.

Aux aguets, je tente de rassembler le plus d’images possible. Ma méthode entretient un lien avec la temporalité et l’accumulation de traces photographiques. Je suis à la recherche d’un contact visuel avec l’être humain, son environnement et une appartenance avec ce qui se trouve dans mon entourage. Mon esthétique reflète ce qui se passait au moment où j’ai décidé d’en saisir l’action. Je me laisse porter par les aléas de ma vie. Je m’intéresse aux images qui portent les caractéristiques de la prise sur le vif, c’est-à-dire une image qui est guidée par l’impulsion de la vie, qui est caractérisée par l’émergence de la situation. Je saisis une image sans en aviser le sujet, car je ne veux pas que mon acte modifie les habitudes, les gestes et les expressions des personnes que je décide de capturer. Je désire qu’ils restent dans l’ignorance de mon geste artistique, puisque je privilégie des images qui représentent des personnes dans leur milieu de vie, des personnes dans leur quotidien. Je m’oppose à l’idée de la mise en scène qui est à mon avis souvent trop préfabriquée, car elle contient des individus dont le regard est conscient de l’acte du photographe et de ce fait même, modifie la relation avec ce qui est observé.

Les sujets que je choisis d’observer sont également en relation avec le lien que j’entretiens avec mon entourage, mes proches, mon lieu de travail, des endroits privilégiés, mes déplacements, etc. Je cadre de façon intuitive tout ce qui est sujet à être saisi. J’utilise ce qui se trouve autour de moi afin d’en produire mon propre sens tout en me questionnant sur les différences entre l’image fixe et l’image en mouvement. Est-ce que le mouvement ajoute du sens à l’image? Diminue-t-il la signification de l’interprétation? Une image à elle seule peut-elle en dire davantage sur son contenu? Est-ce que plusieurs images peuvent rendre une situation plus explicite?»

-Samuel Larouche Cauchon est détenteur d’un baccalauréat interdisciplinaire en art de l’UQAC et poursuit une maîtrise depuis 2007 qui se termine avec la présentation de cette exposition.

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Réunis autour du cercle

De gauche à droite: Michaël La Chance, président des Éditions Interventions et membre du comité de rédaction de Inter Art Actuel, auteur de Mytism, Terre ne se meurt pas
Joséphine Bacon, poétesse bien connue ayant des textes dans Inter Art Actuel et dans Moebius, auteur de Bâtons à message, Tshissinuatshitakana
Marco Bacon, directeur du Centre des Premières Nations Nikanite, UQAC
et Guy Sioui Durand, sociologue et auteur

Photo: Alizée Tallaron, stagiaire

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Lancements d’œuvres littéraires

Monsieur Marco Bacon, directeur du Centre des Premières Nations Nikanite, et Monsieur Marcel Marois, directeur du centre d’exposition de l’UQAC, vous invitent à L’Oeuvre de l’Autre pour un lancement d’oeuvres littéraires, le jeudi 25 mars, à midi.

Vous aurez l’occasion de rencontrer messieurs Guy Sioui Durand, auteur et sociologue; Michaël La Chance, président des Éditions Interventions et membre du comité de rédaction d’Inter Art Actuel, Mathieu Valade, professeur en arts et auteur de l’installation «Aura» présentement en montre à la Galerie, fera une brève présentation de son travail ainsi que madame Joséphine Bacon, poétesse bien connue,

AU PROGRAMME, LES PRODUCTIONS LITTÉRAIRES SUIVANTES :

Revue Inter, Art Actuel numéro 104
« Indiens, Indians, indios »
dirigé par Guy Sioui Durand

Revue Moebius numéro 124
« Amérindiens »
dirigé par Christine Leroy

Éditions Triptyque
« Mytism : Terre ne se meurt pas »
de Michaël La Chance

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