Maude Cournoyer, hier, avec les mots et la sonorité de Carol Dallaire. Les manipulations sonores sont réalisées par Janine Fortin.
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Maude Cournoyer, hier, avec les mots et la sonorité de Carol Dallaire. Les manipulations sonores sont réalisées par Janine Fortin.
Il ne reste plus beaucoup d’exemplaires d’Histoires discrètes (quelques fêlures). En effet, c’est presque toute l’édition qui s’est envolée le jour même du lancement.
Lancement de l’album Histoires discrètes (Quelques fêlures)
Le mardi, 24 mars 2009 à midi à
La Galerie L’Oeuvre de l’Autre
Cet album de contes regroupe la trentaine d’oeuvres présentées en exposition, en octobre 2008, à l’invitation de Rodrigue Villeneuve, metteur en scène et directeur des Têtes Heureuses, lors de l’Événement Tchekhov. La préface, intitulée Le souvenir de l’imaginaire ou les échos éveillés, est signée par Jean-Pierre Vidal, sémioticien, fondateur de la revue Protée et professeur émérite de l’Université du Québec à Chicoutimi.
L’ouvrage offre aussi un DVD, lequel s’articule autour de la lecture publique d’un texte de Carol Dallaire, intitulé Lettre d’un personnage à son auteur : La fin des illusions ainsi qu’un disque compact donnant à entendre une courte pièce musicale de « Le Art Ensemble of Le Milieu de Nulle Part », au titre emprunté d’une phrase de Tchékhov : Ce n’est pas le violon qui choisit son étui.
Le lancement prendra aussi une forme un peu éclatée, à savoir, un bref retour de Tchékhov, doublé d’un court exercice festif d’instabilité interdisciplinaire autour d’un texte et de fragments musicaux de Dallaire, dit par Maude Cournoyer accompagnée à l’échantillonnage de Janine Fortin, deux membres de son nouveau groupe post-Radicaux Libres; LA PREUVE PAR L’ABSURDE.
Bienvenue à tous et toutes.