Événements passés :

 

Lancement du Livre « Enjeux humains et psychosociaux du travail »

9 mai 2018, de 8h30 à 9h15
À l’UQAC, dans le cadre du congrès de l’ACFAS.

Local: P1-6140

Le rapport avec le travail n’est pas neutre. Lieu de réalisation personnelle ou de consolidation de l’identité, il peut aussi être source de souffrances, d’atteintes physiques ou psychologiques. Ainsi, ce colloque propose des réflexions sur l’impact qu’a l’organisation du travail sur le sain maintien en emploi de ses acteurs. De fait, les enjeux humains et psychosociaux du travail, sujet d’actualité sur la scène nationale et internationale, préoccupent les chercheurs, les gestionnaires et les travailleurs. Depuis quelques années, un foisonnement de recherches à ce sujet, dans divers pays et dans divers types d’organisations, permet de cerner les enjeux et les interventions à cibler pour freiner la montée de la souffrance au travail, qui se présente sous diverses formes.

Que ce soit en référence aux manifestations de violence et de comportements antisociaux au travail, de détresse psychologique associée au caractère dangereux et difficile de certains métiers, aux défis reliés à l’intégration et au maintien en emplois des femmes ou encore à la façon d’aborder la problématique de retour au travail suite à une absence pour des raisons de santé psychologique, ce colloque propose la mise en lumière de travaux canadiens et européens qui abordent cet enjeu de santé publique et organisationnelle. Faisant notamment état de l’évolution parcourue au Québec depuis la publication du Livre Blanc sur la santé au travail au Québec, ce colloque s’adresse aux professionnels qui agissent en prévention ou en intervention quant à la santé psychologique au travail, de même qu’aux étudiants, aux chercheurs et aux décideurs intéressés par les questions de psychologie organisationnelle et de gestion favorisant la santé organisationnelle et un sain maintien en emplois de ses acteurs.

 

De 9h15 à 15h30 CONFÉRENCES liées aux thèmes abordés dans chacun des chapitres du livre Enjeux humains et psychosociaux du travail. 

Pour plus d’information:  http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/86/400/424/c?ancre=10194

4e édition des Rendez-vous critiques

Réunissant près de 85 personnes issues de tous les milieux, la 4^e édition des Rendez-vous critiques s’est tenue le vendredi 11 novembre 2016 à l’UQAC sous le thème « Quand le travail blesse… ». Lors de cette journée d’étude, des membres de la communauté universitaire ainsi que des gestionnaires et travailleurs de différents milieux de travail étaient de la partie pour cette rencontre favorisant les échanges et les réflexions sur les enjeux liés au harcèlement psychologique et à la violence en milieu de travail, à la santé et sécurité psychologique et au retour post-événement.

L’équipe du Laboratoire sur les incidents critiques en milieu de travail (ICMT) est très heureuse de l’engouement suscité par cet événement et tient d’ailleurs à remercier le DSEA pour l’appui financier ayant permis de mener à bien cette journée.

Conférences et conférenciers :

Conférence 1 : Cerner et reconnaitre les manifestations d’hostilité au travail

Laetitia LAROUCHE, Doctorante en psychologie organisationnelle, Université de Sherbrooke

Véritable enjeux organisationnel et humain, les manifestations d’hostilité en milieu de travail représentent un fléau aux contours parfois flous. Puisque le premier pas vers l’intervention pour éliminer la violence est la reconnaissance de celle-ci lorsqu’elle survient, l’objectif de la présentation est de mettre en lumière différentes formes de violence au travail, leurs incidences relatives, leurs conséquences et comment elles peuvent se manifester concrètement dans les organisations. Un bref aperçu de certains outils pouvant être utilisés pour détecter la présence de certains types de violence sera également présenté.

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 Conférence 2 : (Ré)agir au harcèlement au travail

Érick CHAMBERLAND, Professeur au Département des sciences économiques et administratives, UQAC

Déjà 10 ans depuis l’entrée en vigueur de la notion de harcèlement psychologique au travail au Québec (art. 81.18  et ss. de la L.N.T.). Au fil des décisions rendues, son application s’est précisée si bien qu’il est désormais  possible d’en spécifier les caractéristiques et les conditions d’apparition malgré la multitude de ses manifestations. Reste donc aux employeurs et leurs salariés à collaborer pour le prévenir et le résoudre. Ainsi, après en avoir revu la définition, les droits et devoirs, le processus de plainte, les recours, les démarches d’enquête et de médiation, seront exposés les moyens pour éviter que le harcèlement psychologique ne survienne afin qu’il cesse. Mais face à la persistance du phénomène, force est d’admettre qu’il subsiste un décalage  entre les études de sa prévention  et celles de sa judiciarisation.

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Conférence 3 : Le travailleur : victime et/ou toujours responsable de son accident du travail?

Cheikh  FAYE,  Ph.D. Professeur au Département des sciences économiques et administratives, UQAC

Après avoir rappelé les principaux éléments caractéristiques des accidents du travail, il sera donné une idée sur leur ampleur et leurs coûts au Québec, ceci pour souligner leur importance.  On démontrera, ensuite, que la croyance tenace qui voudrait que les comportements humains soient la principale cause des accidents du travail est, en fait, le résultat de plusieurs théories explicatives. Aujourd’hui, bon nombre de ces théories ont évolué ou ont été améliorées dans le sens d’une meilleure prise en compte du caractère systémique des organisations. De nouvelles théories sont apparues également. Tout cela permet, maintenant, de voir et d’analyser les accidents du travail comme des dysfonctionnements organisationnels et/ou individuels et d’établir une structure explicative qui tient compte de plusieurs facteurs. Les enjeux qui entourent ou découlent des accidents du travail seront cernés. On terminera par une réflexion sur les liens entre accidents du travail et lésions psychologiques eu égard à l’importance croissante de ces dernières.

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 Conférence 4 : Le retour post-événement

Martin PERRON, D.Ps., psychologue. Équipe spécialisée en santé mentale et dépendance du CIUSSS Saguenay-Lac-St-Jean

Lorsqu’un incident critique survient en milieu de travail, que ce soit une agression physique ou tout autre événement provoquant de vives émotions aux travailleurs, une rencontre post-événement peut être organisée. Effectuer un retour sur l’événement en équipe est une occasion de valider les émotions, de nommer les faits, d’identifier des besoins et d’effectuer des recommandations. Dans cette présentation, il sera question de mettre en lumière cette modalité, visant avant tout à prendre soin des employés, afin d’explorer ses différentes facettes tant au plan humain qu’au plan organisationnel. Finalement, nous discuterons des défis à surmonter afin de rendre le retour post-événement le plus efficace possible.

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Réunissant près de 80 participants, la 3e édition des Rendez-vous critiques s’est tenue le mardi, 1er décembre 2015 à l’UQAC sous le thème « Organisation du travail et risques psychologiques dans le domaine financier ». Cet événement a permis de rencontrer des conférenciers provenant de différents milieux, mais tous concernés par la santé psychologique des travailleurs du domaine financier : auditeurs financiers, représentants des ventes financières dans les banques comptables, gouvernance des entreprises, évaluation individualisée des performances, etc. Le thème de la santé psychologique des travailleurs du domaine financier a pu être discuté à la lumière de l’expertise de chacun d’entre eux. Ainsi, autant des perspectives théoriques et expérimentales que pratiques ont été exposées lors des présentations suivantes.

Conférences et conférenciers :

1. La peur et le risque dans le travail des auditeurs financiers

Henri Guénin-Paracini, CPA, professeur agrégé à l’École de comptabilité de l’Université Laval

Que les auditeurs financiers – cadres vêtus de costumes sombres et parés du masque froid de la rationalité – puissent inspirer certaines craintes à ceux dont ils contrôlent les comptes, on peut le concevoir. Que la peur soit au centre de leur vécu et de leur activité professionnels, voici qui est plus difficile à imaginer. Tel est pourtant ce que nous suggère les données que nous avons collectées en observant et interviewant de nombreux auditeurs en mission. Interprétées selon la perspective de la psychodynamique du travail, ces données font apparaitre que la peur joue, dans le processus d’audit, un rôle tant crucial qu’ambivalent. D’un côté, pour stimuler et maintenir leur vigilance, les auditeurs cultivent leur peur au moyen de techniques formelles et informelles. D’un autre côté, ils s’efforcent d’apaiser cette émotion tout au long de leurs missions afin de parvenir au sentiment de confort dont ils ont besoin pour rendre leur opinion. Sur le terrain, mus pas la peur, ils obtiennent ce résultat soit en mobilisant leur intelligence pratique, soit en adoptant des stratégies défensives.

2. Gouvernance des organisations : les modèles en conflit

Jeanne Simard, professeure titulaire au département des sciences économiques et administration, UQAC

La réalité mondiale et la financiarisation de l’économie se présentent actuellement comme un nœud de forces très contradictoires. On observe, d’une part, la mise en place d’outils normatifs et éthiques de responsabilisation rétrospective et prospective visant à ramener la confiance du public envers ses institutions, à protéger les personnes les plus vulnérables et à instaurer un véritable développement collectif. Mais, à l’opposé, dominent toujours certaines théories de l’économie et du management, comme la «théorie» de l’agence, qui justifient la recherche d’une accumulation financière et d’avantages personnels sous différentes formes, sans égard pour les conséquences à long terme pour les parties prenantes, dont les salariés, l’environnement, la société et les générations futures. Cette conférence traitera de trois modèles de gouvernance en conflit qui s’offrent actuellement aux acteurs sociaux, économiques et politiques en proposant une réflexion quant aux contrecoups que subissent actuellement professionnels salariés, pris au cœur d’une lutte entre ces trois formes de gouvernance.

3. Risques organisationnels d’atteinte à la santé psychologique dans le domaine bancaire

Julie Hamel, étudiante à la maîtrise en gestion des organisations, UQAC

Le travail des banquiers vous intrigue, eux qui, toujours droits derrière leur bureau, semblent toujours en plein contrôle de tout ? Ou peut-être que votre prochain rendez-vous à la banque vous cause du stress? Mais qu’en est-il pour votre banquier? Cette conférence décrira la réalité de travail des employés du domaine bancaire traitant directement avec la clientèle en soulevant certains facteurs pouvant représenter un risque pour leur santé psychologique. Après avoir tracé un bref état des recherches disponibles sur la santé psychologique dans le domaine bancaire, différents points seront abordés tant au niveau de la culture organisationnelle, du système d’évaluation, de rémunération variable ainsi que de la charge de travail.  Ces éléments seront par la suite analysés avec l’approche compréhensive de la psychodynamique du travail dans la conférence suivante (#4), afin d’en comprendre les impacts au niveau du bien-être au travail.

4. Rendement au bonus et valorisation de l’hyperperformance individuelle: quels impacts pour les travailleurs?

Simon Viviers, professeur adjoint au Département des fondements et pratiques en éducation, Université Laval

Les différentes pratiques managériales qui réfèrent à l’évaluation individualisée des performances, tel que le rendement au bonus, peuvent certes avoir une valeur positive pour les travailleurs, ne serait-ce qu’au niveau monétaire. Cependant, lorsqu’analysées à la lumière du cadre théorique de la psychodynamique du travail, il est possible de comprendre que les pratiques qui ancrent la valorisation de l’hyperperformance au cœur du rapport au travail ne sont pas sans conséquence sur les travailleurs qui y sont soumis. Cette communication permettra une analyse compréhensive des effets engendrés par la valorisation de l’hyperperformance individualisée. Les aspects pouvant mener à la fragilisation des collectifs de travail, voire même à l’impossibilité pour les travailleurs d’avoir accès à de la reconnaissance entre pairs seront abordés, en mettant de l’avant notamment certains thèmes comme la concurrence entre collègues, l’isolement et l’impossibilité d’accès à un espace de discussion commun pour affronter l’impasse du décalage entre le travail prescrit et le travail réel.

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2e édition des Conférences Midi Critique

Près de 50 intervenants, gestionnaires, travailleurs et membres de la communauté universitaire se sont réunis le 29 avril 2015 afin d’assister à la Conférence Midi-Critique portant sur la santé psychologique des gestionnaires du réseau de la santé.

Cet événement a été l’occasion de mettre en lumière ce à quoi il est possible de relier les taux importants de détresse psychologique et d’épuisement professionnel de certains gestionnaires du réseau de la santé et des services sociaux québécois. Les échanges ont permis d’ouvrir la réflexion sur l’impact de certains facteurs de risques psychosociaux présents dans l’organisation du travail et leurs impacts sur la santé mentale des gestionnaires. De nombreux gestionnaires et travailleurs du réseau de la santé (hôpital, CHSLD, transport ambulancier, etc.) ont été accueillis lors de cette conférence, permettant ainsi d’assurer le transfert des connaissances développées en recherche vers les individus et organisations directement concernés par ces enjeux. L’équipe du Laboratoire souhaite que les éléments présentés dans cette conférence puissent être réinvestis auprès des gestionnaires du réseau de la santé, mais également auprès des travailleurs de différents milieux de travail.

Conférencière

• Audrey Fortin, étudiante au Laboratoire ICMT et graduée de la Maîtrise en gestion des organisations sous la direction de J. Douesnard

Résumé de la conférence

À quoi peut-on relier les taux importants de détresse psychologique et d’épuisement professionnel de certains gestionnaires du réseau de la santé et des services sociaux québécois? Près de 1000 d’entre eux, provenant de différentes régions du Québec, ont participé à une recherche dont les principaux résultats seront présentés lors de cette conférence. Cet échange permettra d’ouvrir la réflexion sur l’impact de certains facteurs de risques psychosociaux présents dans l’organisation du travail et leurs impacts sur la santé mentale des gestionnaires. Cette recherche a été menée dans la cadre de la maîtrise en gestion des organisations, au DSEA de l’UQAC, sous la direction de la professeure Jacinthe Douesnard.

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La première édition des Rendez-vous critiques s’est tenue le vendredi 6 décembre 2013 à l’UQAC sous le thème « Risques au travail et mesures d’urgence ».

Il est intéressant de souligner la diversité de la provenance des conférenciers (universitaire et milieux de travail), traitant tous le même thème des risques au travail et des mesures d’urgence mais sous un angle différent.  De plus, les conférenciers étaient soit intervenants, chercheurs ou étudiants aux cycles supérieurs.

En réunissant près de 50 personnes de tous les milieux, cette première journée d’étude s’est révélée être un succès. En effet, cet événement a permis de développer un réseau de partenaires du milieu universitaire et des milieux d’intervention. Ainsi, un partage d’expertise portant sur la perception du danger dans certaines professions, les mécanismes organisationnels de gestion de la prévention, les conséquences des incidents critiques, la détresse psychologique et le suicide en milieu de travail a pu avoir lieu. Cette mise en commun du savoir a permis de fournir une vision d’ensemble de la situation actuelle concernant ces thèmes.

Ainsi, les objectifs de l’organisation de cet événement ont été atteints. Des éditions subséquentes sont en élaboration, considérant l’accumulation de connaissances importantes sur les incidents critiques et la popularité de cette journée d’étude. En effet, l’activité a réuni des participants venus de l’Abitibi, de la Côte-Nord, de la Mauricie et du Saguenay−Lac St-Jean. Des membres de la communauté universitaire s’intéressant aux domaines des sciences économiques et administratives, d’informatique, de mathématique, de psychologie, de gestion des organisations et de gestion de projet ont profité de cette rencontre enrichissante.

Conférences et conférenciers

1. Des risques, des mines et des hommes
Sylvain Beaupré, Ph. D., Professeur, UQAT

Cette conférence portait sur une recherche à propos de la perception du risque sous terre afin de comprendre comment les mineurs de fond de la région de l’Abitibi-Témiscamingue perçoivent les risques inhérents à leur métier et comment ils y réagissent. Nous avons situé le mineur dans son environnement de travail en prenant soin de décrire la chaîne de production ainsi que les activités qui s’y rattachent. En bref, nous avons voulu vérifier si, dans leur perception du risque, les mineurs font montre d’un sens pratique qui repose principalement sur la prise en charge individuelle de la sécurité, le rapport à la prime de rendement et un certain sentiment de l’inéluctabilité du danger. Vingt entrevues semi-dirigées et la technique classique de l’observation participante ont servi à la collecte de données. De type ethnographique, notre recherche a puisé ses méthodes du côté de l’anthropologie.

2. Outre les obligations légales, comment se préparer et mesurer notre capacité à réagir en situations d’urgence
Véronic Allard-Vermette, Chef de service — Sûreté et Mesures d’urgence, ArcelorMittal
Jean-Guy Hinse, Technicien en prévention incendie, Officier-sûreté et incendie, ArcelorMittal

Cette conférence traitait des activités et opérations liées aux mesures d’urgence chez ArcelorMittal. Il était entre autre question de la brigade incendie, de l’évaluation des risques et des impacts de la gestion des événements critiques en lien avec les particularités des opérations et de notre environnement, de l’organisation des simulations chez ArcelorMittal et des dimensions de la coordination interne et externe. Cette conférence présentait de nombreux exemples de cas vécus, faisant ressortir notamment les difficultés vécues, les leçons apprises et les pistes d’amélioration.

3. Suicide et milieu de travail : De la consternation à l’action!
Laurent Garneau, Responsable de programme, Centre de prévention du suicide (région Sag. Lac St-Jean)

Cette conférence permettait d’aborder les répercussions d’un suicide dans une organisation et les mesures à préconiser pour venir en aide aux collègues confrontés à cette tragédie. Ainsi, il était question des programmes et mesures de postvention, des pièges à éviter, des pistes d’actions efficaces et des possibilités d’aide et d’entraide.

4. Responsabilité éthique dans le travail de cadre : quand les décisions laissent des traces
Mariève Pelletier, candidate au doctorat, Université Laval

La solitude et l’isolement font partie de la réalité de travail de bien des cadres, qui se manifeste d’ailleurs dans des questionnements et des choix éthiques difficiles à faire en termes de responsabilités : agir pour préserver et protéger la santé, les capacités de travail et le maintien en emploi de leurs travailleurs ou agir pour répondre aux exigences de l’organisation, pour faire preuve d’équité ou pour préserver l’image de leurs patrons. Bien que parfois guidée par le service des ressources humaines ou le supérieur hiérarchique, la décision ultime est souvent laissée entre les mains du cadre qui doit en porter le poids face à ses propres valeurs morales. Cette présentation visait à étaler les résultats d’une thèse de doctorat ayant porté sur la compréhension de l’expérience subjective de 36 cadres face aux enjeux éthiques dans la gestion du personnel.