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La présidente du syndicat au Conseil Exécutif de la FPPU

Le congrès de la Fédération du personnel professionnel en milieu universitaire (FPPU) a eu lieu les 11, 12 et 13 juin 2014. À cette occasion, un nouveau conseil exécutif a été élu. Il est composé de Claude Fortin de l’UQAT, vice-présidente, de Bernard Gaucher de l’UQTR, président, de Daniel Bellefleur de l’UQTR, trésorier, de Manon Bouchard de l’UQAC, secrétaire, de Lise Lafrance de l’Université de Sherbrooke, conseillère et de Josée Arpin de l’Université de Sherbrooke, conseillère.
 
Votre présidente fait donc maintenant partie du Conseil exécutif de la FPPU. Cette nomination lui permettra d’être impliquée dans les décisions de la Fédération.
 
Le nouveau comité exécutif est en place jusqu’en 2017.

Régime de retraite

Depuis quelques temps, les régimes de retraite traversent une période difficile au Québec. Le régime de retraite du réseau UQ ne fait pas exception. En ce moment, les représentants patronaux et syndicaux sont en négociation pour essayer de trouver une solution acceptable pour les deux parties afin d’améliorer la situation financière du régime.

À l’assemblée générale de décembre 2013, une présentation a été faite aux membres présents pour expliquer les possibilités de compromis qui sont présentement en jeu. Vous pouvez visualiser cette présentation en cliquant sur ce lien :  Régime de retraite

De plus, vous pouvez consulter un article publié en décembre 2013 dans le bulletin de liaison no 293  du Syndicat des professeurs de l’UQAM,  par le trésorier du même syndicat, et qui explique la situation d’une façon différente : Régime retraite SPUQ 

Divergence d’opinion avec votre supérieur

Si vous êtes un professionnel et que vous considérez que votre supérieur prend des décisions qui nuisent à la bonne marche de l’organisation, vous pouvez être critique de ses décisions, mais la critique ne peut équivaloir à un refus d’obéir, ni mettre en cause l’autorité du supérieur. En somme, la critique est permise dans la mesure où elle est faite de bonne foi et qu’elle est jugée raisonnable dans les circonstances. En tant que professionnel, vous avez un devoir d’obéissance envers votre supérieur. Voici en quoi consiste le devoir d’obéissance :

Que vous soyez d’accord ou non avec votre supérieur, vous devez suivre les ordres qui vous sont donné s dans la réalisation de votre travail. Il y a tout de même des exceptions au devoir d’obéissance. Vous n’avez pas à répondre à :

  • des ordres dont l’exécution contrevient aux lois;
  • des ordres qui présentent un danger pour la santé et la sécurité du travailleur ou d’autres personnes;
  • des ordres déraisonnables, discriminatoires ou abusifs.

Le refus de suivre un ordre clair et non équivoque donné par un supérieur hiérarchique constitue une insubordination qui pourrait être sanctionnée par des mesures disciplinaires. La mauvaise attitude du salarié envers ses supérieurs peut dans certains cas constituer une forme d’insubordination :

  • attitude de défi;
  • paroles injurieuses;
  • refus de recevoir des ordres de la part des supérieurs.

Quoi faire si vous êtes dans une situation de divergence d’opinion ou de conflit ?

Prenez rapidement rendez-vous avec le Service des ressources humaines ou votre délégué syndical. Dans l’intervalle, n’écrivez surtout pas à votre supérieur et évitez tous propos déplacés.

Il est important de toujours clarifier avec votre supérieur vos mandats, votre marge de manoeuvre et votre échéancier, de conseiller votre supérieur et d’émettre clairement vos recommandations lorsque vous êtes appelé à le faire.

 

 

Rachat de fonds de pension

À tous les professionnels de la recherche qui étaient à l’emploi avant avril 2010 :

Il est possible de racheter des fonds de pension pour les inclure au régime de retraite de l’Université du Québec. Pour être éligible, il faut avoir été professionnel de recherche entre le 4 février 2009 et le début des prélèvements de pension par l’Université (autour d’avril 2010). Il faut cependant en assumer tous les frais. En gros, pour un employé qui a travaillé à temps plein pendant ces 14 ou 15 mois, cela peut représenter un investissement d’environ 10 000 $. Pour certaines personnes, ça peut être avantageux, mais il faut prendre en considération votre âge, votre ancienneté et l’âge à laquelle vous pensez prendre votre retraite. Il faut donc analyser votre situation pour savoir si vous pourriez en tirer quelques avantages. Prenez note que plus vous attendez avant de procéder au rachat, plus celui-ci sera dispendieux.

Si vous possédez un REER ou un REER collectif, vous pouvez l’utiliser pour procéder au rachat d’un fond de pension.

Pour faire une demande de rachat, vous devez consulter votre service des ressources humaines qui s’occupera de transmettre une demande de rachat électronique au régime via un site web sécurisé. Vous trouverez tous les détails en consultant la brochure d’information du Régime de retraite de l’Université du Québec.

Programme volontaire de réduction du temps de travail

Le programme volontaire de réduction du temps de travail a pour objectif de permettre à un salarié de bénéficier d’une période de congé temporaire non rémunéré, tout en conservant sa sécurité d’emploi.

Deux options s’offrent à vous :

1- Réduction volontaire et temporaire de la semaine de travail 

Vous pouvez demander une réduction de 3 ou 7 heures par semaine. Par contre, la demande doit  tenir compte des besoins de l’unité administrative et peut être refusée par le supérieur immédiat.

2- Réduction volontaire et temporaire du temps de travail

Il s’agit d’une demande de congé sans solde qui ne peut excéder un mois par année et qui doit être utilisée soit par période d’au moins une semaine ou d’une demande de réduction de la rémunération afférente au congé sans traitement d’une durée d’au moins dix jours. Ce congé pouvant être utilisé un jour à la fois et cinq jours peuvent être pris en demi-journées. Par ailleurs, la demande doit tenir compte des besoins de l’unité administrative et peut être refusée par le supérieur immédiat.

Prenez note qu’il n’y a aucun remplacement durant l’absence.

Pour plus de détails, vous pouvez consulter la convention collective, article 9-5, page 105. Vous pouvez aussi téléphoner au local du syndicat, poste 5386 ou 2686. Il nous fera plaisir de répondre à vos questions.