Réponses entrées par les stagiaires à la fin de leur stage II


Stagiaire # 3

1. Nom : Cynthia Gagné Malenfant
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Sensibiliser Jeunes Problématiques

3. Titre du projet d'intervention collective :
Activités de prévention
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Polyvalente Odyssee Dominique-Racine

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Sensibiliser les jeunes de l'école, travailler en partenariat avec les différents collaborateurs, soutenir les jeunes du comité.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Respect, entraide, reconnaissance sociale

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Manque de respect, démotivation scolaire.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Objectif général:
Sensibiliser les jeunes de l'école face aux diverses problématiques les entourant ou les concernant.

Objectifs spécifiques:
1) Mobiliser les jeunes afin d'avoir une bonne participation de ceux-ci
2) Faire prendre conscience aux jeunes de l'importance des problématiques ciblées
3) Outiller les jeunes sur les divers sujets
4) Amener les jeunes à réfléchir sur leur propre comportement.

Les partenaires:
Les services complémentaires, la direction, les personnes ressources, les jeunes.

Mon rôle: Mobilisatrice .

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Interviews auprès de jeunes de différentes écoles afin de faire ressortir les différents facteurs de protection reliés a la motivation scolaire.
Faire un montage par la suite et le présenter sur écran géant lors de l'activité.
Kiosques avec invites, affiches apposées à plusieurs endroits dans l'école, message à la radio étudiante.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Un bon échantillon de jeunes a été sensibilisé. Une prise de conscience a été faite pour certaines personnes.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Des ateliers sont déjà effectué au niveau de l'intimidation et d'autres se sont préparée sur la motivation. Ils seront présentés prochainement.

Stagiaire # 4

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Agir Autrement
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

École primaire

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Animation du sous-groupe de travail. Agir à titre de promoteur dans la conception de l'écrit. Participation aux rencontres de grand groupe. Échanges entre personne.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

L'école mettra en oeuvre les solutions les mieux adaptées aux besoins spécifiques des élèves, de leurs parents et du milieu. (projet éducatif).

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Répartir les ressources en tenant compte des besoins de l'élève et des caractéristiques socio-économiques du milieu.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Mettre des moyens en place pour bonifier le plan de réussite. Les acteurs concertés dans le projet : Coordonnatrice de l'enseignement en milieu défavorisé, Représentant de la communauté, Parent, Direction, Enseignante, Travailleuse sociale, Stagiaire en travail social, technicienne en Service de garde. Le rôle de la stagiaire a été son implication sur le plan des rencontres de travail en sous-groupe.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Décrire les caractéristiques du personnel de l'école. D'écrire les caractéristiques de la clientèle particulière. Caractéristiques factuelles de la population scolaire et du personnel. Le développement professionnel. Les compétences sociales et comportementales. Cheminement des élèves en difficulté.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

La description du milieu a été réalisée dans les délais demandés par la commission scolaire. L'an prochain, l'école devra en faire une analyse des besoins.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Selon l'analyse qui sera effectuée l'an prochain, il faudra mettre en application les moyens que l'école ciblera dans son plan de réussite. Par ce fait, il y a des constats comme créer un pont entre l'école et la communauté aidera l'élève dans son processus d'apprentissage et l'implication des systèmes qui l'entour.

Stagiaire # 5

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Amélioration de la diffusion des services de l'organisme Soli-Can Lac-St-Jean-Est
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Lac-St-Jean-Est

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Création et passation des questionnaires, rencontres avec les ressources partenaires, compilation des résultats, création d'un outil favorisant l'offre des services, rédaction d'un article de journal.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Reconnaissance sociale, respect de l'organisme par les pairs, préserver l'autonomie de l'organisme, valeur de justice: tous les gens concernés ont droits aux services de l'organisme.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les membres de la population du Lac-St-Jean-Est ne connaissent pas les services de l'organisme. De plus, même ceux à qui les ressources partenaires devraient avoir parlé ne semblent pas connaitre les services. Donc le problème est le fait que la population en générale ignore les services qu'offre l'organisme.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

1- Démystifier les services offerts par l'organisme Soli-Can.
2- Améliorer la diffusion des informations relatives aux services offerts par l'organisme, aux personnes atteintes de cancer.
Partenaires: Médecins, infirmières pivot et de liaison, travailleuse sociale en oncologie et en palliatif, membres du personnel de l'organisme. Le rôle de la stagiaire est de recueillir les données, de les traiter, de construire un outil de travail et de faire paraître un article dans le journal.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Passation d'un questionnaire auprès de la population en générale, auprès des usagers ayant au moins utilise un service de l'organisme, auprès des membres du personnel et rencontre avec les ressources partenaires. Création d'un aide-mémoire contenant les informations les plus pertinentes a donner aux patients (cet aide-mémoire va être remis aux ressources partenaires). Publication d'un article dans le journal local.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Permis de constater qu'il y a réellement une lacune du côte de la connaissance de l'organisme par la population. De plus, l'organisme a décidé d'en faire son objectif pour l'année 2008-2009. Les résultats (à savoir une plus grande connaissance de l'organisme par la population) seront constates à long terme.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Comme des activités pour se faire connaitre davantage. Ils devraient aussi faire augmenter le membreship. Un aide-mémoire utile lorsque l'on fait visiter la Maison pourrait être créé pour remettre aux membres du personnel.

Stagiaire # 6

1. Nom : Marie-Ève Fortin
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Soutien et aide vestimentaire à la communauté.
Encourager la récupération de vêtements.

3. Titre du projet d'intervention collective :
Collecte de vêtements divers
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre Jeunesse de Chicoutimi

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Assurer la coordination du projet.
Effectuer l'analyse des besoins.
Utiliser diverses techniques de communication pour la collecte des vêtements.
Veiller au classement et à la redistribution des vêtements dans la communauté.
Faire de la sensibilisation en lien avec la récupération de vêtements.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Entraide, soutien, solidarité, égalité, empowerment.
Lutte contre la pauvreté.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Le problème social vise est celui de la pauvreté et spécifiquement celui du manque de ressources vestimentaires au sein des familles.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

1. Que la collecte de vêtements réponde à un besoin.
2. Que les parents et enfants puissent bénéficier de vêtements adaptés pour les périodes d'automne et d'hiver. 3. Favoriser les sentiments de dignité et de fierté, d'estime de soi à l'endroit des enfants et des parents.
4. Que les familles et les acteurs impliqués soient sensibilisé à la récupération de vêtements.
5. Que les parents et enfants soient sensibilises a l'importance de s'habiller adéquatement (hygiène et protection).
6. Assurer la continuité du service à la fin de mon stage. - Les partenaires impliqués sont le centre jeunesse et autres organismes à la famille ainsi que les friperies.

Mon rôle est de m'assurer de la coordination du projet.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

1. Faire l'analyse des besoins.
2. Respecter le processus du plan d'action.
3. Utiliser diverses moyens afin de ramasser une certaine quantité de vêtements (bouche à oreille, appels téléphoniques, annonces sur internet).
4. M'assurer de la distribution des vêtements dans les familles.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

La collecte de vêtements a réellement répondu à un besoin.

- Les habits de neige et vêtements d'hiver et d'automne obtenus ont presque tous été transmit à des familles qui ont permis à certains membres de s'habiller adéquatement pour les périodes.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Tout a fait. Le projet que j'ai réalisé pourrait très bien être instauré dans un organisme communautaire d'aide a la famille. D'ailleurs, c'est un projet qui est entamé depuis plusieurs années chez Aide-Parents Plus à Jonquière.

Stagiaire # 7

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Concilier la santé physique et la santé mentale
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre l'escale

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Sensibiliser, améliorer la condition de vie des membres de l'escale. Organiser une salle d'entrainement.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Entraide, solidarite, respect.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Manque d’activité physique.
Coûts relatifs aux salles d’entraînements.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Organiser une salle, préparer des activités physiques, ateliers d'informations.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Développer liens avec partenaires (Patro, UQAC, Pavillon Sportif). Débloquer un budget, trouver des appareils, ateliers.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Résultats satisfaisant mais à parfaire (manque de temps).

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Une marche pour la santé mentale.

Stagiaire # 8

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Création d'un service à l'organisme (motivothon)
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Maison d’hébergement le séjour

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Animatrice et conceptrice

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Le respect des personnes, la santé, la démocratie

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les clients du séjour ont souvent démontré l’intérêt d'avoir un programme sur l’activité physique. L'exercice physique est également un mécanisme d'adaptation autre que la consommation.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Thématique.
Évaluation de la motivation selon l'approche motivationnelle.
Conscientisation de son corps (prise du pouls).
Réalisation d'exercices qui sont également réalisables chez soi.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Les gens ont démontré un intérêt lors des conversations entretenues envers le sujet.

Les gens ont participé activement aux activités physique tenues.

La coordonnatrice désire insérer ce programme dans l'horaire quotidienne du séjour.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :
9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Car mon projet était un essai. Si la clientèle démontre une satisfaction, le séjour intégrera ce volet dans l'horaire. La coordonnatrice était également intéressée à garder les documents de ce projet pour que le séjour puisse s'en servir par la suite.

Stagiaire # 9

1. Nom : Nadia Chayer
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Soutien à la coordonnatrice de l'association des locataires de HLM de Chicoutimi pour la création de groupes de cuisines collectives

3. Titre du projet d'intervention collective :
Cuisines collectives
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

HLM Chicoutimi

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Je dois soutenir la coordonnatrice de l'association des locataires de HLM de Chicoutimi dans la création de groupes de cuisines collectives dans les HLM de Chicoutimi. Mon soutien est au niveau de la structure, de l'encadrement et de l'animation des rencontres.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Respect, entraide, solidarité, démocratie, droit de parole.

Le but est d’être ensemble, d'avoir du plaisir, de se transmettre des connaissances tout en cuisinant, en plus d’économiser.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Le problème est que les gens en HLM sont a faible revenus et qu'il en coûte cher de se préparer des repas. De plus, les personnes seules se font moins de repas. De ces faits, peuvent découler la malnutrition. Cela peut avoir un impact direct sur la santé des personnes.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Les objectifs de la cuisine collective sont les suivants:
- Créer au moins un groupe de cuisine collective
- Créer un espace pour briser l'isolement des gens
- Favoriser une bonne alimentation par la préparation de recettes
- Réduire le coût relié à la préparation de repas
- Favoriser l'autonomie du groupe

Les partenaires principaux sont les suivants: Moisson Saguenay, Regroupement des cuisines collectives, La recette, Ville Saguenay, OMH

Mon rôle est d'aider la coordonnatrice dans la mise sur pied et la structure des cuisines collectives.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

- Promotion de l’activité en distribuant des dépliants et en allant directement dans les différents HLM de Chicoutimi
- Créer le partenariat avec les différents partenaires
- Première rencontre informative
- Deux journées de planifications des cuisines

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

- Un groupe de cuisine collective a été mis sur pied
- Deux cuisines collectives ont été réalisées
- Lors de la première cuisine quatre recettes ont été faites : cigares au chou, soupe, filet de porc et galette au sirop

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Il pourrait avoir plusieurs groupes de cuisines collectives. De plus, les gens pourraient aussi se mettre à participer aux jardins communautaires St-Paul.

Stagiaire # 10

1. Nom : Véronique Gauthier
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Prévention
Sensibilisation
Éducation
Respect
Conscientisation
Représentation

3. Titre du projet d'intervention collective :
Démarche éducative pour le respect
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Collège Claude le Lorrain (FRANCE)

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Préparation des actions
Rédaction du projet
Prise de contact avec les partenaires extérieurs
Animation du projet
Évaluation du projet

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Action sociale (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

L’éducation à la santé et à la citoyenneté.
Conscientisation au respect.
Prise de conscience de ses propres représentations et préjugés.
Modes de communications respectueuse basées sur des relations et interactions saines.
Relations égalitaires et serines.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Ce projet aborde principalement le thème du respect tout en traitant parallèlement de problématiques vécues au Haut-Du-Lièvre (collectivité socialement démunie), tel que la discrimination, la violence, l'intimidation, le trafic, etc. L’Égalite entre tous est la valeur principale véhiculée au public cible. Celui-ci s'inscrit dans le cadre des missions du comité d'éducation à la sante et à la citoyenneté (CESC). Il est une instance de réflexion, d'observation et de proposition qui conçoit, met en œuvre et évalue un projet éducatif en matière d'éducation à la citoyenneté et à la santé et de prévention de la violence, intégré au projet d'établissement.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Objectif général :
Il est de faire respecter le fait que chaque citoyen est en droit d'attendre le respect de son intégrité, peu importe son sexe, sa religion, son origine ou sa culture. L'approche utilisée sera l'approche transversale vers une reconnaissance dans les discours des personnels de l'équipe éducative.

Objectifs opérationnels :
Ceux-ci sont spécifiques à chaque action.

Vacance d'enfer :
Pour l'activité Vacance d'enfer, il s'agit pour les jeunes de comprendre le mécanisme de la discrimination, de prendre conscience que nous sommes tous potentiellement des victimes et des auteurs de la discrimination, de reconnaitre les différents types de discrimination, de réaliser les conséquences des discriminations sur les victimes et sur les liens sociaux, d'appréhender les limites de sa propre tolérance, de savoir comment réagir face à l'acte discriminatoire en tant que victime ou témoin et de connaitre les dispositifs d'aide aux victimes de discrimination. Vacance d'enfer, est finalement l'amorce à la sensibilisation des jeunes au respect.

Pièce X-Y + Débat
Pour la pièce X-Y, il s'agit de promouvoir un changement dans les attitudes violentes sexistes et homophobes, de travailler sur le respect, de travailler sur le respect, de prévenir les risques de grossesses ainsi que d'IST et d'informer les jeunes sur les structures d'accueil, d'aide et de soutien. La pièce et le débat permettent aux jeunes d'approfondir leur connaissance et leurs réflexions.

L'écriture des textes sur le respect et l'exposition :
Le principal objectif à cette étape est d'engager les élevés dans un projet d'écriture individuel, par le biais de jeux d'écritures. Nous valoriserons les réflexions et le travail réalisé par les élevés, par la publication, ainsi que la diffusion de leurs écrits lors de l'exposition.

Finalement, l'écriture et l'exposition permettent au jeune de s'exprimer face à leur réalité.

Finalités :
Au final, nous voulons que les actions rendent les élevés acteurs. Nous souhaitons qu'ils établissent un travail de prévention par les pairs avec le bouche à oreille et qu'il développe chez les élèves, des compétences leur permettant de faire des choix responsables. Pour cela la mobilisation des jeunes est nécessaire. Elle permettra une mobilisation collective qui se verra par une coordination d'activités proposées aux jeunes qui souhaitent défendre leurs intérêts. Le but étant de changer leur situation sociale, en un sens favorable à leur réalité, selon des valeurs et des motivations saines.

Les partenaires :
Le partenaire principal de ce projet est le Collège La Fontaine de Laxou, puisque nous sommes en entente avec eux au niveau de la CESC. Eux reproduisent les mêmes actions dans leur collège et nous partageons les partenaires. Au collège, il y a l'AS scolaire, la stagiaire AS scolaire, l'infirmière, le CPE, quelques professeurs et l'ensemble du corps administratif qui nous donnent leur soutien au niveau de la recherche de subventions. Au niveau des partenaires extérieurs, il y a le Conseil Général qui se prête garant pour nous faire des prêts de matériels et de locaux pour l'exposition. La troupe de théâtre forum (Tota Compania), mettra en scène les scénettes de sensibilisation pour les jeunes. Il y aura une sage-femme présente lors de cette représentation, pour aborder les sujets traitant de la sexualité. Mis à part les partenaires participant aux actions, il y a d'autres organismes référant qui offre leur aide aux jeunes selon leur besoin. En fait, les jeunes ont reçu dans leur liste, les organismes suivants : SOS Viols, Femmes Infos Services, Jeunes violences écoute, Aide aux Victimes, Fil Santé Jeunes, S.O.S Suicide Phenix écoute, GAMS, SOS Homophobie, Le Trait d'Union, etc.

Mon rôle dans l'action :
Mon rôle dans cette action est de monter les actions, rédiger l'écrit de l'action, contacter les partenaires extérieurs et finalement évaluer le projet. Je dois également observer le déroulement de chaque action afin d'être présente pour les jeunes s'ils ont besoin de communiquer à tout moment. J'animerai également l'activité Vacance d'enfer avec ma formatrice, l'AS scolaire du Collège Claude le Lorrain (Mme Harter).

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Vacance d'enfer est un jeu d'animation est un atelier de deux heures centré sur les stéréotypes et les discriminations en général dans notre société actuelle. La présentation de celui-ci consiste à expliquer au jeune le déroulement de l'activité. Lors de l'animation, les participants vont être soit victime, soit auteur d'une discrimination liée à soit la couleur de peau, soit l’âge, soit au sexe, soit à la culture, soit à un handicap, soit à sa religion ou au physique. Ensuite, ils devront choisir des images que nous leur proposerons, qui représentent leur personnage. Après avoir joué leur rôle avec les images, les participants s'exprimeront sur la situation qu'ils ont vécue. Les animateurs élargiront la discussion sur les situations d'exclusion, puis sur la notion de stéréotype. Finalement, nous amorcerons une réflexion sur les façons de lutter au quotidien contre les discriminations et toutes les formes d'exclusion. Nous pensons également offrir à chaque participant le guide du respect, dans le cadre d'une continuité à l'action. Ce guide est un outil intéressant à apporter à la maison créée par l'association « Ni pute, Ni soumise ». Celui-ci traite essentiellement des relations filles-garçons et du respect. Dans ce guide se retrouve une liste d'organisme référant, pouvant leur offrir du soutien selon leurs besoins.
La pièce X-Y Elle est une pièce de Théâtre Forum avec des mini-scénette sur l'éducation à la sexualité. Cet outil pédagogique permet de donner de l'information aux jeunes, de répondre à leurs questions et de suivre leurs réactions tous au long de l'activité. Un certain encadrement doit être apporté par un professeur et/ou un professionnel de la santé (sage-femme, infirmière), afin de répondre aux questions. Les acteurs ne font que jouer la pièce. Il y a sept scénettes de 10 minutes chacune. C'est une démarche participative qui permet aux élèves de s'exprimer suite à chaque scénette. L'évaluation de cette action est reprise en classe avec les élèves, pour avoir leurs ressentis sur cette activité, leurs commentaires et permettre aux professionnels de reprendre les thèmes pour un faire un débat. Le débat Celui-ci aura une durée d'environ deux heures. Il sera animé par la sage-femme avec l'aide des professionnels sociaux et de la sante, ainsi qu'avec le professeur de SVT. Il y aura un débat par classe, ce qui leur permettra de s'exprimer librement sur le sujet. Il serait intéressant de faire des plus petits groupes afin de créer une ambiance plus propice à l'échange. Une évaluation orale sera à faire avec les jeunes sur cette action face à leur ressenti par rapport à la pièce, ce qu'ils ont retenu, leur opinion sur les relations hommes-femmes, ainsi que discuter sur la sexualité à leur âge.
Écriture des textes sur le respect avec le professeur : Ce moment passe en classe à la composition avec le professeur sera d'une durée d'environ deux heures. Par le biais de l'art, d'originalité et d'écriture, les jeunes auront à s'exprimer sur la thématique du respect. Il y aura des jeux d'écritures que le professeur utilisera avec les élèves afin de les motiver à s'exprimer sur le sujet. Les écrits seront utilisés pour l'exposition.
L'exposition : Elle se déroulera sur une demi-journée, où nous exposerons les expressions écrites des jeunes. Il sera également exposé des œuvres artistiques au gré des jeunes qui auront envie d'exposer autres choses qu'uniquement les écrits. Nous y verrons aussi des manifestations d'associations militantes, qui auront manifeste au courant de l'année, en faisant des actions significatives dans le milieu pour le respect. Exemple : La marche de l'association « Ni pute ni soumise » pour le respect et l’égalité de tous. En somme, les jeunes pourront donc amener leur famille, pour partager avec eux leur travail et leurs réflexions sur le sujet. À noter que cette exposition sera ouverte au grand public.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Évaluation : Les propositions d'actions
Pour l'évaluation, je me base sur les actions déjà menées dans le passe et les rapports qui ont déjà été faits sur eux. C'est la Principale du collège qui m'a remis les documents. Les rapports en questions, sont souvent une demande de l'état, pour justifier les subventions qu'ils reçoivent d'eux. Je vais également utiliser mes observations et mon regard extérieur, pour donner mon opinion et ma vision de toutes ces activités. Au niveau des objectifs L'objectif général et les objectifs opérationnels sont quant à moi adaptés à chaque action. Je ne pense pas qu'il y aille quelque chose à réajuster. Sinon, il est normal que si à l'avenir il y a d'autres actions proposées, les objectifs doivent aller dans le même sens que les actions déjà existantes.
Au niveau des moyens utilisés
Les principaux moyens utilisés pour que les actions se déroulent dans le respect, voici les techniques utilisées :
- Respecter la parole de chacun
- Démontrer de l'intérêt dans les propos de chacun
- Faciliter l'ouverture et la communication de chacun en créant des ambiances de confiance
- Avoir une attention particulière envers les comportements verbaux et non verbaux
- Recadrer les interactions lorsque l'on sort du cadre de l'activité
- Amener les jeunes à être plus précis possible dans leur définition de la problématique, des moyens utilisés pour résoudre des situations conflictuelles et pour évaluer leurs actions
- Vulgariser le langage de façon à ce qu'il soit moins scientifique et plus accessible
- Poser des questions ouvertes et non fermées pour favoriser les interactions
- Dissiper les mythes et les représentations
- Etc.
Personnellement, je trouve que ce sont tous des moyens excellents pour amener les jeunes à participer dans le respect dans les activités. Je crois que ces techniques doivent être renouvelées et toujours respectées dans les actions à mener avec les jeunes.
Au niveau des publics
Le public cible pour cette année est les élèves de 3ieme année. Je comprends l'organisation d'avoir sélectionné uniquement les groupes d'une année scolaire. Il est impossible de pouvoir partager l'action avec tous les groupes du collège, car au niveau du temps et monétairement cela est impossible. Toutefois, je pense que dans vision utopique, tous les jeunes devraient avoir de la prévention sur ce thème. Heureusement, puisque le projet se poursuit tous les ans, on peut en déduire que l'ensemble des jeunes du collège finira par y participer.
Au niveau de l'évaluation des activités
Pour évaluer les activités, ils ont prévu effectuer une évaluation orale en recueillant les commentaires oraux des jeunes lors des activités. Également, effectuer une évaluation écrire a l'aide d'un court questionnaire d'appréciation globale de chaque activité, avec la possibilité d'ajouter des commentaires de façon anonyme. Je pense que ces moyens sont efficaces et qu'il devrait se poursuivre pour les années à venir.
Au final, l'enjeu principal de ce projet collectif est selon moi, la place du public cible dans les actions posées. Je trouve que les actions sont souvent propulsées des intervenants et peu proposées par les jeunes. Il pourrait être judicieux de créer un groupe de travail avec les élèves, afin de voir avec eux qu'elles seraient les actions qu'eux trouveraient pertinentes de faire dans la collectivité. De cette façon, les jeunes seraient encore plus acteurs dans les actions et celles-ci proviendraient d'eux. Le degré d'investissement serait selon moi plus significatif ainsi.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
L'intervention collective peut avoir des impacts à grande échelle et occasionner des changements de grande envergure. L'impulsion du projet avec les partenaires du milieu m'a permis de constater que les usagers sont le cœur de toute cette structure. Les analyses et les évaluations antérieures ont démontré que toute action collective peut avoir ses continuités et ses modifications à apporter. C'est pourquoi nous nous basons sur les résultats antérieurs, pour améliorer les actions cette année. De ce fait, on peut en déduire que les actions à mener dans le futur pourront faire émerger d'autres projets toujours plus adaptés à la réalité des jeunes.

Stagiaire # 11

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Faire connaitre la Fondation Défi
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Baie-Comeau

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Mon rôle a été d'effectuer la publicité de la Fondation afin de la faire connaitre à la population de Baie-Comeau

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Les enfants se doivent d’être notre plus grande priorité. Cette fondation existe afin de venir en aide financièrement aux jeunes de 0 a 18 ans. Ce sont des jeunes en difficultés, des personnes handicapées ou des personnes vivant avec une problématique reliée aux dépendances. Ce qui est dommage, c'est que peu de gens connaissent cet organisme. C'est à ce moment que j'ai décidé de faire connaitre la fondation.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Peu de gens connaissent la Fondation Défi. Cela est dommage puisque celle-ci organise chaque année plusieurs activités de financement et les gens y participent plus ou moins étant donné qu'ils ne la connaissent pas. De plus, plusieurs jeunes pourraient bénéficier de l'aide de la Fondation Défi s'ils étaient au courant qu'elle existait.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Faire connaitre la Fondation Défi à la population de Baie-Comeau. Les partenaires ont été le comité d'administration de la fondation, Image Expert (Marie-Pierre Roy), Le Drakkar de Baie-Comeau (André Coulombe) et Provigo (Jacques Nadeau). Mon rôle aurait été de rencontrer les partenaires afin de solliciter leur collaboration et de monter les différentes activités.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Avec la collaboration d'Image Expert, nous avons créé une pub courriel comprenant la mission, les objectifs et la clientèle de la fondation. Celle-ci a été envoyée par internet à deux milles personnes à Baie-Comeau. Ensuite nous avons effectué une table d'information à l’épicerie Provigo. Nous avons donc eu la chance de promouvoir la Fondation et par la même occasion, nous avons vendu des billets pour le tirage d'une toile qui a été tirée lors du déjeuner bénéfice. Ensuite, nous avons obtenu dix paires de billet pour les parties de hockey junior majeur de Baie-Comeau et un chandail de l’équipe signé par les joueurs. Nous avons également fait tirer le tout au déjeuner bénéfice pour la Fondation Défi. De plus, l'organisation du Drakkar nous a offert d'annoncer le déjeuner lors des deux parties précédent le déjeuner.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Il a été difficile de mesurer l'impact de la pub courriel. Par contre, à l'aide d'un petit questionnaire, nous avons demandé, aux gens qui sont venus déjeuner, comment ils avaient entendu parler du déjeuner. Sur 69 réponses, trois ont répondu qu'ils avaient entendu parlé du déjeuner par le biais de la pub courriel et deux lors d'une partie du Drakkar. Nous avons amassé 150.00$ lors de la table d'information et nous avons amassé plus de 2000.00$ avec les billets du déjeuner et les billets pour la toile. Notre but a été réalisé puisque maintenant plus de gens connaissent la Fondation Défi.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Effectivement. La publicité de la Fondation Défi pourrait se répéter dans les années à venir en continuant la pub courriel qui touche un grand nombre de la population mais plus encore, comme par exemple, des articles dans les journaux pourraient être envisagés. De plus, nous nous sommes rendu compte que le chandail du Drakkar avait beaucoup plus de valeur que nous le pensions aux yeux de la population. Il serait donc intéressant, l'an prochain, d'aller chercher à nouveau un chandail mais de le vendre aux enchères cette fois-ci. Selon certains, plusieurs payeraient très cher pour ce chandail.

Stagiaire # 12

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Journée des familles
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Dolbeau-Mistassini

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Responsable du comité organisateur de la journée des familles. Ce comité découle de la table de concertation jeunesse.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Entraide, solidarité, connaissance des partenaire et des ressources, avoir du plaisir en famille

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les gens connaissent peu les ressources
Peu d’activités de ce genre sont proposés aux familles

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Faire connaitre aux familles du territoire les ressources disponibles
Permettre aux différentes famille de tisser des liens entre elle et aux famille immigrante de se familiariser à la culture et de s’intégrer à la population
Permettre un moment récréatif entre membre d'une même famille

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Activités pour les enfants 0-12 ans: Conte animé, jeux de cirque, murale collective, coin allaitement, jeux de parachute, animation par des clowns et activité un enfant/ un arbre. Activités pour adolescents: spectacle de danse, cours de dance, démo de skate, basket-ball Pour tous: Dîner pique-nique familial interculturel, remise de pomme, activité soulignant le 10e de la fusion des villes.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

L'intervention sera faite le 1er juin

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
La journée des famille se répète à chaque année. Il pourrait y avoir un projet avec les nouvelles familles immigrantes.

Stagiaire # 13

1. Nom : Annie-Claude Bouchard
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Démystification, maladie mentale

3. Titre du projet d'intervention collective :
Kiosque interactif pour les activités de représentation de l'organisme
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Ville de Québec

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Création: 3 paravents (24 par 36 po), un diaporama, un jeu de société (24 par 16 po), des pensées en forme de pétales. Leader du projet, demande de l'avis du personnel et de la direction, demande d'estimes, demande de budget, animation de kiosques.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Une personne atteinte de maladie mentale n'est pas dangereuse. La maladie mentale n'est qu'une partie de la personne (la personne n'est pas une maladie). Personne n'est à l'abri de la maladie mentale, elle peut toucher n'importe qui n'importe quand.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

La maladie mentale fait peur puisqu'il y a beaucoup de préjugés par rapport à cela et elle est méconnue. Lors des activités de représentation de La Boussole, organisme qui vient en aide aux proches d'une personne atteinte de maladie mentale, les gens n'osent pas s'approcher du kiosque.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Les objectifs sont la démystification de la maladie mentale et d'avoir un kiosque interactif pour les activités de représentation de La Boussole. Les partenaires et les personnes impliquées sont: la directrice générale, le personnel de La Boussole, mon conjoint, mon père, l'imprimerie Graphica et Les copies de la Capitale. Mon rôle est la création des outils visuels pour le kiosque qui s'agencent avec l'image et la vision de La Boussole, demande de l'avis du personnel et de la direction, demande d'estimes, demande de budget, tester l'effet des outils durant l'animation de kiosques.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Création, modifications, budget, impression, test lors d'un kiosque.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Les outils visuels sont appreciés par le personnel de l'organisme et par les personnes qui visitent le kiosque.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Peut-être. Dans le sens où il est possible qu'il s'ajoute d'autres outils pour les activités de représentation de l'organisme.

Stagiaire # 14

1. Nom : Frédéric Parizeau
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Santé mentale Famille Rétablissement Ressources

3. Titre du projet d'intervention collective :
La famille un partenaire essentielle
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

CSSS Lac-Saint-Jean-Est

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Organisateur et animateur

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Paticipation citoyenne Autonomie Mobilisation Respect

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Manque de soutien des famille dont un proche souffre d'une problématique de santé mentale

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Outiller les familles dont un proche souffre d'une problématique de sante mentale afin d’éviter l'épuisement des proches et favoriser le rétablissement.

Groupes communautaires, T.s de l'établissement

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Recherche de partenaires (o.c)
Constructions d'une formation
Mobilisation des familles
Gestion des locaux

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Retour positif des familles et des organismes.
Les participant ont le sentiment d'être mieux outillés et d'être moins seul dans le processus de rétablissement de leur proche.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Un groupe de soutien aux familles

Stagiaire # 15

1. Nom : Annie-Pier Lessard
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Briser l'isolement des femmes dans le cadre de la semaine de la St-Valentin. Souper-conférence avec comme invitée une sexologue.

3. Titre du projet d'intervention collective :
Les relations amoureuses aujourd'hui, un défi quotidien !
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre de femmes au Quatre-temps

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Organiser, planifier, décorer, coordonner, assurer une collaboration, etc.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Collaboration, respect, autonomie, humanisation, équité, etc

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Beaucoup de femmes vivent de l'isolement et souffrent de solitude lors de la semaine de la St-Valentin

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

• Soutenir les femmes dans leurs démarches d'autonomie
• Briser l'isolement social des femmes et augmenter la solidarité lors de la semaine de la Saint-Valentin.

Partenaires:
Centre de femmes au Quatre-temps (coordonnatrice et femmes), sexologue, restaurant le Coq-rôti.

Notre rôle était de tout planifier, monter le projet, assurer la collaboration avec les partenaires, réserver la salle, décorer la salle, faire une ébauche du déroulement, du menu, monter un questionnaire d'appréciation, etc.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

- Contact avec le Centre de femmes
- Élaboration d'un questionnaire pour connaitre les intérêts des femmes
- Préparation du déroulement du projet
- Fabrication des affiches annonçant le souper
- Préparer une fiche d'inscription
- Faire les achats de décor

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Satisfaction en lien avec le projet. Beaucoup de plaisir et surtout de commentaires démontrant à quel point les femmes ont apprecié le projet. Belle collaboration avec le Centre, les femmes et la sexologue, bref avec tous les partenaires impliqués.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Dans le même but, soit de briser l'isolement social des femmes. D'autres séances d'informations pourraient être offertes en lien avec la sexualité des femmes, les relations amoureuses et autre.

Stagiaire # 16

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Livre de recettes de la Maison des familles
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Maison des familles de Chicoutimi

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Coordonatrice, planificatrice et mobilisatrice.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Solidarite, sentiment d'appartenance,

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

La maison des familles de Chicoutimi a besoin que le sentiment d'appartenance des participants de l'organisme augmente.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Le but visé est de créer chez les intervenantes et les participantes un sentiment d'appartenance à la Maison des familles de Chicoutimi et l'objectif du projet est de créer un livre de recette. Les partenaires sont tous les employés et bénévoles de la Maison des familles, les participants(es), Ville de Saguenay pour l'impression, un groupe d'étudiantes du cégep de Jonquière pour la conception de la page couverture et le lancement, le Marché Centre-ville pour la distribution.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Planification du projet, mobilisation des ressources nécessaires, faire une étude de faisabilité, établir un budget, élaboration et mise en page du livre de recette, trouver des collaborateurs, lancement du livre.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Les objectifs ont été atteints. Le livre est prêt à imprimer au début d'avril. Le projet se poursuit, le lancement du livre se fera le 5 juin 2008, à la fête du 15ième de la Maison des familles.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Étant donne le succès du projet, la Maison des familles pourrait avoir envie de monter d'autres projets afin de susciter le sentiment d'appartenance à l'organisme.

Stagiaire # 17

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Mise en place d'un centre communautaire intergénérationnel
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Lieu des rencontres : Carrefour communautaire St-Paul et SIU Lieu du futur centre : Sous-sol de l'ancienne église St-Paul

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Implication :
Présence aux réunions du comité provisoire et du sous-comité de travail
Participation aux échanges lors des rencontres Contact auprès de certains partenaires
Suivi auprès d'acteurs concernés
Rédaction de compte-rendu de réunion
Observation
Participation à la préparation des rencontres
Animation

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Développement local (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Valeurs et fondements de base : C'est d'abord un travail d'équipe, de partenariat, de concertation entre les organismes œuvrant déjà sur le territoire de Chicoutimi. C'est un projet inclusif dans le sens où l'on ne souhaite évacuer personne, aucune génération. Nous souhaitons qu'un lieu qui, par le passé a servi de lieu de rassemblement pour la population, conserve sa vocation initiale au moins en partie. Nous visons donc à remettre à la population un endroit qui lui appartenait et à maintenir ce lieu comme espace de rassemblement des gens du quartier et de l'Ouest de la ville de Chicoutimi. À l'intérieur même du centre nous désirons favoriser entre autres les partages du vécu et des connaissances entre les générations, la modification des perceptions qu'elles ont l'une de l'autre, la diminution des préjugés, l'entraide et la collaboration.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

La population, à Chicoutimi comme partout au Québec, est vieillissante. Selon le ministère de la santé et des services sociaux, d'ici 2020 la population âgée de 65 ans et plus de l'arrondissement augmentera de 20%. Il faudra à ce moment être prêt à offrir à cette tranche de population des opportunités d'implications, d'échanges, de développement, de maintien de ses capacités et de ses intérêts. Le quartier St-Paul est reconnu pour abriter des personnes à faible et a moyen revenu, particulièrement des familles. Certains organismes de la ville œuvre déjà auprès de ces clientèles (personnes âgées et familles), mais personne ne se charge, autrement qu'avec des projets d'ampleur limitée, de créer un lien entre les générations. Il existe des préjugés entre celles-ci qui contribuent au désintéressement et à la peur d'une génération pour l'autre. Les modifications de la structure familiale, la diminution de la natalité et l'éloignement géographique des familles nuisent aussi aux liens intergénérationnels. Or, par ses différences, chaque génération peut apporter aux autres.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

• Mobiliser les différents organismes concernes établir un portrait des ressources et des services offerts aux enfants, aux ados, aux adultes et aux personnes âgées sur le territoire de Chicoutimi
• Réaliser un devis de présentation du projet Partenaires : AQDR, Carrefour communautaire St-Paul, Fabrique Sacré-Cœur, CSSS (CLSC), CSSS (CHLSD), Habitations populaires, Corporation de la résidence du moulin, SIU, Centre d'Action bénévole, Comité de loisirs la Brigade. *Les partenaires se modifieront en cours de route dans le sens où les promoteurs ne seront plus sur le comité et où des organismes tels que Ados et vie de quartier et la maison des familles seront approchés pour représenter les autres générations sur le comité.

Rôle de la stagiaire : La stagiaire prend un rôle d'observatrice participative surtout, dans le sens où elle participe aux démarches de mise en place du projet, est présentée aux rencontres, rédige les comptes-rendus de rencontres, observe l'intervenante communautaire du CLSC et partage avec elle sur l'intervention collective, effectue des contacts et des suivis, écoute et observe lors des réunions. La stagiaire partage parfois son opinion et pose des questions, mais de façon générale elle écoute les échanges complexes de stratégies à adopter, de subventions possibles et d'acteurs concernes à la Ville. Elle a la possibilité d'animer.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Contact des partenaires potentiels, réalisation de rencontres avec les partenaires, échanges sur le projet, collecte de données sur les services offerts par les organismes déjà présents sur le territoire, recherche d'informations sur les projets intergénérationnels qui ont déjà été fait ailleurs, partenariat avec la Fabrique qui vend son église et avec les promoteurs, réalisation d'un devis de présentation du projet incluant le budget et les activités.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Un partenariat s'est développé entre les organismes concernés et les tensions créées par la crainte du dédoublement de services sont diminuées. Avec l'avancement du projet, l'intérêt des organismes à participer au projet est grandissant. Le centre devrait pouvoir utiliser le sous-sol de l'église St-Paul d'ici 2009-2010. Une ébauche de budget a été réalisée et la définition des activités à mettre en place est en court.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Le centre communautaire ne sera pas fonctionnel d'ici plusieurs mois. Une étudiante pourrait s'informer des développements et participer aux étapes à venir. C'est un projet de grande envergure et intéressant par le contact qu'il permet avec les autres partenaires.

Stagiaire # 18

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Prévention des abus en regard de l'utilisation d'Internet
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

École Notre-Dame de l'Assomption

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Nous avons fait la recherche d'information sur les risques d'abus de toute sorte sur sur Internet. Nous avons produit un document d'information distribué aux parents ainsi qu'un sondage.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

L'autonomie des familles sur l'utilisation d'Internet - Agir au plan préventif plutôt que curatif.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Il y a peu d'information disponible pour les parents pour contrôler l'utilisation qu'en font leurs enfants sur Internet. Le besoin s'est développé dans l'air de la popularité d'Internet dans les familles. La plupart des familles sont maintenant branche au réseau. Internet représente une porte d’entrée pour les abuseurs qui veulent avoir accès aux enfants par ce moyen de communication (clavardage, forum de disicussion, facebook, etc.)

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Les objectifs de notre intervention est d'informer les parents et de leur fournir des outils pour mieux intervenir avec leur enfant sur l'utilisation d'Internet. Les personnes impliquées dans ce projet sont les intervenants (éducatrice, intervenantes sociale, directrice, etc.) de l’école. Les partenaires sont tous les organismes que nous avons interpelles: la maison Isa , La chambrée, la maison des familles (Chicoutimi), parent ensemble (Dolbeau), le CAVAC, etc. Enfin, les parents sont des partenaires essentiels à notre projet puisque leurs rôles est de superviser leurs enfants et de mettre en place un filet de sécurité pour prévenir le risque d'abus (harcèlement, intimidation, pornographie, etc.)

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

- Rencontres avec nos partenaires impliques afin de planifier le projet - Communication avec les partenaires - Recherche d'information sur la problématique et sur les ressources existantes - Conceptualisation du dépliant d'information et du sondage

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Les outils sont maintenant disponibles pour les intervenants de l’école afin d'informer et outiller les parents. Nous avons suscité un questionnement dans les organismes que nous avons interpellés (maison des familles, CAVAC, maison Isa, etc.) en lien avec la nouveauté de la problématique et l'absence de services.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Il serait intéressant de poursuivre cette démarche afin de développer un programme qui pourrait servir aux organismes communautaires ainsi qu'aux différents établissements scolaires pour faire la prévention des abus en regard de l'utilisation d'Internet. Le programme pourrait contenir tout d'abord une section pour former les intervenants sur la problématique. Une autres section pourrait être développé pour effectuer l'animation pour offrir aux jeunes (Ex: ateliers, outils,etc.) et pour les parents (ex: conférence).

Stagiaire # 19

1. Nom : Shanye Voyer
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Le prix reconnaissance jeunesse démontre l'implication et l'engagement des jeunes dans la communauté!

3. Titre du projet d'intervention collective :
Prix Reconnaissance Jeunesse
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

L'auditorium d'Alma

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

J’étais la responsable du comité communication/publicité

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Reconnaissance sociale, collabaration, entraide, respect, favorise la prise en charge

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Le Prix Reconnaissance Jeunesse est un projet qui a été mis sur pied afin de reconnaître tous les efforts et l'implication bénévole déployée par des jeunes ages de 10 a 21 ans. Ce projet a pour but de souligner cette belle réussite et aussi de favoriser l'engagement des jeunes.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Depuis 2002, le Prix Reconnaissance Jeunesse prend place grace à la participation des membres de la MRC Lac-St-Jean-Est ainsi que la collaboration des maisons des jeunes. Mon rôle était de m'occuper de toute ce qui à trait aux affiches, pancartes, journalistes, messages d'envois, faire des téléphones, etc.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Pendant le gala, la participation des jeunes est de mise. Il y a une parution dans le journal qui est faite afin de chercher des jeunes qui ont des talents en tant que chanteur, musicien et danseur pour qu'ils fassent une prestation pendant le gala. De plus; il y a aussi une autre activité qui est convenue encore cette année, c’est que les jeunes fassent une FRESQUE qui aura comme thème l'estime de soi.
• Numéro musical Tam Tam par LA TRIBU
• Présentation de l'ouverture du gala (voix off)
• Sons à l'arrière et les animateurs discutent
• Martine Desbiens les envoie sur la scène en les présentant
• Mot de bienvenue des animateurs
• Protocole
• Mot de Mme Isabelle Privé, présidente de la TCJ
• Mot de M. Marc Asselin, Maire de Ville d'Alma
• 1er Numéro musical
• 2e Numéro musical
• Explication des catégories et des coups de cœur
• Composition de jury
• Présentation des candidats par municipalité
• Présentation des 3 premières étoiles
• Coup de cœur par municipalité par M. Alexandre Cloutier, député
• Présentation des 3 deuxièmes étoiles
• Coup de cœur par municipalité par M. André Paradis, Préfet
• Présentation des 4 premières étoiles
• Coup de cœur par école par Mme Christine Fortin, directrice générale adjointe de la Commission scolaire
• Présentation des 3 deuxièmes étoiles
• Coup de cœur par école par M. Bernard Cote, directeur général du CSSS
• Gagnants 3e Numéro musical
• 4e Numéro musical
• Présentation de la 1ere Catégorie : Culturelle et sportive - M. Alexandre Cloutier
• Gagnant 10-12 - Caisses Desjardins
• Gagnant 13-17 - Abitibi Bowater
• Gagnant 18-30
• Présentation de la 2ieme Catégorie : École - Mme Christine Fortin
• Gagnant 10-12 - M. Bernard Coté
• Gagnant 13-17 - M. Jean Paradis
• Gagnant 18-30
• 5e Numéro musical
• 6e Numéro musical
• Présentation de la 3ieme Catégorie : Communautaire - Promutuel
• Gagnant 10-12 - Ville d'Alma
• Gagnant 13-17 - Kiwanis
• Gagnant 18-30
• Musiciens
• PAUSE
• Entrée des musiciens
• Présentation de la 4ieme Catégorie : Groupe toutes catégories - Club Lions
• Gagnant 10-12 - M. André Paradis
• Gagnant 13-17 - Maison des jeunes d'Hébertville
• Village gagnant 18-30
• 7e Numero musical
• Présentation de la 5ieme Categorie : Individu toutes catégories - M. Marc Richard
• Gagnant 10-12 - M. Marc Asselin, Maire de Ville d'Alma
• Gagnant 13-17 - M. Alexandre Cloutier
• Gagnant 18-30
• Numéro musical de groupe
• Personnalité de l'année - M. Jean Paradis
• Fin de la soirée

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Les jeunes ont été reconnus et ils ont grandement apprécie la reconnaissance qu'on leur a faite. Les gens ont été très satisfaits pour le déroulement du gala!! De plus, nous nous sommes rendu compte que nous avions fait nos tâches dans le comité communication/publicité.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui, ce projet se répète d’année en année alors, je crois que celui-ci pourrait être un projet pour un futur stagiaire. En plus, il y a tellement de tâches et de sous-comités qu'il est facile de s'impliquer dans le projet du prix reconnaissance jeunesse.

Stagiaire # 20

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Programme d'aide à l'éveil à la lecture et à l'écriture
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Territoire Lac-St-Jean-Est

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Dans un premier temps, mon rôle a été de sensibiliser les intervenants du secteur de l’employabilité concernant le programme d'aide à l’éveil à la lecture à l'écriture. Dans un deuxième temps, j'ai pu m'impliquer à la collecte régionale de livre effectuée durant la semaine du 31 mars au 4 avril 2008.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Les valeurs qui sous-tendent le projet sont l’éducation et la famille. Le fondement de base est que les enfants sensibilises tôt à la lecture et à l’écriture apprennent plus facilement à lire, sont de meilleurs lecteurs et lectrices et obtiennent de meilleurs résultats en mathématiques.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les parents qui ont peu développé leurs capacités de lecture et d’écriture et qui pratiquent rarement ces activités ont un accès limité à l'information qui leur permettrait de connaitre les besoins de leurs enfants et de les accompagner dans la découverte du langage écrit. On constate souvent que les difficultés des parents à maitriser ce langage créent chez eux un sentiment d'impuissance. Pourtant, ils peuvent faire beaucoup pour accompagner leur enfant dans cette découverte. En effet, on peut trouver dans les familles ayant de faibles capacités ou pratiques de lecture des adultes qui ont adopté des stratégies familiales pour éveiller leur enfant à la lecture et à l'écriture. Ils ou elles jouent un rôle d'intermédiaire entre le langage écrit et l'enfant. Ces adultes donnent accès à l'enfant aux livres et aux écrits de toutes sortes, lui lisent des histoires, lui posent des questions sur le langage écrit présent dans son milieu, l'amènent à la bibliothèque. Par ailleurs, certains parents ont besoin d'être soutenus dans leur rôle de guide auprès de leurs enfants. Il a été démontré que, à la suite d'activités de formation et de sensibilisation des parents, les enfants obtiennent de bons résultats lorsqu'elles et ils sont exposés à des pratiques parentales positives. Ces activités ont pour effet de créer un milieu familial favorable au développement global de l'enfant et à son éveil à la lecture et à l'écriture. Il apparait donc important de susciter, dès la petite enfance, le gout de lire et de mettre sur pied diverses activités qui favoriseront l'éveil à la lecture et à l'écriture (Tremblay, 1997) des enfants des milieux défavorisés. Ces activités toucheront la famille, premier milieu de vie de l'enfant, principalement les parents, premiers éducateurs de l'enfant, de même que les organismes sociocommunautaires qui jouent un rôle auprès d'eux.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Objectif: Promouvoir et diffuser la littérature jeunesse auprès des parents et des organismes visés par l'information, l'accès aux livres, des activités de lecture, etc. Partenaires: CPE Les Picassos de l'ile, CPE Plein Soleil, CPE La Bambinerie, CPE L'Enfanthèque, CPE Les Trois petits pas, Centre de santé et services sociaux Lac-St-Jean-Est, Formation générale des adultes, écoles primaires secteur Nord, Centre Local d'Emploi Lac-St-Jean-Est, Réseau des bibliothèques du Saguenay-Lac-St-Jean. Rôle de la stagiaire: Participation à la collecte régionale de livres

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

1. Envoie d'un courriel informant les agents d'aide à l'emploi de l'existence du programme eLe ainsi que du matériel mis à leur disposition
2. Mettre un point à l'ordre du jour lors d'une réunion d'équipe Informer les agents de l'existence de la bibliothèque ainsi que des livres disponibles à remettre aux clients
3. Envoie d'un courriel informant les agents d'aide à l'emploi de la collecte régionale de livres
4. Envoie d'un communiqué de presse
5. Planification de la distribution des boites pour la collecte de livres
6. Distribution des boites dans les municipalités, les bibliothèques municipales ainsi que dans les écoles primaires et secondaires
7. Récupération des livres dans les municipalités, les bibliothèques ainsi que dans les écoles primaires et secondaires suite à la collecte de livres
8. Planification de la restauration des volumes et distribution des livres auprès des partenaires

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

L’évaluation finale pour la collecte régionale de livres n'est pas tout à fait terminée. Toutefois, nous avons pu faire le constat que c'est dans les écoles primaires où nous avons eu davantage de participation et par le fait même, que la collecte a été plus fructueuse.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Je crois qu'il y aura d'autres projets étant donné que la mise sur pied de ce programme avait comme objectif premier la pérennité de ce programme suite à son implantation.

Stagiaire # 21

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Programme Effet papillon
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre jeunesse Alma

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

- Préparation et animation des ateliers en collaboration avec des intervenants du milieu scolaire, du CSSS et du Centre jeunesse
-Participation aux comités de coordination
-Participation aux discussions cliniques avec tous les intervenants

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

L'enfant a besoin d'une réponse à ses besoins essentiels aux plans physiologiques, social, intellectuel et psychoaffectif. La famille, dans ses nombreuses mutations et ses formes multiples, demeure le milieu privilégié de socialisation et de sécurité pour l'enfant. L'enfant et sa famille sont les premiers concernés par l'intervention visant à répondre aux besoins psychosociaux et de réadaptation de l'enfant. Toute activité reliée à l'intervention doit assurer un accès rapide aux services dispenses par l'établissement, garantissant aussi la mobilisation concertée des ressources du milieu et des différents partenaires. L’établissement, dans l'organisation des services, doit tenir compte des mandats qui lui sont dévolus, des réalités régionales et des particularités géographiques, sociales et culturelles. L'organisation des services reconnait que ses partenaires possèdent une expertise dans leur domaine d'intervention et que leur apport est essentiel à l'atteinte des objectifs que nous formulons pour les enfants.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les informations contenues dans la banque commune -Centre jeunesse -Loi sur la protection de la jeunesse du Québec en 2003 nous démontrent que sur une période de sept ans (1993-2000), la problématique de négligence avait un taux d'incidence plus grand que toutes autres problématiques retenues par les Centres jeunesse. De plus, son incidence tend à augmenter. Cette problématique sociale est particulière par son aspect chronique et son taux élevé de récurrence. Il est démontre que la problématique perdure plus de six ans dans 65% des situations. Il a été observée qu’après 10 ans d'intervention, 25% des familles qui ont reçu des services de protection n'y retournent pas, 25% quittent pour les réintégrer par la suite et 50% sont toujours suivies de façon continue. De plus, le risque de récurrence de cette problématique est plus élevée sur une période de trois ans (32%) que dans les autres problématiques : abus physique (18%), abus sexuels (26%), troubles de comportement (21%). Enfin, le taux de négligence dans les signalements retenus est de 77,4% chez les 0-4 ans (Blanchard, 2003). Les données statistiques nous démontrent que la problématique de négligence à l’égard des enfants représente 59,3% des dossiers au service -application des mesures de notre organisation en date du 11 mars 2005. Ainsi, la problématique de la négligence représente 440 de ces 742 dossiers sur le territoire du Saguenay-Lac-St-Jean.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Intervention multidimensionnelle :
1) La socialisation et stimulation de l'enfant ;
2) Le développement des compétences et des capacités parentales ;
3) La croissance personnelle du parent comme adulte ;
4) La connaissance et l’intégration des ressources communautaires ;
5) Le rétablissement d'une dynamique familiale adéquate.

Objectifs généraux :
1) Bonifier les interventions en établissant une continuité de services inter-établissements, dans le but de réduire et d’éviter le nombre ainsi que la durée des placements des enfants.
2) Cibler les différentes dimensions de la vie familiale pour en arriver a des effets palpables et continus.
3) Fournir aux parents des moyens réduisant la menace de récurrence des comportements négligents.
4) Encourager le développement d’habiletés parentales pour contrer la situation qui est à la base du signalement ou de la demande de services en vertu de la Loi sur les services de sante et les services sociaux.

Objectifs spécifiques :
1) Offrir et faire vivre aux parents des activités stimulantes et socialisantes.
2) Conscientiser le parent sur les conséquences personnelles et parentales de son histoire familiale.
3) Accroître la compréhension et le discernement des parents en ce qui concerne les besoins des enfants.
4) Développer la qualité du lien affectif «parent-enfant».
5) Améliorer les interactions familiales.
6) Outiller le parent pour qu'il choisisse des modes d'intervention éducatives adéquats.
7) Générer un sentiment d'appartenance chez les parents pour développer la solidarité entre eux.

Partenaires et personnes impliquées :
Centre jeunesse :
-Éducatrices spécialises
-Stagiaire en travail social
-Intervenante
-Pivot
-Cadre responsable secteur application des mesures
-Intervenante responsable des ressources
-Cadre responsable secteur ressources
-Marraines de soutien aux familles (Bénévoles)

Intervenants aux dossiers Commission scolaire :
-Enseignante préscolaire-primaire CSSS
-Auxiliaire familiale
-Cadre
-Intervenants des dossiers
-Psychoéducatrice

Organismes communautaires :
-La Cigogne
-La Joujouthèque de Parenfant

Rôle de la stagiaire :
-Établir des liens et un partenariat avec d'autres professionnelles, organismes communautaires et établissements du réseau :
-Assurer la préparation et l'animation des groupes enfants en collaboration avec une éducatrice spécialisée, une auxiliaire familiale et une enseignante préscolaire-primaire.
-Faire la promotion du programme aux organismes communautaires.
-Établir des liens avec les organismes communautaires. Ex : Joujouthèque.
-Partager les informations, les orientations et les décisions avec l'équipe clinique de support :
-Rencontres d'équipe clinique aux deux (2) mois.
-Discussions avec les professionnels des ateliers parents et enfants hebdomadairement

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

-Ateliers éducatifs pour enfants 0-5 ans et 6-11 ans
-Ateliers de groupes de parents
-Soutien aux familles par des marraines
-Rencontres cliniques
-Rencontres de coordination inter-établissements
-PI /PSI -Suivis individuels

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Le programme d'intervention multidimensionnel n'a pas la prétention d'enrayer toutes les situations de négligence. Le modèle est cependant reconnu dans plusieurs régions de la province et démontre des résultats positifs. Il se veut d'abord instigateur d'espoir pour tous les intervenants travaillant avec cette problématique afin de briser leur isolement. Il se veut instigateur de partenariat intersectoriel et, surtout, instigateur de changement pour tous ces enfants et leurs familles qui vivent des difficultés importantes. Les établissements, les ressources du milieu, les intervenants, les parents et les enfants sont les acteurs premiers de la réussite de ce programme. Ainsi, la collaboration de chaque personne intéressée et touchée par le phénomène est un apport important et à privilégier. Au terme de cette deuxième année d'implantation, nous constatons que la clientèle a besoin d'un programme comme celui-ci et demande la possibilité d'y participer pendant une autre année. Nous voyons l’évolution pour les enfants et leurs parents. Nous croyons que ce programme est essentiel et nécessaire dans le but de d'enrayer la négligence familiale.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Tout a fait. Il existe actuellement des ateliers semblables pour d'autres types de problématiques. Par exemple, le groupe J'embarque, Y'a Personne de Parfait et les ateliers éducatifs de la Nichée pour les jeunes-mamans. Le Centre jeunesse collabore présentement avec les établissements dispensant ces ateliers. À plus long terme, le Centre jeunesse et le CSSS pourraient développer parallèlement un programme semblable pour les adolescents en troubles de comportement et leurs parents.

Stagiaire # 22

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Projet P.A.P Promotion-Accueil-Parenticipation
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

London - Ontario

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

J'ai participé plus activement dans la partie Promotion du projet P.A.P. L'objectif de la partie promotion était de faire connaitre les services de Vanier à la population francophone de London, augmenter la clientèle francophone a Vanier et démystifier les services qu'offrent Vanier (en effet, la population croit que Vanier dessert seulement les familles à hauts risques et avec de gros problèmes). (Voir la liste d’activités pour voir ce que j'ai accomplis à travers cette partie du projet). )

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Les valeurs qui sous-tendent cette intervention sont des valeurs d'équité, de justice sociale, d'égalité et de solidarité. Nous voulons que la population francophone de London puissent recevoir les mêmes services que les anglophones et nous voulons pouvoir être solidaire les uns avec les autres.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Il est souvent difficile pour les francophones du sud-ouest de l'Ontario d’accéder à des services en français pour eux et leurs familles. Pouvant la plupart du temps parler anglais, il leur est difficile de faire comprendre aux instances organisationnelles l'importance d’être servie en français. Car en effet, ce n'est pas seulement une question de langue, mais plutôt une question de culture à conserver et à soutenir. Ainsi, les francophones qui veulent avoir des services en santé mentale en français pour leurs enfants ont souvent de la difficulté à en trouver. Vanier offre maintenant depuis quatre ans des services en santé mentale en français pour les enfants et adolescents de 0 à 18 ans, toutefois beaucoup de familles d'expression française ne sont pas au courant des services offerts par Vanier (ou tout autre organisme où des services en français sont offerts). C'est pourquoi il est important d’accroître la promotion et l’accès aux services en français.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Le projet P.A.P., comme son nom l'indique, est divisé en trois volets : La Promotion des services en français en santé mentale pour enfant, adolescent et leur famille, l'Accueil ou l'accès au service d'accueil et d'intervention de crise et le programme de PARENTicipation qui est un programme d'entrainement parental positif jumelée a un groupe de résolution de conflit pour enfant. Les partenaires sont : le Conseil des écoles catholiques le Conseil des écoles publiques, le centre préscolaire la Ribambelle, Crisis Intake Team de Vanier et le Bureau de Santé. Nous verrons, tout au long du point 6, l'implication de chacun des partenaires en lien avec les différentes activités.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Activités: - Création d'affiches pour annoncer les services francophones de Vanier (Annexe 1) et d'une affiche pour annoncer le groupe de compétence parentale COPE - Création de - Tear-away sheets (feuillets detachable) - on retrouve les informations essentiels de bases sur Vanier et les services francophones. - Écrire et envoyer une lettre à chaque parent des écoles de London leur expliquant les services de Vanier - Traduire en français et mettre en ligne le site Web de Vanier afin qu'ils soient accessible aux francophones et que ceux-ci sachent qu'ils peuvent être desservis en français - Faire une présentation communautaire aux élèves de Monseigneur Bruyère sur 1) la santé et la maladie mentale 2) sur Vanier (3) sur l'estime de soi et 4) sur l'intimidation à l'école - Faire une présentation communautaire aux parents des écoles catholiques que Vanier dessert sur les services de Vanier - Trouver et commander des livres et vidéos afin d'augmenter le nombre de ressources en français dans la bibliothèque de Vanier

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Nous n'avons malheureusement pas encore les statistiques du nombres d'accueils et de crises auxquels nous avons répondus, ces chiffrent nous permettrons de voir si nous avons atteint notre objectif de recevoir plus de 75 accueils dans un an. Nous aurons ces résultats très bientôt. Cependant, nous avons eu d'excellents commentaires par rapport aux présentations dans les écoles. Certains élèves sont venus nous consulter grâce à ces présentations. De plus, les groupes de compétences parentales ont eu lieu et les parents étaient très satisfaits. De plus, Vanier a maintenant un contrat de travail avec une thérapeute francophone une journée semaine. Le service d'intervention de crise est en place pour la communauté.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui puisque notre intervention a ouvert la porte pour les autres francophones à s'impliquer dans la communauté et à faire valoir leurs droits.

Stagiaire # 23

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Promotion du service Info-social
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Nous avons realisé notre projet auprès de 8 organismes communautaires de la région.

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Préparation et co-animation de la présentation du service Info-social d'une durée d'environ 30 minutes.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Action sociale (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Empowerment, justice sociale, respect et solidarite.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Le service Info-social est souvent méconnu de la population régionale.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

L'objectif de notre projet a été de faire connaitre davantage le service auprès des usagers des ressources communautaires de la région. Les partenaires de notre projet ont été 8 organismes communautaires, soit:

- Le groupe le P.A.S
- LENAM
- Mil Métiers
- Service budgétaire
- Accès conditions de vie
- Parenfant
- L'AQDR
- Le S.I.I.T

Mon rôle a été de préparer et de présenter la présentation auprès des usagers.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

- Brainstorming
- Recherche d'information dans le but de préparer la présentation
- Préparation de la présentation
- Co-animation
- Évaluation des résultats
- Bilan du projet collectif

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

À la fin de chacune des présentations, nous remettions une grille d’évaluation de la rencontre aux usagers. Les commentaires ont été, de façon générale, très positifs.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui, en effet puisque nous avons visité seulement huit organismes communautaires, principalement à Alma. Il serait donc intéressant de présenter le service auprès de d'autres organismes communautaires de la région et même de présenter le service auprès des intervenants des ressources communautaires.

Stagiaire # 24

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Promotion du service Info-Social
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Notre projet s'est réalisé dans huit organismes communautaires de la région.

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Pour la réalisation de ce projet, j'ai participé à la préparation ainsi qu'à la coanimation de notre présentation.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Action sociale (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Notre projet s'est inspiré de plusieurs valeurs importantes dans le domaine du travail social. Ces valeurs sont: la solidarité, le respect, la justice sociale ainsi que l'empowerment.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Nous avons tout d'abord constaté que le service Info-Social était peu connu de la population en général et que peu de promotion avait été faite afin de le faire connaitre.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

L'objectif est de faire connaitre davantage le service Info-Social auprès des usagers de diverses organismes communautaires de la région du Saguenay-Lac-St-Jean. Nous avions huit partenaires principaux, soient ces organismes communautaires: l'AQDR d'Alma, le service budgétaire d'Alma, l'Encrier, le Groupe LePas, Parenfant, Mil-Metiers, l'ENAM et le S.I.I.T. Mon rôle dans ce projet était de mettre sur pied la présentation et coanimer avec l'autre stagiaire.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Nous avons tout d'abord fait un brainstorming afin de décider de la manière sont nous voulions faire la promotion du service. Par la suite, nous avons fait de la recherche d'information et nous avons préparé la présentation. Nous avons alors communiqué avec divers organismes et nous avons présenté notre projet dans huit d'entre eux. Nous avons finalement fait une évaluation des rencontres ainsi qu'un bilan de notre projet collectif.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

À la fin de chaque rencontre, nous demandions aux participants de remplir une évaluation. Les commentaires ont en très grande partie été positifs.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui, d'autres projets pourraient très bien émerger suite a notre démarche. Beaucoup de promotion peut encore être fait puisque nous n'avons ciblé que huit organismes communautaires. Il pourrait également être pertinent de faire de la promotion au niveau des intervenants de ces organismes.

Stagiaire # 25

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Répit accompagnement aux proches aidants
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

À domicile, Chicoutimi

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Chargé de projet: rencontrer clientèle pour compléter demande de service, embauche du personnel, suivis, embauche du personnel, horaires, etc.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Entre-aide, soutien, respect et confidentialité.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les proches aidants ont besoin de répit, il s'agit de prendre le relais auprès de la personne en perte d'autonomie afin de libérer le proche aidant.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Accorder du répit aux proches aidants afin d’éviter l’épuisement chez eux ce qui leur permet de poursuivre leurs activités. Assurer un suivi auprès de la clientèle.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Rencontrer le proche aidant, s'informer de ses besoins, le référer au besoin, assurer un suivi, motiver le proche aidant a renouer avec son réseau.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Les proches aidants bénéficient d'un moment de répit, ce qui diminue le stresse et la fatigue. L'impression de fardeau est diminué. Ils se sentent compris et supportés dans leur démarche.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui, nous avons déposé un projet qui servirait à réunir des proches aidants afin de les informer et de les former sur le rôle d'un proche aidant. Ce qui pourrait également être un amorce pour créer un groupe de soutien.

Stagiaire # 26

1. Nom : Joanie Boulay
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Ressources communautaires Soutien à l'autonomie

3. Titre du projet d'intervention collective :
Ressources pour les usagers du soutien à l'autonomie et leurs proches
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

CSSS de Sept-iles

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Création d'un bottin des ressources disponibles pour les usagers du soutien à l'autonomie

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Autonomie, accès à l'information, équite, entraide Autonomie, accès à l'information, équité, entraide

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Manque de connaissances des ressources communautaires par les usagers du soutien à l'autonomie et leurs proches

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

L'objectif principal était de mettre en circulation un bottin des ressources disponibles dans la communauté pour ainsi faciliter l’accès aux ressources et venir en aide aux proches aidants Les partenaires, dont leur rôle était cependant limite, étaient toutes les ressources ciblées pour le bottin. Mon rôle était d'identifier ces ressources et de mettre par écrit leurs coordonnées, leur mission et leurs services.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Recherche et consultation de documents déjà existant.
Cibler les ressources pertinentes.
Dans certains cas, entrer en contact avec les personnes-ressources.
Élaboration d'une ébauche (adaptation du document pour la clientèle des personnes âgées).
Création du bottin des ressources

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Malheureusement, par manque de temps, le bottin des ressources n'a pu être evalué par les usagers.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Non

Stagiaire # 27

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Sensibilisation des employés et bénévoles du Centre hospitalier, à l'abus, la violence et la négligence a l'égard des ainés
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre hospitalier du CSSS Jonquière

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Mon implication s'est située à tous les niveaux. Autant dans la préparation et planification du projet collectif, que dans la préparation et planification de l’activité. J'ai pris contact avec d'innombrables personnes travaillant de près ou de loin avec la clientèle gériatrique. J'ai participé à une superbe rencontre avec un intervenant de Chicoutimi, qui s'est énormement investit dans cette cause, tout au long de sa carrière (M. Charle-Roland Simard). J'ai recueillis de nombreux dépliants sur la problématique en question. J'ai trouvé un commanditaire désireux de financer un concours qui s'est déroulé lors du kiosque (Indicateur de mesure qui visait a évaluer l'impact de l'intervention). J'ai collaboré à la rédaction du travail écrit que nous partageons avec vous aujourd'hui, etc.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Comme nous le savons tous, la population du Québec se fait de plus en plus vieillissante. Les hôpitaux nous le rappellent quotidiennement, puisque que les personnes âgées représentent une grande majorité de la clientèle hospitalisée. En ce qui nous concerne, c'est en voyant l'étonnante vulnérabilité de nos ainés et l'isolement auquel ils sont confrontés, que nous avons choisi de réaliser une intervention qui permettrait de leur offrir, une meilleure qualité de vie et surtout le respect qu'ils leur reviennent. Pour notre projet collectif, le milieu hospitalier s'avère un choix judicieux, de par leurs besoins grandissant concernant leur état de santé, mais surtout parce que nous avons été témoins, dans le cadre de notre stage, de plusieurs dossiers soulevant une situation d'abus, de violence ou de négligence envers un aîné. Ce sont ces expériences qui nous ont particulièrement sensibilisées a la problématique en question. Afin de nous préparer à la réalisation de notre projet d'intervention, nous avons d'abord dressé un portrait de l'arrondissement où se déroulera notre projet, c'est-à-dire de Jonquière. Notre activité de sensibilisation se déroula plus précisement au centre hospitalier. Nous avons réalisé une petite étude du milieu, dans le but de connaitre sa mission, les services qui y sont offerts et la clientèle qu'on y retrouve. Par ailleurs, nous avons également soulevé le portrait des employés de l'établissement, afin de connaitre les caractéristiques de la clientèle visée par notre kiosque de sensibilisation.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

La définition du problème Notre problématique s'interroge sur les comportements inadaptés qu'ont les individus a l’égard des personnes âgées et sur la reconnaissance de ces comportements par les différents intervenants en relation avec les aines. Nous définissons ces derniers comportements comme tout acte ou toute absence d'acte qui compromet la santé ou le bien-être d'un aîné (Lukawiecki, 1993). Il peut s'agir de violence physique ou psychologique, d'exploitation financière ou matérielle, d'exploitation sexuelle, de violation des droits civils ou des droits de la personne et de négligence. Au Canada, il existe deux principales sources de données qui mesurent l'étendue et la nature de la violence contre les personnes âgées : les données sur la criminalité, étant signalées à la police, sont tirées du Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l'affaire (DUC2). Les données sur la victimisation autodéclarée, sont pour leur part tirées de l'Enquête sociale générale (ESG). Selon cette dernière, en 2004, les aînés étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes plus jeunes de subir une agression, une agression sexuelle ou un vol qualifié. Le taux de victimisation avec violence signalée par les aînés, était presque quatre fois moins élevé que pour les personnes âgées de 55 a 64 ans. Cependant, ce que nous avons pu constater sur le terrain dans le cadre de notre de stage, nous démontrait une tout autre réalité. Effectivement, nous avons été témoins de plusieurs cas d'abus, de négligence et de violence de toutes sortes envers les personnes âgées. Étant très vulnérables et facilement manipulables, ceux-ci sont moins portes à dénoncer une personne qui leur porte préjudice. Cet individu n'est pas seulement abuseur, il est aussi son proche aidant, celui qui déneige ses escaliers, etc. Selon le Centre d'aide aux victimes d'actes criminels (CAVAC), cette dynamique entraîne de l'isolement, de la peur, de l'impuissance chez la personne âgée. Nous avons également constaté que les intervenants du milieu manquaient de connaissance sur les soins particuliers pour ce genre de clientèle, tandis que d'autres ne savent pas reconnaître les différentes sortes de violences qui doivent être dénoncées. 2.2. L'ampleur En ce qui concerne la province du Québec, ce problème social prend de plus en plus d'ampleur étant donné le vieillissement de la population. Selon l'institut de la statistique du Québec, en 2002, les gens âgés de 65 ans et plus, représentaient 13,1 % du total de la population. De ce groupe, 44,1 % avaient plus de 75 ans. Près de 4 % d'entre eux, vivent dans des centres hospitaliers de soins longue durée (CHSLD) et un peu plus de 8 % vivent dans des résidences privées avec services. Les autres personnes âgées vivent à domicile. Dans l'ensemble, un peu plus de 12 % bénéficient de soins à domicile. Selon les projections démographiques, les Québécoises et les Québécois âgés de 65 ans et plus pourraient représenter près de 30 % de la population totale en 2041. Selon la fondation Philippe-Pinel (2001), au Québec il y aurait entre 60 000 et 100 000 personnes retraitées qui serait victime d'abus, de violence ou de négligence. Malgré l'ensemble des différents organismes en place et tous les efforts déployés, 10% des personnes du groupe du troisième âge subirait des mauvais traitements. Selon le profil statistique des personnes âgées francophones au Canada sur le site internet de la FAAFC (Fédération des Ainés et Ainées Francophones du Canada) 30,1% de la population du Québec en 2001 était âgée de 55 ans et plus. Comparativement au reste du pays, c'est dans la province du Québec qu'on retrouve le plus grand nombre d'ainés, plus d'un million, et ce nombre ne compte que ceux qui sont francophones de première langue. Au niveau de la population anglophone, 30,2% sont âgés de 50 ans et plus. Le silence des victimes et des témoins ne fait qu'aggraver la situation. Dans un premier temps, les victimes n'osent pas dénoncer un acte de violence ou un mauvais traitement parce qu'ils ont peur de ce qui pourrait arriver par la suite. De plus, ils ne veulent pas créer de conflit au sein de leur famille, ils ont peur d'être abandonnes, d'être placés dans un foyer et d'être dans l'obligation de changer brusquement de milieu de vie. Cette peur est également nourrie par toutes les formes de menaces portées à leur égard. En deuxième temps, ce qui fait obstacle à la dénonciation, c'est l'incompréhension de la situation, et le manque d'information au sujet de leur droit et des ressources dont ils disposent. Dans la majorité des cas, les personnes âgées victimes d'actes criminels vivent dans la confusion et ne savent pas mesurer la gravite de la situation. Plusieurs d'entre eux ne savent pas reconnaitre les différentes formes de violence, d'abus et de négligence. Finalement, les personnes âgées ayant une mauvaise perception d'elles-mêmes, sont moins portées à dénoncer un acte de violence. Elles agissent de cette manière pour diverses raisons. D'abord, car elles croient souvent que c'est de leur faute si quelqu'un se comporte de cette manière envers elle. Elles croient qu'elles ont ce qu'elles méritent. Elles se sentent comme un fardeau pour la société, car c'est ce que notre société croit et leur démontre. Dans certains pays, les personnes âgées sont considérées comme une richesse pour la société. Ils sont l'image de la sagesse, de l'expérience et sont respectées dans leur intégrité. Le problème se situe à la base de tout, c'est-à-dire dans la mentalité collective ! Voilà un facteur extrêmement important, qui fait en sorte que les comportements de violence, d'abus et la négligence envers les personnes âgées, sont un problème social grandissant. Au silence des victimes, s'ajoute le silence des témoins. Pour diverses raisons, les gens gardent trop souvent les yeux fermés lorsqu'ils sont témoins de tels comportements. Ils le font d'abord par crainte de ce qui pourrait en découler. En effet, différentes raisons sont à l'origine du silence des victimes, telles que : créer un conflit familial, ils minimisent parfois l'incident, la faute est mise sur la victime (on la rendant responsable de son sort) et plusieurs professionnels croient qu'ils doivent respecter le secret professionnel du code de leur profession et demeurent ainsi silencieux. Ceux-ci ont aussi peur des conséquences et croient même parfois, qu'ils pourraient perdre leurs emplois. Pourtant, l'abus, la violence et la négligence sont des actes criminels, et c'est notre devoir de citoyen de les dénoncer.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Nous avons choisi de sensibiliser et de mobiliser les employés et bénévoles l'hôpital de Jonquière, pour qu'elle puisse devenir à son tour, une actrice active dans la diminution des phénomènes d'abus, de violence et de la négligence faite à l'égard des personnes âgées de ce secteur. Nous croyons que l'approche éducative est une bonne méthode, car le personnel employé et bénévole est constamment en relation avec nos personnes âgées et leurs familles. Notre activité les outillera et les habilitera, à reconnaitre et à faire face à des situations de cette nature. De ce fait, la population ciblée sera donc en mesure de reconnaitre les indices précurseurs, de valider si leurs soupçons sont fondés ou non, de formuler leur soupçon et finalement de dénoncer la situation, afin qu'une personne aille s'intègre au système client pour valider la possible existence d'abus, de violence ou de négligence. Nous espérons que enseignements rendra les employés et bénévoles de l'hôpital plus sensibles à la problématique et les amènera à adopter de nouveaux comportements face au phénomène de l'abus, la violence et la négligence. 3.2. Intervention pour sensibiliser et mobiliser notre clientèle Nous tiendrons un kiosque d'informations et de sensibilisation, dans l'entrée de l'hôpital de Jonquière. Nous avons choisi de réaliser l'intervention à deux moments différents, soit le 22 novembre et le 30 novembre 2007. Le fait qu'il y ait une semaine d'intervalle entre nos deux activités, permettra de toucher deux groupes différents d'employés et bénévoles. Lors de notre kiosque, différentes affiches (outils écrits) présenteront notre kiosque et le phénomène de l'abus, la violence et la négligence envers les personnes âgées. Nous remettrons à chaque visiteur divers dépliants portant sur la problématique et sur les ressources à contacter. Nous croyons que plusieurs personnes se sentent concernées par cette problématique. De ce fait, nous leur permettrons de s'impliquer davantage en se portant vers l'action. Pour ce faire, nous leur enseignerons les signes précurseurs d'une situation d'abus, de violence ou de négligence, certains indices à surveiller et les ressources qu'ils peuvent contacter devant un soupçon. Le but de notre kiosque est que les employés de l'Hôpital de Jonquière soient plus attentifs et sachent mieux identifier une situation d'abus, de violence et de négligences. Ils seront ainsi plus à l'aise de formuler un soupçon lorsqu'ils se croient dans une telle situation. De par cet engagement, ils aideront les personnes âgées de notre communauté à se sentir davantage en sécurité, et mettront leurs connaissances a leurs services, dans le but d'arriver à faire changer les choses. Durant notre activité, nous prendrons le temps d'expliquer comment se manifeste la problématique et quelle ampleur prend le phénomène (statistiques versus réalité = LOI DU SILENCE). Pour plus d'informations sur le déroulement de notre activité de sensibilisation, referez-vous à notre grille de planification d'une activité spécifique ainsi qu'à l'annexe.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Objectif général du kiosque de sensibilisation: Sensibiliser les employés et bénévoles de l'hôpital de Jonquière, à la violence, a l'abus ainsi qu'à la négligence faite envers les personnes âgées. Objectifs spécifiques de la planification de l'activité: 1-Rendre les visiteurs du kiosque, attentifs aux manifestations de violences, d'abus et de négligence faits envers les ainés. 2-Outiller les visiteurs du kiosque, afin qu'ils soient en mesure d'identifier les signes précurseurs et les indices s'apparentant à une situation de violence, d'abus ou de négligence. 3- Sensibiliser les visiteurs à l'ampleur du phénomène sous toutes ses formes 4- Enseigner aux visiteurs quoi faire devant une situation (ou un soupçon) de violence d'abus et de négligence.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Résultats par rapport à notre indicateur d'implantation ainsi qu’à notre indicateur d'effet : Au total, nous sommes parvenus à rejoindre 69 participants. De ce nombre, 51 personnes étaient des employés et bénévoles du centre hospitalier. Les 18 autres étaient des visiteurs ou des patients. Des 51 employés que nous sommes parvenues à rejoindre, 19 étaient des employés de l'entretien ménager, de la maintenance, ou sont des employés de bureau. Sur les 358 personnes que nous avions décrites comme des employés particulièrement en contact avec la clientèle des personnes âgées, 23 furent rejoints par notre kiosque. Enfin, les 10 autres n'ont pas inscrit le poste (métier) qu'ils occupent. Indicateur 1 : Comme nous l'avions dit plus tôt, 689 employés soulignes en gras dans la liste, nous semblaient susceptibles d'être en relation dans leur travail, avec les personnes âgées. Le pourcentage d'employés de la liste qui font partie du CH est de 52% (52% de 689 est égal à 358). Idéalement, nous désirions rejoindre environ 60% de ces 358 employés juges bons candidats, soit 215 employés. Nous n'avons malheureusement pas atteint cet objectif, puisque nous n'avons rejoint que 51 employés au total. Indicateur 2: 32 personnes externes à l'hôpital devaient être rejointes par notre kiosque de sensibilisation. Cet objectif n'est pas atteint, puisque nous n'avons rejoint que 18 personnes de cette catégorie. Indicateur 3 : Du nombre total de personnes rejointes par notre activité, 80% devaient avoir répondu adéquatement aux questions sur le coupon de tirage, soit 55 personnes sur 69. Nous avons donc réussi haut la main cet objectif, puisque l'ensemble des personnes ayant participé au concours, soit 62 des 69 (90%) personnes, avait correctement répondu aux questions. Obstacles rencontres : - Manque de dépliants et manque d'affiches publicitaires. - Les gens croyaient parfois que nous étions des vendeurs, car la veille des dames vendaient des calendriers au même endroit. Les employés ont peu de temps à nous consacrer, puisque nous les interpellions lors d'un temps de pause, d'une heure de diner ou d'un déplacement rapide. Cela faisait en sorte que les gens n'arrêtaient pas, ou nous devions être très synthétiques étant donné qu'ils disposaient de peu de temps. - Les rénovations, qui faisaient énormément de pollution auditive près de nous. Beaucoup de gens nous entendaient mal ou n'arrêtaient tout simplement pas pour cette raison. - En écrivant simplement poste occupe au verso du coupon, certaines personnes ont inscrit le poste téléphonique où nous pouvions les rejoindre. De ce fait, nous ne pouvons savoir quelle est leur profession au sein de l'hôpital. À améliorer : Nous croyons que les dépliants transmis lors du kiosque, sont très éducateurs. Toutefois, nous constatons que les dépliants recueillis sur le sujet de l'abus, la violence et la négligence envers les aînés se contredisent. En effet, ils ont chacun leur façon de décrire le phénomène, de classifier les formes d'abus, de violence et de négligence. Nous avons eu de la difficulté à s'y retrouver par moment. C'est d'ailleurs pour cette raison que nous avons choisir d'aborder le sujet comme « L'abus, la violence et la négligence envers les aînés » plutôt que de simplement utiliser le mot violence. C'est de cette façon que nous avons pu nous constituer un portrait intéressant de la problématique. Apprentissages Notre projet d'intervention collective nous à permis de comprendre à quel point la mentalité collective à l'égard des personnes âgées (qu'elles sont un fardeau), est en partie responsable de cette violence qui est portée contre nos aînés. Parallèlement, notre activité de sensibilisation nous à démontré à quel point, les employés et bénévoles de l'hôpital de Jonquière sont sensibles à la problématique sociale en question, et surtout à quel point ils sont sensibles à la souffrance que vivent nos personnes âgées. Ils connaissent assez bien le phénomène. Ils sont cependant moins conscients de l'ampleur que peut prendre le phénomène et ne connaissent pas ou peu, l'existence de la loi du silence, qui règne autour de cette problématique. Pour notre part, nous avons appris à distinguer l'abus de la violence et de la négligence. Il fut aussi extrêmement intéressant de constater à quel point le SILENCE est au cœur de cette problématique. Il fut particulièrement intéressant d'apprendre à démystifier les différents tabous qui amènent les victimes et les témoins à garder secrètes les situations d'abus de violence et de négligence. Enfin, notre projet nous à aussi permis de nous familiariser avec les différentes ressources et services relies à notre problématique sociale. Nous avons énormément appris en réalisant ce travail. D'abord sur la problématique en question, mais aussi sur les personnes âgées, sur la communauté de Jonquière, sur le CSSS Jonquière et plus particulièrement sur l'hôpital de Jonquière et ses employés. Nous espérons avoir contribué à conscientiser et sensibiliser le plus de personnes possible face à la problématique sociale qu'est « l'abus, la violence et la négligence, faits à l'égard des personnes âgées ». Nous souhaitons de tout cœur, que tombent désormais les fausses croyances, que le silence soit rompu et que la dignité et le respect soient rendus à notre richesse collective ; NOS AÎNÉS !

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Il serait intéressant de poursuivre cette démarche afin de développer un programme qui pourrait servir aux organismes communautaires ainsi qu'aux différents établissements scolaires pour faire la prévention des abus en regard de l'utilisation d'Internet. Le programme pourrait contenir tout d'abord une section pour former les intervenants sur la problématique. Une autres section pourrait être développe pour effectuer l'animation pour offrir aux jeunes (Ex: ateliers, outils, etc.) et pour les parents (ex: conférence).

Stagiaire # 28

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Sensibilisation sur les conséquences de la victimisation et sur les services offerts aux victimes d'actes criminels.
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Mont Jacob

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Mon rôle dans ce projet : Animatrice de la soirée reconnaissance pour souligner l'aide apportée aux victimes par leur proche ainsi que pour souligner l'implication des organismes œuvrant auprès des victimes d'un crime. Un sous-comité a été formé pour la réalisation de cette activité.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Action sociale (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

La reconnaissance du travail effectué par nos partenaires. Le respect entre les différents organismes. Croire aux compétences des personnes victimes à sortir vainqueur d'un événement traumatisant.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Les proches des personnes victimes restent souvent dans l'ombre même si leur aide est importante pour la reprise de pouvoir des victimes. Les organismes qui interviennent auprès des personnes victimes ne sont pas tous connus de la population.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Faire connaitre à la population régionale l'aide qui est apportée aux personnes victimes d'un crime. Informer et conscientiser la population et les partenaires du CAVAC à la réalite des victimes d'actes criminels.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Soirée reconnaissance visant à remercier les personnes significatives des victimes d'actes criminels de leur soutien. Articles publicisés dans les journaux régionaux sur les conséquences de la victimisation.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Il y a quelques personnes qui ont communiqué avec notre organisme suite à la parution des articles de journaux. Nos clients (victimes et proches) qui ont été invités à la soirée ont été très touchés et émus des mentions que nous leur avons offertes. Il y a même une de mes clientes qui a pris la parole pour remercier l'aide que je lui ai apporté pendant le processus judiciaire et elle a également remercié son conjoint de l'avoir soutenu pendant cette période. Nos collaborateurs (organismes communautaires, policier, procureur) ont été satisfaits de l'ensemble de la soirée.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Étant donné que nous avons effectué notre projet dans le cadre de la semaine nationale de sensibilisation aux victimes d'actes criminels, nous pourrions l'année prochaine effectuer une autre activité dans le cadre de cette semaine.

Stagiaire # 29

1. Nom : Sylvie Boucher
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Analyse des besoins. Vécu des familles à l’égard de leur rôle d'aidant naturel. Rôle et accompagnement d'une personne personne atteinte de démence.

3. Titre du projet d'intervention collective :
Supporter les proches aidants.
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Unité psycho gériatrique du Centre d’hébergement St-Frédérik

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Création et distribution d'un sondage. Établir des liens avec les partenaires. Compilation des résultats. Présentation d'un bilan aux partenaires, faisant mention de recommandations en liens avec les besoins exprimes par les familles. Préparation et animation d'une rencontre avec les familles. Création d'un outil favorisant l'offre des services, rédaction d'un article de journal.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Faire ressortir les besoins des familles. Identifier les besoins des familles dans leur rôle d'aidant naturel. Reconnaître la lourdeur du rôle d'aidant dans l'accompagnement d'une personne atteinte de démence. Soutenir les familles pour éviter l'épuisement. Outiller les familles dans leur rôle d'aidant.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

L'unité psychogériatrique au Centre d'hébergement existe depuis 2 ans. Les observations relevées jusqu'à présent par la travailleuse sociale attitrée à l'hébergement sont les suivantes : incompréhension des familles face aux comportements reliés à la démence. Insatisfactions relevées à l'égard des interventions du personnel. Lourdeur et épuisement dans le rôle d'aidant. Charge émotive importante dans le processus de l'admission en hébergement.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Objectif principal :
Permettre aux familles d'exprimer leur point de vue et leur vécu en lien avec leur rôle d'aidant et l'hébergement de leur proche.

Objectifs spécifiques :
1. Évaluer les besoins des familles.
2. Identifier le vécu des familles en lien avec la maladie de leur proche en hébergement.
3. Analyser le lien entre le vécu des familles et les situations de crises observées.
4. Faire ressortir des recommandations suite aux besoins exprimés par les familles.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

1. Réflexion et analyse en lien avec le vécu des familles et les insatisfactions relevées face à l'hébergement de leur proche.
2. Rencontre d'information auprès de la responsable de l'hébergement, le personnel de l'unité, le chef de programme du CLSC et la travailleuse sociale attitrée à l'hébergement pour expliquer le projet.
3. Création d'un sondage pour recueillir les besoins des familles.
4. Un appel téléphonique a été effectué auprès de chaque famille pour annoncer le sondage et susciter leur participation à y répondre.
5. Distribution du sondage auprès de l'aidant principal par courrier.
6. Compilation des résultats.
7. Bilan des recommandations face aux besoins exprimés par les familles remis aux différents partenaires.
8. Préparation et animation d'une rencontre de suivi auprès des familles.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Résultats à venir.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Très certainement, puisque ce projet a permis de recruter des personnes ressources auprès des familles qui sont prêtes à s'impliquer.

Stagiaire # 30

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
Violence intervenants/clients
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre jeunesse Alma

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Faire un sondage et le distribuer dans tous les centres jeunesses du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Après avoir distribué mon sondage et avoir reçu les formulaires remplis, j'avais pu établir un pourcentage de réponses. Maintenant, en stage 2, je poursuivrai en ayant à compiler et à analyser ces résultats. Une fois ces étapes terminées, je fournirai un bilan résumant l'analyse de mes résultats aux membres du comité S.V.P. Ensuite, lors des réunions du comité S.V.P. une distribution des tâches a été effectuée et je me suis fais attribuer la responsabilité de monter un dépliant sur la violence faite par la clientèle envers les intervenants.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Planning social (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

La politique traduit la volonté et l'engagement du Centre jeunesse et prévenir les agressions et leurs conséquences ainsi que d'offrir aux employés des conditions de travail sécuritaires leur permettant d'exercer leurs fonctions avec compétence et efficacité.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

La violence faite aux intervenants provenant de la clientèle est fréquente au centre jeunesse. Que l'on parle de violence psychologique, physique ou verbale, ces trois formes de violences faites par les clients envers leur intervenant est inacceptable. Si aucune ventilation n'est faite ou qu'aucun moyen n'est utilisé aux suites de tels événements, des traces peuvent demeurer chez les intervenants. C'est pourquoi Isabelle Côté, travailleuse sociale, a fondé la relation d'aide sécuritaire.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

La politique vise a valoriser une attitude proactive en prévention de la violence et s'assurer que chaque incident de violence venant de la clientèle reçoive une attention particulière. Les objectifs spécifiques :

1- Conscientiser le personnel à la violence provenant de la clientèle.

2- Prévenir les cas potentiels de violence en utilisant le protocole de préparation d'entrevue.

3- S'assurer qu'il y a un rapport de ces événements au Centre jeunesse.

4- S'assurer que l'employé victime de violence reçoive l'intervention post-incident.

Les partenaires potentiels sont :

- Comité S.V.P. (Sensibilisation, Vigilance, Prévention)

- Les formateurs de cette approche :
Claude Boissonneault
Annie Fillion
Isabelle Côté

- Isabelle Cote, fondatrice de cette approche et auteure du livre : "La relation d'aide sécuritaire"

- Mon role : Faire un sondage et le distribuer dans tous les centres jeunesses du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Après avoir distribué mon sondage et avoir reçu les formulaires remplis, j'avais pu établir un pourcentage de réponses.

Maintenant, en stage 2, je poursuivrai en ayant à compiler et a analyser ces résultats. Une fois ces étapes terminées, je fournirai un bilan résumant l'analyse de mes résultats aux membres du comité S.V.P. Ensuite, lors des réunions du comité S.V.P. une distribution des tâches a été faite et je me suis fais attribuer la responsabilité de monter un dépliant sur la violence faite par la clientèle envers les intervenants.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Faire un sondage et le distribuer dans tous les centres jeunesses du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Après avoir distribué mon sondage et avoir reçu les formulaires remplis, j'avais pu établir un pourcentage de réponses. Maintenant, en stage 2, je poursuivrai en ayant à compiler et à analyser ces résultats. Une fois ces étapes terminées, je fournirai un bilan résumant l'analyse de mes résultats aux membres du comité S.V.P. Ensuite, lors des réunions du comité S.V.P. une distribution des tâches a été faite et je me suis fais attribuer la responsabilité de monter un dépliant sur la violence faite par la clientèle envers les intervenants.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Voici mes résultats de mon sondage :

Tout d'abord, 81% des répondants étaient de sexe féminin contre 19% de sexe masculin.

À la question numéro 1, qui demandait depuis combien d'années travaillez-vous pour les Centres jeunesse, 45% des répondants ont indiqué entre 0-7 ans et 55% ont 8 ans et plus d'expérience.

Ensuite, à la question 2, 42% des répondants disent avoir déjà vécu une situation de violence avec la clientèle. De ce 42%, aucun intervenant n'a été victime de violence physique.

En ce qui concerne la violence psychologique, c'est l'intimidation qui ressort le plus, suivi de la manipulation, du dénigrement et finalement du harcèlement. La violence verbale demeure celle qui est ressortie le plus avec les cris, jurons/blasphèmes et menaces.

À la question 3, 80% des répondants disent être allés chercher de l'aide suite à la situation de violence et c'est envers le chef de service que les gens ont tendance à aller le plus. Ensuite il est ressorti qu'ils allaient chercher de l'aide envers leurs collègues et dans les discussions d'équipe et c'est en dernière position qu'est apparue les personnes ressources.

Question 4 : Avez-vous subit des impacts de cet événement? Si oui, lesquels? À cette question, 42% des répondants disent avoir subit des impacts tels que : Remise en question, stress, anxiété, insécurité, nervosité, colère, rage, peur, perte d’intérêt, doute en ses compétences, insomnie et irritabilité.

Maintenant a la question 5, 97% répondent connaitre le nom d'une personne ressource en relation d'aide sécuritaire.

À la question 6, 99% disent être au courant du rôle qu'exerce la personne ressource en relation d'aide sécuritaire.

Question 7 : Avez-vous déjà participé a une formation ou une mise a jour en relation d'aide sécuritaire et si oui, en quelle année? 24% des gens qui ont répondu ne jamais avoir rien reçu. Maintenant, pour ceux qui disent en avoir déjà eu une, la majorité ne se souvenait plus en quelle année.

La question 8 demandait de nommer un ou des services que pouvait rendre une personne ressource en relation d'aide sécuritaire. 100% des gens ont été capables d'en nommer et voilà ce qui en est ressorti : Retour sur une situation se violence, écoute, accompagnement, support, préparation d'entrevue, analyse objective de l'intervention, recadrage, SOAP, référence, debriefing et ventiler.

À la question 9, 56% des répondants disent avoir déjà utilisé les services d'une personne ressource en relation d'aide sécuritaire.

A) Ce service a-t-il eu un impact positif? Cochez une ou plusieurs réponses.

Sensation de mieux-être 80%
Augmentation de mon estime 20%
Diminution de stress 79%
Augmentation de ma confiance personnelle 32%
Autres : Confirmation d'avoir agit adéquatement, compréhension de l'impact, normalisation de mes actions

B) Ce service a-t-il eu un impact positif dans l'exercice de votre travail?

Neutre ou aucunement 0%
Légèrement 24%
Beaucoup 76%

Cochez une ou plusieurs réponses :
Améliorer les interactions intervenants/clients 34%
Aider au recadrage de la situation 89%
Aider à l'enlignement dans l'intervention 92%
Autres : Trouver des stratégies, éviter des situations de violence

C) Avez-vous déjà recommandé ce service à d'autres collegues? Oui 65% Non 35%

L'avant dernière question qui demandait si les services offerts par les personnes ressources doivent cesser, diminuer, rester tels quels ou être améliorés se divisent ainsi : cesser (0%), diminuer (6%), rester tels quels (45%) et être améliorés (49%).

Finalement, à la derniere question, 87% des répondants prévoient utiliser les services d'une personne ressource en relation d'aide sécuritaire si la situation se présente. Le dépliant sur la violence entre intervenants/clients sera disponible sous peu. Date prévue : 21 avril 2008

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Oui. Le Comite S.V.P. tente de se faire connaitre afin que plus de gens se servent des personnes-ressources mis a leur disposition. Au centre jeunesse, il est courant que l'intervenant subisse de la violence de la part de son client mais encore trop de personnes gardent cela pour eux, ce qui peut causer des problèmes...

Stagiaire # 31

1. Nom : Marylène Beauregard
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Animation sur la participation citoyenne auprès des jeunes

3. Titre du projet d'intervention collective :
Initiation à la participation citoyenne
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

École secondaire Des Chûtes, à Shawinigan, dans les groupes de secondaire 4 du cours d'Éthique

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

J'ai bâti de A à Z le projet. Je l'ai inventé, monté et présenté.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

- Valeurs:
Entraide, solidarité, engagement, justice, démocratie

- Fondements de base:
Il y a un manque de visibilité des jeunes dans les instances décisionnelles de la société.
Les jeunes ont besoin d'être conscientisés sur leur pouvoir d'action et leur place dans la société.
Les jeunes ont besoin d'accompagnement pour savoir comment prendre leur place et changer les choses.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Je considère les adolescents comme étant un groupe souvent mis de côté lorsqu’il est question de prise de décision les concernant. Même dans un contexte plus large, ils sont peu visibles dans les différentes instances décisionnelles de la société. Par la sensibilisation sur le thème de la participation citoyenne et par la conscientisation de leur pouvoir d’action, je vise la prise de parole citoyenne des jeunes et leur mobilisation à l’amélioration de leur milieu. Ce projet de sensibilisation à la participation citoyenne est une occasion d’expérimenter l’implication sociale à travers les jeux de rôle se tenant sur la simulation d’un conseil étudiant. Il favorise également le développement d’une conscience collective et d’une préoccupation sur les besoins de leur communauté. À travers les deux rencontres, les jeunes ont ainsi la place pour s’exprimer, débattre et arriver à des compromis dans le but d’améliorer leur milieu de vie. Même si les débats lors des jeux de rôle sont fictifs, il reste que la prise de conscience de leur pouvoir d’action peut se transférer vers les différentes situations auxquels ils feront face.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

But: Amener une prise de conscience auprès des jeunes du secondaire 4 de l’école des Chûtes sur leur pouvoir d’action dans la société.

Objectif principal: Animer des rencontres sur la participation citoyenne et intégrer un jeu de rôle pour en illustrer un exemple.

Plan d'élaboration du projet: Les tâches 1, 2-7 sont remplies par la stagiaire
1- Établir une entente avec l’enseignant sur la réalisation du projet (principal partenaire)
2- Aviser les acteurs concernés (élèves, la direction)
3- Colliger le contenu nécessaire à la réalisation du projet
4- Concevoir le contenu des animations
5- Réalisation du projet
7- Évaluation du projet

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Plan d'action pour les animations:

1- Susciter une réflexion sur le thème de la participation citoyenne. (Discussion de groupe sur la participation citoyenne)

2- Amener un questionnement sur leur place dans la société. (Discussion de groupe sur leur place
dans la société)

3- Expérimenter le pouvoir d’action. (Participation des élèves à la simulation d’un conseil étudiant)

4- Permettre aux jeunes de débattre de leur point de vu et d’arriver à un consensus en groupe. (Poursuite du jeux de rôle)

5- Favoriser une prise de conscience sur la possibilité qu’ils ont de poser des actions visant l’amélioration de leur milieu. (Échange sur la place qu’ils peuvent prendre dans la société)

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

L’évaluation du projet se fait à partir des indicateurs du plan d’action collectif. Il y a des indicateurs qualitatifs et/ou quantitatifs. Le deuxième type d’indicateur se fait à partir d’une grille d’évaluation des rencontres que les participants ont complétée.

- 81% des jeunes disent avoir appris assez ou beaucoup sur la participation citoyenne.

- 61% des jeunes disent que les jeux de rôle leur ont permis de constater qu’ils pouvaient exercer un certain pouvoir dans leur milieu (42% assez, 19% beaucoup). Suite aux rencontres, 47% des jeunes disent avoir la possibilité d’améliorer leur milieu (32% assez, 15% beaucoup), contre 42% un peu et 11% pas du tout.

9. Au terme de votre stage, le projet : est terminé
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Le projet est terminé et aucune suite n’est prévue. Cependant, si je suis disponible, l’enseignant m’invite à retourner animer les rencontres l’an prochain. Dans le cas échéant, il présentera lui-même ce projet qu’il intégrera dans son plan de cours. Ce début de prise de conscience, je le souhaite, est une première étape vers la prise de pouvoir et l’action citoyenne.

Stagiaire # 32

1. Nom : Bianca Grégoire
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Conscientisation, réalité autochtone, blessure du passé, colonisation, pensionnats, ouverture sur la culture, peur de la différence

3. Titre du projet d'intervention collective :
Une ouverture sur un peuple trop longtemps ignoré
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Les différentes activités de conscientisation auront lieu dans différentes écoles et endroits dans la ville de Port-Cartier. La clientèle cible sont les jeunes du primaire et ceux du secondaire. Des activités auront lieu également avec la clientèle de l'OMH de Port-Cartier dont les personnes âgées.

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

À raison de quatre heures par semaine et en collaboration avec l'intervenante de l'OMH de Port-Cartier et l'intervenante de la Maison des Femmes de Sept-Iles, nous avons mis en place le projet. Je me suis impliqué dans la recherche, la préparation de l'activité et lors des rencontres pour présenter le projet au direction d'école. Je me suis impliqué également avec le comité du 12 jours de la violence fait aux femmes pour intégrer nos différentes activités. Finalement, je vais participer à la présentation des activités comme co-animatrice durant la semaine du 30 novembre au 6 décembre 2015.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Action sociale (approche socio-économique)
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Travailler ensemble malgré nos différences. La différence fait peur lorsqu'on ne prend pas le temps d'en connaître d'avantages. Amener les gens à collaborer entre eux afin que deux cultures s'apprivoisent.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Beaucoup de violence se retrouve dans les communautés ainsi que d'autres problématique. Un ouverture sur le peuple autochtones doit se faire de la part des Québecois. Pour ce faire, il est primordial de connaître leur histoire afin d'être conscientiser à leur réalité qui diffère.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

L'objectif : Conscientiser les allochtones sur les inégalités qu'ont vécus les autochtones et les problématiques qui en découlent dont la violence fait aux femmes.

Les partenaires : Les écoles de Port-Cartier, OMH de Port-Cartier, Les services sociaux Uauitshitun, La Maison des Femmes de Sept-Iles, Le Comité des 12 jours de violence fait aux femmes, L'instituts Tshakapesh.

Rôle : Recherche, planification, Animation

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

En ce qui concerne la recherche et la planification, des rencontres ont eu lieu entre les partenaires. Nous avons partagé le travail de façon équitable. Nous avons préparer chaque activité de sensibilisation à l'aide d'un canevas. Nous avons participer à des enseignements autochtones sur différents sujets comme les pensionnats, le roue de la médecine, la tente de sudation et autres...

L'Animation : l'animation aura lieu dans la semaine suivant la remise de ce travail. Nous avons pratiquer chacun notre partie de l'animation afin d'être dans les temps et que le contenu soit complet.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Nous avons préparer une évaluation qui sera remis à chaque participant, ce qui va nous permet de connaître leur appréciation des activités de sensibilisation. Cependant, les activités ont lieu la semaine suivant la remise de ce travail.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Lorsque j'ai débuté mon projet, l'histoire des femmes autochtones violentés de Val d'Or n'était pas encore d'actualité. Lorsque les médias ont sorti l'histoire, il y eu une vague d'action pour soutenir les femmes. De plus, ces déclarations ont eu beaucoup de répercussions sur les gens de la communauté, en passant par les suicides, dévoilement d'abus et autres... Les blessures ressortent...Je crois que nous allons assisté à différentes actions pour amenés les gens à se conscientiser sur les inégalités dans l'histoire des autochtones. Chaque partenaires rencontrés étaient très intéressé par le projet et certains ont demandés à ce que d'autres activités de rapprochements se poursuit entre autochtone et allochtone.

Stagiaire # 33

1. Nom : Pascale Jean
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Sacs de lecture; Jeux éducatifs; Stratégies de lecture; Enfants de 0-12 ans; Pochettes d'information; Plaisir parent-enfant ou grand-parent-enfant.

3. Titre du projet d'intervention collective :
Les Sacs aux trésors de Lac-Kénogami.
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

La bibliothèque de Lac-Kénogami.

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

Des sacs à dos contenant des livres, un jeu éducatif et des stratégies de lecture. Ils peuvent être empruntés à la bibliothèque de Lac-Kénogami (comme on emprunte un livre).

Il y a également six pochettes d'information, disponibles pour les parents ou grands-parents, que nous avons élaborées sur ces thèmes: la gestion des comportements, le jeu, les habiletés personnelles et sociales, la spiritualité, le temps d'écran, ainsi que la séparation et le divorce.

J'étais participante, collaboratrice au projet. J'étais également instigatrice du projet avec une autre stagiaire, Anick Bouchard, qui faisait sa majeure en intervention collective. Nous avons mis sur pied un comité composé de bénévoles de la bibliothèque.

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Le lien parent-enfant ou grand-parent-enfant;
Le plaisir au sein de la famille;
La volonté d'offrir un service de proximité aux familles de la communauté;
La collaboration entre les acteurs du milieu.

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

Une communauté éloignée, donc une accessibilité aux services restreinte. Le peu de services disponibles pour les familles ayant de jeunes enfants. Un besoin de dynamiser le milieu.

Nous avons donc mis sur pied un service de proximité pour les familles ayant au moins un enfant âgé entre 0 et 12 ans.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Les objectifs :
Favoriser la qualité du lien parent-enfant;
Partager un moment amusant entre grands-parents et petits-enfants;
Favoriser le bon développement des enfants et la promotion des saines habitudes de vie;
Élaborer une activité permettant l’échange entre les familles et la collaboration entre les organismes du milieu.

Personnes impliquées:
Nous avons mis sur pied le comité des Sacs aux trésors composé de 3 bénévoles de la bibliothèque et de nous-même.

Nous avons eu plusieurs partenaires financiers, qui ont fait des dons pour la mise en place du projet.

Notre rôle était d'analyser les besoins, de mobiliser des personnes de la communauté, d'élaborer un plan d'action, d'assurer le suivi du plan d'action et d'assurer la pérennité du projet après notre départ.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

Activités de financement:
Cuisine collective pour préparer des beignes et vente de ces beignes au Marché de Noel de la municipalité;
Demandes de financement à divers organismes de la communauté.

Activités de promotion:
Préparation et affichage de pancartes;
Téléphones et courriels aux personnes pouvant être intéressées;
Lien avec les garderies du milieu;
Présentation du projet lors de rassemblements dans la communauté;
Lancement officiel du projet.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

Le projet est inspiré des sacs de lecture de la table Avenir-Enfant. Nous avions donc une idée des résultats qui pouvaient en découler, car les constats pour les sacs de lecture sont positifs. Les Sacs aux trésors sont par contre différents et sont une première dans les bibliothèques régionales.

Grâce à l'implication et au dévouement de notre comité, les sacs sont connus sur le territoire de Lac-Kénogami. Ils sont donc empruntés par les familles et les rétroactions sont jusqu'à présent positives. Les résultats obtenus dépassent en faite nettement nos attentes. En raison du financement important que nous avons obtenu, nous avons pu nous procurer du matériel neuf et la promotion du projet dans la communauté s'est avérée très positive.

Encore une fois, l'implication des bénévoles dans le projet et leur désir d'en faire une réussite assurent sa continuité.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Les bénévoles vont poursuivre la promotion du projet et leur implication. Des gens en politique ont vu le projet et ont dit qu'il serait pertinent de le transmettre dans d'autres bibliothèques régionales. Nous avons préparé un guide de la démarche effectuée que nous avons remis aux bénévoles au cas où d'autres voudraient mettre sur pied le projet. Il y a donc possibilité d'améliorer le projet ou de le reproduire.

Stagiaire # 34

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :
5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :
6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :
8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :
8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :
8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :
9. Au terme de votre stage, le projet : 
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?

Stagiaire # 35

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :
5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :
6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :
8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :
8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :
8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :
9. Au terme de votre stage, le projet : 
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?

Stagiaire # 36

1. Nom : Noïra Mézidor
2. Mot(s) clé(s) du projet :

Sensibilisation des jeunes adultes face au phénomène de ``sexting`` avec des mineurs.

3. Titre du projet d'intervention collective :
Activités de prévention
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :

Centre de réadaptation Crom situé au 231 Elm, Beaconsfield.

5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :

- Co-animation de deux ateliers pour les jeunes adultes (10-20 personnes) avec un bénévole et un policier communautaire.
- Création d'ateliers comprenant de jeunes hommes et femmes de l'équipe residentiel qui auraient tendance à développer un comportement à risque face à la sexualité.
- Sensibiliser les jeunes face au sexting et les conséquences de ce phénomène avec des mineurs.
- Travailler en partenariat avec les différents collaborateurs (policier (ère) communautaire, bénévole de CROM travailleuse sociale access).

6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
Approche sociocommunautaire
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

- Sensibilisation face au sexting et ses conséquences, si il est fait avec des mineurs
- Respect de la vie privée des personnes mineurs.
- Partage d'informations face aux messages privés sur internet.
- Description de la pornographie juvenile.
- Action de prevention et sensibilisation contre la criminalisation face au phénomène de sexting avec des mineurs.
- Adapter les ateliers face au sexting dans un language simple et adapté à la clientele DI-TED.
-

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :

- Les jeunes adultes atteints d'une déficience intellectuelle et spectre d'autisme expriment leur désir sexuel et ont des relations sexuelles par l'entremise des réseaux sociaux.
- Les jeunes adulates atteints d'une déficience intellectuelle et spectres de l'autisme ont de la difficulté à comprendre qu'ils ne peuvent pas entretenir une relation avec une personne mineure (moins de 18 ans), car c'est illegal.
- Lé phénomène de ``sexting`` est un fléau grandissant avec la clientele adulte DI-TED, dû à leur limitation cognitive, leur manque de jugement et leur incapacité de comprendre les consequences de leurs actions.

8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :

Objectif général:
Sensibiliser les jeunes adultes atteints d'une DI-TED face au phénomène et les consequences du sexting avec des mineurs.
Objectifs spécifiques:
1) Outiller les jeunes adultes atteints d'une DI-TED face au phénomène du sexting avec des mineurs sur les réseaux sociaux.
2) Faire prendre conscience aux jeunes adultes qu'il est illegal d'entretenir une relation amoureuse avec une personne mineure (moins de 18 ans).
3) Mobiliser les jeunes afin d'avoir une bonne participation de ceux-ci lors du deuxième atelier.
4) Amener les jeunes à réfléchir sur le phénomène de sexting, de leur propre comportement et des risques qui est associé.
5) Partage des impressions des jeunes face au sexting.
6) Description des conséquences légales associés au sexting avec des mineurs par un(e) policier (ère) communautaire.
7) Présentation d«'un discours motivationnel de la part d'un bénévole de CROM qui était dans les olympiques.

Les partenaires: Un (e)policier (ère) communautaire, bénévole de CROM et travailleuse social de Acess.

Mon rôle: Sensibilisatrice.

8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :

1) Présentation du projet collectif à l'équipe residential du CROM.
2) Référence de jeunes adultes à risque face à des comportements sexuels inadéquats par des membres de l'équipe residentiel.
3) Prise de contact avec les partenaires: Un(e) policier(ère) communautaire, bénévole de CROM et travailleuse sociale de Access, afin de solliciter leur participation active au projet collectif face au sexting.
4) Préparation des deux ateliers avec les partenaires en adaptant et en simplifiant le language à la clientele DI-TED.
5) Montage Powerpoint des deux ateliers.
6) Mise en place de deux ateliers de sensibilisation et de participation face au phénomène de sexting avec des mineurs.

8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :

L'évaluation face aux interventions faites auprès de ces jeunes ateints d'une DI-TED se fera lors de la completion des deux ateliers.

9. Au terme de votre stage, le projet : se poursuit
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?
Le phénomène de sexting est un fléau grandissant qui continuer de toucher les prochaines générations à venir. Il serait donc bénéfique de continuer de faire des ateliers de sensibiliosation qui pourront prévenir de futures acccusations de possession de pornographie juvéniles chez les jeunes adultes atteints d'une DI-TED.

Stagiaire # 37

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :
5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :
6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :
8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :
8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :
8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :
9. Au terme de votre stage, le projet : 
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?

Stagiaire # 38

1. Nom :
2. Mot(s) clé(s) du projet :
3. Titre du projet d'intervention collective :
4. Lieu de réalisation du projet d'intervention collective :
5. Implication (rôle) dans ce projet d'intervention collective :
6. Situer le projet à l'intérieur des approches de Rothman (ou de celles de Bourque et al. de 2007) :
7. Identifier les valeurs et fondements de base qui sous-tendent le projet d'intervention collective :

Description des principales étapes du projet (les 4 étapes)

8. 1) Analyse des besoins (Quel est le problème ou le besoin?) :
8. 2) Élaboration d'un plan d'intervention (Quels sont les objectifs? Quels sont les partenaires et les personnes impliquées? Quel est le rôle de la stagiaire?) :
8. 3) Réalisation du plan d'intervention (Brièvement, quelles sont les activités réalisées?) :
8. 4) Évaluation de l'intervention (Quels sont les résultats obtenus par l'intervenante et par le groupe?) :
9. Au terme de votre stage, le projet : 
10. Selon vous, d'autres projets pourraient-ils émerger de la démarche à laquelle vous avez participé?

Université du Québec à Chicoutimi