Comme vous le savez, plusieurs appels ont été lancés, par le biais des médias, à la population régionale pour venir en aide aux survivants du tremblement de terre de Bam, en Iran.
À l’UQAC, un kiosque a été mis en place dans le centre social pour trois jours, en collaboration avec la Croix-Rouge. Une quatrième journée de collecte s’est ensuite déroulée à Place du Royaume. Dans la même semaine, une généreuse contribution a été recueillie lors d’un cours de français pour immigrants à l’école Laure-Conan. Et finalement, une conférence bénéfice par M Reynald Du Berger, en date du 14 janvier, a clôturé cette collecte de dons.
Cette démarche a permis d’amasser un montant total de 3842,57 $. Cette somme a été remise à M Michel Bussière, représentant régional de la Croix-Rouge.
Remerciement de M. Masoud Farzaneh de la part de la communauté iranienne de l’UQAC — Beaucoup de gens ont contribué d’une manière ou d’une autre à notre collecte. En premier lieu, j’aimerais remercier le personnel du Bureau des relations publiques de l’UQAC, dont le soutien inconditionnel a assuré le succès de nos démarches.
Mais, sans la générosité de la communauté universitaire, rien de tout cela n’aurait été possible. Effectivement, plus de 80 % des sommes recueillies proviennent de l’UQAC. Donc un grand merci à tous!
De plus, il est important de souligner le travail des médias régionaux, qui ont diffusé non seulement les tragiques événements que nous connaissons tous, mais qui ont également renseigné les gens de notre région sur les moyens d’apporter une aide urgente aux victimes.
Il ne faut pas oublier ceux et celles qui, de façon bénévole, ont contribué au bon fonctionnement de cette collecte, je parle ici des étudiants et étudiantes de la communauté iranienne de l’UQAC et de leurs familles et amis. Tous ont mis l’épaule à la roue pour mener à bien cette entreprise. Merci à tous!
Finalement, j’aimerais remercier sincèrement M Reynald Du Berger, qui nous a donné de son temps précieux afin de non seulement dresser un portrait culturel de l’Iran, mais aussi nous faire sentir l’effet dévastateur qu’un tel sinistre peut avoir et cela, avec la grande sensibilité qui lui est reconnue.