À l’occasion de la Journée internationale des aînés, le 1er octobre 2025, le professeur Frantz Siméon et son équipe ont organisé la seconde édition du colloque scientifique sur le vieillissement à l’UQAC. Placé sous le thème inspirant « Et si c’était cool de vieillir ? Célébrons l’apport des aîné(e)s », cet événement a réuni 115 participantes et participants issus de milieux universitaires et d’organismes gouvernementaux et communautaires, de même que de nombreuses personnes aînées.
Le public a eu droit à sept présentations scientifiques relatives aux enjeux du vieillissement. Trois d’entre elles étaient assurées par des chercheuses et chercheurs de l’UQAC, de l’Université de Moncton et de l’Université Laurentienne, autour notamment de la proche aidance et en particulier en contexte francophone minoritaire. Pour les étudiantes et étudiants panélistes, l’événement leur a donné l’occasion de présenter l’état d’avancement de leurs travaux de recherche, apportant un regard neuf et prometteur sur la question du vieillissement au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Émilie Fortin, physiothérapeute et étudiante au doctorat sur mesure en physiothérapie de l’UQAC, a clôturé la journée par une présentation interactive, invitant le public à découvrir des exercices et astuces simples à intégrer au quotidien pour favoriser le bien-être physique et mental.
La conférence de l’acteur reconnu Denis Bouchard, intitulée « 70 ans et toutes mes dents (sauf une) », a su allier humour, sensibilité et profondeur, offrant un vibrant hommage à la vitalité et à la créativité des personnes aînées. Cinq d’entre elles ont d’ailleurs composé un panel inspirant dans lequel leur expérience et leur savoir ont fortement résonné en cohérence avec le thème de la journée.
Parallèlement, un mur d’expression a été placé à l’entrée du centre social de l’UQAC où les participantes et participants ont partagé leurs perspectives, leurs souhaits et leur vision du vieillissement.
La deuxième édition de ce colloque scientifique confirme le rôle central de l’UQAC dans la production et la diffusion des savoirs sur le vieillissement, tout en soulignant l’importance d’un dialogue intergénérationnel, interprofessionnel, intersectoriel, ouvert et inclusif.



