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Oui je le veux, mais est-ce que je peux !

Voici le dernier billet, le dernier, mais non le moindre. Un billet concernant, mes propres apprentissages et mon appréciation du cours 3TLE 220. Il serait mentir de dire que c’est ce à quoi je m’attendais. Je croyais sincèrement développer mes compétences que je possédais déjà, grâce à un cours de bureautique fait dans les années passées, qui concernait les logiciels que nous utilisons fréquemment par exemple Microsoft. Un peu déçu, je dois dire, quand j’ai entendu l’enseignant nous dire qu’il était contre Microsoft, mais bon, il a parfaitement le droit, mais c’est à ce moment que mes espoirs ce sont éteint. Par contre, aussitôt ma déception passée, ma curiosité a pris le dessus en lisant le plan de cours, visant à me faire connaître des choses que je ne connaissais pas ou peu. J’ai aussitôt pris le taureau par les cornes et je me suis lancé tête baisser, cependant un mur j’ai frappé !!!!

Tout d’abord, j’ai fait l’expérience en classe, dans le but d’utiliser les TIC le plus efficacement possible, par exemple j’ai utilisé les courriels pour le retour des travaux. Un échec sur toute la ligne, en sachant que plusieurs n’avaient pas d’adresse ou encore tout simplement pas de matériel informatique à la maison. Et quoi dire des courriels où je n’avais aucune pièce jointe! Je ne vous parle même pas de mon expérience du tableau interactif !!! Un magnifique laboratoire informatique est disponible avec un TBI, mais lorsque j’ai voulu l’utiliser, le tableau était décalibré. Mais comment calibré un TBI ? J’ai eu un moment de découragement dans l’utilisation des technologies autre que le power point dans ma classe, mais j’ai décidé de ne pas me laisser abattre par cet échec. Pourquoi pas me concentrer individuellement sur diverses expériences, et quand je maîtriserai mieux les technologies, je pourrai peut être mieux les utiliser dans mon enseignement.

Et me voilà reparti, encore la tête baissée, et un autre mur, malheureusement, je frappai. Tout d’abord, pour multiple raison, je n’avais en main qu’un ordinateur désuet à la maison, qui ne voulait rien télécharger ou presque. Lorsque j’appris que je pouvais avoir un antivirus gratuitement, il est certain que je me dépêchai d’aller m’en télécharger un. Mais un petit problème surgit lorsque je ne puis vérifier le danger du logiciel libre que je téléchargeais étant donner que c’est un antivirus que j’avais besoin. Malheur, je ne sais pas quelle grippe mon ordinateur attrapa, mais plus aucun programme n’était viable dans mon ordinateur. Je ne me suis retrouvé avec plus aucun ordinateur à la maison. Une autre difficulté supplémentaire, car je ne pouvais, de la maison, produire mes billets ou encore suivre le blogue des étudiants. Je me suis dit que je travaillerais à l’école au lieu d’être à la maison, mais aucun téléchargement n’était possible au centre de formation. Même en demandant la permission au technicien, un refus catégorique sous prétexte du danger des téléchargements et qui ne voulait pas créer de précédents.

Mais de cours en cours, une grande vague d’information, que je pourrais qualifier de tsunami, me fit décrocher totalement. Je suis devenu totalement perdu dans les différents termes et langages informatiques, que j’aurais vraiment voulu pouvoir maîtriser comme l’enseignant le fait. Un de mes handicapes est que la langue anglaise ne fait pas partie de mes forces. Plusieurs termes informatiques sont de langue anglaise et quoi dire des divers sites web ne communiquant qu’en anglais.

Je sais que j’ai eu un très bon enseignant avec un savoir énorme sur la matière et qui de plus nous transmet sa passion. Par contre qui nous donne un peu trop d’information sans entrer en profondeur, ne nous permettant pas de maîtriser ce qui nous enseigne. J’aurais peut-être mieux aimé entrer plus en profondeur dans certains sujets spécifique et faire un projet sur un logiciel libre en particulier et le présenter au groupe. Cette façon m’aurait permis de mieux maîtriser un logiciel au lieu d’en connaître plusieurs sans les comprendre vraiment. Même que, nous aurions pu présenter un segment d’une compétence en utilisant des technologies différentes.

Nos centres de formation nous imposent des logiciels que nous devons utiliser comme outil de travail, j’aurais aimé pouvoir parfaire mon savoir dans les logiciels que nous utilisons dans notre quotidien. Mon savoir, dans ces mêmes logiciels, n’est pas de beaucoup supérieur comparé au début de mon cours 3TLE 220. J’ai quand même appris pourquoi j’avais dix barres d’outils dans mon ordinateur et comment faire pour ne pas que ceci se reproduise. J’ai aussi pris conscience du commerce informatique, du matériel qui ne dure plus, et que les logiciels libres sont aussi efficaces que les logiciels que nous payons des prix trop élevés. J’ai développé une meilleure conscience sur l’importance des TIC en classe, et de leur usage multiple. Mais même si j’ai une meilleure conscience des TIC, je ne crois pas encore posséder tout ce que j’ai besoin pour les utilisés comme il se doit. Je devrai travailler encore quelque temps et faire des essaies erreur pour pouvoir utilisé les technologies en classe de façons plus diversifier. Une des choses que j’ai le plus appréciées c’est de savoir que je peux garder, comme sur une clé USB, mes donnés sur un disque dur dans les nuages, comme dans Google par exemple. Une grande découverte pour moi qui croyait que Google n’était qu’un moteur de recherche!!!! Je ne crois pas conclure le cours avec aucun nouveau savoir, mais pas autant que j’espérais au départ.

Payer pour le meilleur !!!!!!

Je suis une enseignante au CFP l’Oasis, et infirmière auxiliaire. J’ai quelque cours d’université de fait dans le bac en enseignement professionnel et j’ai dû utiliser quelques procédés informatiques pour la transmission de mes travaux. Lorsque les charger de cours nous dirige vers un format de traitement de texte, je comprends tout ce qu’il demande et je dois aider quelques personnes qui, pour eux, les termes utilisés ne signifient rien.

Lorsque j’ai été évalué par la direction de mon centre de formation, je répondais très bien, selon eux, à la compétence 8 dans l’utilisation des TIC. L’utilisation des PowerPoint dans la présentation de mes cours, la création de divers exercices avec Word et l’utilisation de Publisher dans la création de mes calendriers de stage me donnait un atout dans cette compétence, c’est ce que je croyais.

Mais voilà que le cours initiation aux technologies éducatives me ramène à la réalité. Cette réalité c’est que je ne sais absolument rien de rien. J’utilise à peu près l’informatique et les technologies comme nous utilisons notre propre cerveau, c’est-à-dire au minium, sans en connaitre les multiples options qui s’offrent à nous. Pourtant, durant 2 ans, j’ai entamé le DEC en bureautique. De petites programmations j’ai fait, et plusieurs cours j’ai suivie en informatique. Mais étant donné que l’informatique évolue à un rythme effréné, ce que j’ai appris au précédent n’est plus à jour aujourd’hui. De plus, ces cours en bureautique ne m’ont montré que l’utilisation de logiciel et des programmes payants, qui coute une fortune et qui nous rend dépendants d’eux. Dépendant, car nous ne connaissons pas ce qui se cache dans le Web.

Une fois, j’ai utilisé open office, un logiciel libre, que j’ai trouvé par hasard sur internet. Cependant, quand l’opportunité d’avoir Office dans mon ordinateur c’est présenté, comportant toutes les applications nécessaires au traitement de texte et aux diverses présentations, je l’ai attrapé, croyant avoir un meilleur logiciel. Aujourd’hui je vois que ma pensée était faussée par une croyance populaire, qui nous fait croire que ce qu’il y a de meilleur c’est ce que nous devons payer, et ce à gros prix.

Suite au troisième cours d’initiation aux technologies éducatives, j’ai approché notre technicien en informatique pour lui proposer les logiciels libres, et surtout pour comprendre pourquoi nous ne les utilisions pas au sein de notre commission scolaire. Tout d’abord, il me regarda comme si j’étais une extraterrestre qui ne parlait pas la même langue que lui. Avec un sourire mesquin, il me dit que c’était beaucoup trop compliqué et que personne ne comprendrait.
Cependant, une lacune des logiciels libres, la page ne sont pas toujours évidente à comprendre, plusieurs publicités prennent place dans les interfaces et peuvent porter à confusion. De plus, des questionnements sur la fiabilité des logiciels libres me font souvent douter.

Je me suis rendu à l’évidence que nous ne pouvons pas changer le monde, mais nous pouvons changer notre propre monde. Si nous voulons que les technologies avancent, c’est d’abord en les utilisant individuellement, de plus en plus, et en les faisant connaitre à nos étudiants. Il est vrai que le Web cache de belles opportunités d’action, mais un problème de matériel informatique me porte à utiliser un peu moins les technologies que je devrais.

Je suis motivé et empressé d’en connaître d’avantage sur ce qu’internet cache, de pouvoir m’en servir de façons efficaces, ce que le cours 3TLE220 pourra me permettre de découvrir.

Des situations d’apprentissage en ligne… et pour tout le monde!

Le partage de découvertes est essentiel au développement professionnel des enseignants. Ils se parlent de leur expérience, se proposent des activités qu’ils ont montées et se demandent conseil. Cet échange de connaissances est naturel. Ils discutent entre eux dans la salle du personnel, ils assistent à des conférences ou à des formations et ils s’observent en train de travailler. Ils s’excitent après qu’une activité d’apprentissage de leur création ait bien fonctionné et s’empressent de la raconter à leurs collègues. Toutes ces façons traditionnelles d’échanger sur leur expérience satisfont bon nombre d’enseignants, mais d’autres possibilités s’offrent à eux. Tous ces enseignants pourraient contribuer au développement professionnel collectif de façon tellement efficace, avec une avancée technologique telles que le Web 2.0! Cette nouvelle façon de se servir d’Internet grouille de ressources pour la communauté enseignante. Ses membres peuvent communiquer, réfléchir, critiquer, partager… bref, ils peuvent s’aider à avancer plus vite et avec moins d’efforts! Encore faudrait-il que cette communauté professionnelle sache que le Web offre de tels moyens…

Une variété de ressources et d’outils

Certains sites Web favorisent le développement professionnel des enseignants en les mettant en contact. Par exemple, la section du site Internet des services publics de la Communauté française de Belgique consacrée aux enseignants est divisée par matière et par secteur (maternel, primaire et secondaire) . Le répertoire propose toute une variété d’actions aux usagers (des propositions de projets et de concours, des ressources et des moyens d’échange via la Toile, entre autres choses). À titre d’exemple, voici les propositions faites aux enseignants de Français du secteur primaire.

D’autres programmes permettent spécialement la publication et la consultation de situations d’apprentissage et d’évaluation (S.A.É.) directement via Internet, en public ou en privé. Certains proposent même des marches à suivre permettant de construire des situations d’apprentissage à même le site Web et de les partager immédiatement. J’ai testé deux de ces programmes en ligne : Outil.planif et Cyberfolio.

Ces deux outils ont des points en commun. Premièrement, il est impossible d’y déposer des documents produits ailleurs, comme des créations faites à l’aide d’un logiciel de traitement de texte. Toutes les situations d’apprentissage doivent être créées en ligne, à même le logiciel. Le principal avantage est qu’il est plus facile de répertorier les situations d’apprentissage dans la bibliothèque du site et, par le fait même, de les retrouver. Le désavantage, en revanche, est que le partage de situations d’apprentissage demande un certain investissement de temps, car il faut les inscrire une à une dans le canevas.

Le deuxième point commun entre Outil.planif et Cyberfolio, est le fait que ces deux site Internet n’ont pas été mis à jour récemment selon le Programme de formation de l’école québécoise (P.F.E.Q.) En effet, on n’y retrouve pas la matière Éthique et culture religieuse. On y retrouve encore l’enseignement moral et religieux catholique et protestant et l’enseignement moral.

Outil.planif ( Learn Québec)

Le logiciel Outil.planif a été mis en ligne par une personne ressource du Réseau pour le développement des compétences par l’intégration des technologies (R.É.C.I.T.) d’une commission scolaire anglophone, à Laval. Il est donc construit en anglais, bien qu’il soit possible de le traduire, en un simple clic. Par contre, certains éléments de la page demeuraient en anglais, lors de mon expérimentation.

La bibliothèque publique

Comme la majorité de ses utilisateurs sont anglophones, les activités disponibles dans la bibliothèque publique sont en anglais ou destinées au cours de français langue seconde. D’ailleurs les activités disponibles sont peu nombreuses ; il y avait environ cinq, au moment d’écrire ces lignes. Soit le logiciel n’est pas populaire, soit ses usagers ne partagent pas leurs créations avec le public. L’intérêt de cet outil apparaît donc si une communauté d’enseignants déjà en contact s’y inscrit, tous en même temps. Ils peuvent alors partager leurs documents et les commenter. Par exemple, le logiciel serait très pratique pour un groupe d’étudiants ou d’enseignants qui se fréquentent.

Ce logiciel a une grande qualité. Il donne un très bon coup d’œil des situations d’apprentissages produites. La page ainsi créée est attrayante et bien organisée, au niveau visuel. Les icônes sont évocateurs et des pictogrammes symbolisent chacune des compétences. Grâce à ses pictogrammes, on peut rapidement trouver une situation d’apprentissage pour une compétence précise en un simple coup d’œil.

La rédaction

Il est relativement simple de produire une situation d’apprentissage à l’aide d‘Outil.planif, à quelques détails près.

En premier lieu, il n’y a qu’à suivre la marche à suivre. Elle guide pas à pas de façon pratique et efficace. Elle peut sembler contraignante, mais il est possible en tout temps de passer à une autre étape et de retourner en arrière pour modifier. On peut aussi fermer sa session et poursuivre le travail un autre jour. Ce qui m’a particulièrement plu est la possibilité d’avoir un aperçu de ce qui est déjà fait entre chaque étape. On peut aussi connaître l’essentiel de la situation sans la visionner complètement à l’aide de l’icône I .

En deuxième lieu, si on veut modifier une activité déjà faite, il est possible de la dupliquer, pour conserver une copie de l’originale.

En troisième lieu, j’ai rencontré quelques problèmes, en utilisant ce logiciel. D’abord lorsqu’on choisit les éléments du P.F.E.Q., il est très pratique de pouvoir cocher des éléments disciplinaires. Cependant, je n’ai pas réussi à les dé-sélectionner. Ce serait pourtant bien pratique dans les cas où on veut modifier une situation d’apprentissage, ou lorsqu’on s’est simplement trompé.

La publication

L’outil permet d’abord de créer des situations d’apprentissage pour soi, que l’on peut enregistrer dans sa banque personnelle. Il est possible ensuite de partager une copie avec quelqu’un, ce qui équivaut à la lui donner. Il est à noter que les documents créés sont modifiables en tout temps. Celui à qui l’on envoie une copie peut donc la modifier à volonté. Je n’ai d’ailleurs pas trouvé de spécifications sur les droits d’auteur, sur le site.

L’outil Collaborer, quant à lui, ne sépare pas les deux copies. C’est-à-dire que, si la personne qui reçoit une copie de la situation d’origine la modifie, l’utilisateur qui a créé cette situation verra sa propre copie modifiée aussi. C’est là que le réel travail d’équipe se produit.

Finalement, il est possible de rendre une situation de sa création publique. Elle se retrouvera donc accessible à tous, dans la bibliothèque publique. D’ailleurs, les administrateurs du site contrôlent ce qui est publié. L’option de partager ses créations seulement avec ses amis, ou ses contacts, est aussi disponible.

Cyberfolio

Le Cyberfolio que j’ai testé n’est pas encore disponible à la communauté, car il n’est pas terminé. Néanmoins, il en existe d’autres qui le sont déjà, comme celui-ci. Celui que j’ai mis à l’essai est élaboré par des chercheurs de l’UQAC.

Ses créateurs se donnent pour but de produire un outil de création de situations d’apprentissage en ligne, en même temps qu’un puissant moteur de recherche de genre d’activité. Grâce à ce logiciel, on pourra trouver des situations d’apprentissage de qualité, car chacune de celles qui y sont déposées devront être approuvées par un conseiller pédagogique qui pourrait les commenter, au besoin. Finalement, le logiciel sera adapté, non-seulement aux enseignants praticiens, mais aussi à la communauté universitaire, c’est-à-dire les étudiants, les enseignants et les chercheurs.

Voici en gros les critiques que je porte à ce logiciel. Elles sont moins élaborées que pour Outil.planif, car Cyberfolio n’est pas encore prêt.

D’abord, ce logiciel est visuellement moins attrayant qu‘Outil.planif. Ceci est probablement dû au fait que Cyberfolio n’est pas terminé.

La rédaction

Grâce à Cyberfolio, comme pour Outil.planif, l’utilisateur est guidé dans le processus de construction d’une situation d’apprentissage. Le problème, dans ce procédurier, est qu’il est impossible de passer des étapes. Il faut suivre l’ordre prévu, à l’exception de quelques unes, comme le réinvestissement. Après chaque étape, on voit un aperçu du document final, en bas de page. J’ai beaucoup apprécié cette caractéristique du logiciel, comme pour le logiciel précédent.

Au moment de choisir les éléments du P.F.E.Q., on n’a qu’à cocher dans une liste. Ce qui est intéressant, c’est que chaque élément de la liste comporte un hyperlien vers la partie associée du P.F.E.Q. C’est très pratique, car on n’a pas besoin d’aller vérifier dans le programme en entier.

Plus tard, il faut élaborer la chronologie de l’activité. Cette étape est moins contraignante que les autres au niveau de sa création. On peut commencer par les dernières étapes et revenir aux premières, plus tard. On peut même insérer une étape entre deux précédentes ou en permuter deux.

À la fin, il faut bien sûr déterminer des moyens d’évaluation parmi ceux proposés par une liste à cocher. Le logiciel démontre sa versatilité par la possibilité d’ajouter des moyens d’évaluation qui demeureront pour les situations suivantes. Par exemple, on peut ajouter entrevue, puisqu’elle ne figure pas sur la liste.

La publication

Premièrement, ce qui est publié dans la bibliothèque publique est copyleft par défaut.

Comme pour l’outil précédent, les situations créées vont dans la bibliothèque personnelle et peuvent être déposées dans la bibliothèque de partage, à laquelle ont accès un groupe de membres du choix du créateur. D’ailleurs, la page répertoriant toutes les situation est allégée par l’utilisation de pictogrammes, qui sont définis sous l’onglet légende, mais ce mot est tellement écrit petit qu’il est difficile de le lire. Les situations peuvent aussi être publiées dans le répertoire public, si un administrateur approuve. Il est de toute évidence possible de modifier toutes les situations d’apprentissage contenues sur le site, n’importe quand.

Pourquoi utiliser les logiciels de partage en ligne ?

Si les enseignants se forment et se développent continuellement, c’est qu’ils n’arrêtent jamais vraiment d’être, comme le sont leurs élèves, des apprenants. Or, cet apprentissage continuel pourrait être de beaucoup facilité par le recours à une nouvelle théorie de l’apprentissage, le Connectivisme (Siemens 2005, selon WIkipedia). François Guité, professeur d’anglais dans un Programme d’éducation internationale à Québec qui s’intéresse à la pédagogie et aux technologies de l’information et de la communication, l’explique ainsi :

« Essentiellement, le connectivisme constitue un modèle d’apprentissage qui reconnaît les bouleversements sociaux occasionnés par les nouvelles technologies, lesquels font en sorte que l’apprentissage n’est plus seulement une activité individualiste et interne, mais est aussi fonction de l’entourage et des outils de communication dont on dispose. »

Dans un même ordre d’idées, si les enseignants ne partagent pas leurs idées et leur expérience sur le Web, c’est parfois par modestie. Ils peuvent se dire que la situation d’apprentissage qu’ils ont créée n’est pas si bonne que ça. Pourtant, en la mettant en ligne, ils risquent fort que quelqu’un se l’approprient et la bonifie! Ils pourraient alors bénéficier des suggestions des autres et perfectionner leur situation d’apprentissage! Ce travail d’équipe est un des avantages du partage entre enseignants.
En réponse à cela, voici ce que Mario Asselin, associé chez Opossum, apprentissage et technologies, a écrit dans son texte  »L’apprenant, comme participant à la construction de contenu » (1er texte de 5):

«On verra que les effets de réseaux peuvent encourager l’apprenant dans sa quête du savoir, surtout lorsqu’on évite de lui faire croire qu’il doit attendre une certaine maîtrise de ce qu’il croit savoir avant de le partager.»

En effet, le partage de documents imparfait est d’une excellente aide à l’apprentissage socio-constructiviste! L’auteur de contenu bénéficie alors de l’aide des autres, par leurs commentaires et leur expérience. Ce travail d’équipe est appelé à faire partie du rôle des enseignants, si on considère que leur développement professionnel fait partie de leurs responsabilités. C’est en tout cas ce qu’affirme Denys Lamontagne , fondateur de  »Thot  », un organisme qui promeut la formation à distance francophone et l’utilisation des outils numériques pour l’éducation et la formation, dans  »La diffusion et la réutilisation des contenus numériques » (1er texte de 4)

« La question principale en jeu est celle de l’intégration et de la participation des professeurs. Au niveau pédagogique, il s’agit de passer du rôle d’artisan à celui de membre d’une équipe aux rôles variés et en concurrence ou collaboration avec les autres institutions. »

Conclusion

Finalement, les logiciels Cyberfolio et Outil.planif, grâce à leurs forces et malgré leurs faiblesses, sont de bons outils pour tout enseignant qui a à cœur son développement professionnel. Je ne prétends pas que l’expérimentation et la critique que j’ai faite de ces outils est exhaustive. Cet essai fait simplement part de ce qui m’a semblé important.

Ces deux logiciels seront sans doute bonifiés et de nouveaux verront assurément le jour dans un avenir rapproché. Ils sont en voie de devenir des répertoires de situations d’apprentissage, s’ils deviennent plus populaires. En attendant, ce sont des logiciels en ligne, des outils d’élaboration. Il en va de la bonne volonté des enseignants pour qu’un tel partage se fasse via le Web. Tant de temps et d’efforts pourraient être épargnés dans un métier ou l’essoufflement professionnel est chose courante. Je ne sous-estime pas la grande imagination des enseignants et la force de leur esprit créateur, mais tous ne réinventent pas la roue, chaque jour, dans chaque activité qu’ils proposent en classe. L’énergie du milieu enseignant pourrait être mise ailleurs que dans la conception de S.A.É. qui ont souvent déjà été élaborées et expérimentées ailleurs sans qu’on ne le sache.

Il est difficile de changer ses habitudes. De plus, apprendre à utiliser les nouvelles technologies demande une certaine quantité d’efforts. Peut-être sera-t-il courant pour la prochaine génération d’enseignants de produire des S.A.É. sur la toile et de systématiquement les partager? Qui sait ce que feront de leur temps ceux qui se serviront des ressources du Web au lieu de concevoir de nouvelles situations à chaque fois? J’espère que ce temps sera investi dans les élèves, en tout cas…

J’affirme avoir tout fait ce que je pouvais pour respecter l’orthographe, dans ce texte.

Enseignants vs TIC : compétition ou collaboration ?

Les jeunes d’aujourd’hui suivent la technologie de près. Ils adorent tout ce qui est dernier cri et sont parfois même à l’affut. Ceux qui n’ont pas encore d’iPhone en veulent un, et ceux qui n’ont pas d’ordinateur sont une espèce en voie d’extinction. Certains, s’ils le pouvaient, passeraient 100 % de leur temps devant leur ordinateur, ce qui exaspère leurs parents et questionne bon nombre d’enseignants. C’est bien normal : comment pourraient ces adultes éducateurs occupés rattraper leur retard sur la technologie ? Par où commencer ? Le résultat : les TIC sont un peu mises de côté… De toute façon, il y a tellement de connaissances à transmettre aux enfants, de compétences à développer chez eux ! Il ne reste plus beaucoup de temps à accorder à cette nouvelle matière…

En tant que future enseignante, la question que je me pose est la suivante : est-il vraiment important de favoriser l’usage des TIC à l’école ? Ai-je le droit de les mettre de côté à mon tour ? Ça dépend de mes priorités. Ce qui est certain, c’est que la technologie fournit d’innombrables outils pour réussir. Elle est aussi un excellent moyen pour motiver les jeunes. Par-dessus tout, elle constitue à l’heure actuelle un danger pour eux, tout comme le reste de ce qui les entoure. Qui leur enseignera à circuler de façon critique et avertie dans cette jungle qu’est le monde ?

Un plus gros coffre à outils que celui de mon père… et bien plus léger !

Le Centre francophone d’informatisation des organisations (CEFRIO) a démontré dans son rapport sur la génération C qu’un fort pourcentage des jeunes pense qu’Internet renferme plus d’informations valables que leurs enseignants. Quelle insulte ! Les élèves devraient-ils jeter leurs professeurs désuets à la poubelle ? Les retraites se prendraient bien jeunes, cette année…
Ont-ils vraiment tort ? Bien sûr que non ! En matière de connaissances, Internet a, depuis quelques années, dépassé les pauvres mortels. Il en revient nous, les humains, d’en tirer profit. Il ne faut pas oublier toutes les autres formes de technologies qui ne cessent d’évoluer. Je pense au tableau blanc interactif, au canon projecteur et aux logiciels de montage vidéo, qui rendent la production de courts métrages accessible même aux plus jeunes. Toutes ces possibilités sont là, à portée de la main, et sont autant de façons de différencier l’apprentissage pour la communauté scolaire.

Si vous doutez encore que l’utilisation des TIC donne un bon coup de pouce aux apprenants, lisez ce que Mario Asselin présente de façon frappante dans la deuxième partie sur cinq de L’apprenant comme participant à la construction de contenu. Imaginez deux étudiants en compétition à l’école. Vous êtes le deuxième ; )

Je vais utiliser un ordinateur portable. – Tu utiliseras du papier et un crayon.
J’aurai accès à de l’information mise à jour. – Tu compteras sur un manuel de base qui est vieux de cinq ans.
Je saurai immédiatement quand j’aurai mal épelé un mot. – Tu auras à attendre que ton travail ait été corrigé.
J’apprendrai comment tenir compte de la technologie tout en l’utilisant. – Tu liras sur le sujet.
Je verrai les problèmes de maths en trois dimensions. – Tu aborderas les problèmes à partir de tes propres représentations.
Je produirai des travaux artistiques et de la poésie, puis la partagerai avec le monde. – Tu partageras tes créations avec ton groupe-classe.
Je disposerai d’un accès 24/7. – Tu disposeras de la totalité de la plage horaire des cours en classe.
J’aurai accès à l’information la plus dynamique qu’elle soit. – La tienne sera imprimée et photocopiée.
Je serai en communication avec des leaders et des experts en utilisant le courrier électronique. – Tu attendras les présentations du vendredi.
Je privilégierai mon propre style d’apprentissage. – Tu utiliseras celui que l’enseignant favorise pour lui-même.
Je serai en constante collaboration avec d’autres apprenants de partout dans le monde. – Tu pourras compter sur la collaboration des camarades de ta classe.
J’irai aussi loin que je le voudrai dans mes apprentissages. – Tu devras attendre ceux de la classe qui vont le moins rapidement.

Bien sûr, ces élèves sont aux antipodes. L’un a tout, l’autre n’a rien, mais l’exemple est parlant : il démontre de façon évidente que les technologies soutiennent l’apprentissage.

Les TIC sont une source d’informations pour tous, mais elles sont aussi le moyen d’expression par excellence. Blogue, page Web, courriel, messagerie instantanée… la liste est longue. Comme l’a recensé le Cefrio, les jeunes de la génération C publient pratiquement tous dans leur temps libre. Si ça se trouve, ils sont probablement distraits en classe parce qu’ils ont hâte d’aller lire ce que leurs amis ont écrit sur Facebook. Pourquoi les enseignants ne profiteraient-ils pas de cette passion pour mettre en place des activités qui intéressent vraiment les jeunes? Si un des principes d’enseignement est de créer des situations d’apprentissage signifiantes, l’éducation est en retard. Bien peu de choses sont aujourd’hui publiées de façon manuscrite. Pourtant, la majorité des enseignants font encore transcrire les brouillons des élèves « au propre », à la main !

De plus, les TIC pourraient bien être la solution pour les enfants qui, en raison de leur handicap physique, éprouvent de sérieuses difficultés à s’intégrer à l’école ordinaire et à tous ses travaux écrits. En effet, un scripteur aux prises avec des difficultés de préhension peut se décourager par rapport à une journée d’école normale «papier-crayon». La FST, une fondation suisse au service des personnes en situation de handicap, suggère de fournir un ordinateur personnel à ce type d’élèves, directement dans sa classe. Ce poste lui permettrait de produire plusieurs travaux à l’écran, au lieu de le faire avec son crayon. Si son handicap l’empêche de manier habilement le matériel informatique traditionnel, la société propose même de nombreuses alternatives ergonomiquement adaptées au point de vue ergonomique à leur handicap, comme une souris alternative ou un clavier spécial.

Finalement, les TIC fournissent d’innombrables outils d’apprentissages à côté desquels il ne faudrait pas passer… à moins d’être dépassé.

Motivation

Qui a envie de se compliquer la vie avec les vieilles techniques ennuyeuses qu’utilisaient ses grands-parents ? « Tous à vos craies et à vos ardoises, aujourd’hui, on écrit des phrases ! » Il est plus que temps de renouveler les outils de travail de nos élèves, avant de les faire mourir d’ennui. Une période au laboratoire informatique fait tellement plaisir aux enfants !

Les TIC sont d’excellents moyens de motivation pour les enfants. Un travail sur l’ordinateur n’en est presque pas un, à leurs yeux. C’est un jeu. Ils s‘expriment déjà sur la Toile de façon non encadrée, pour se distraire. Et les apprentissages qu’ils y font sont nombreux !

Si vous pensez que les activités auxquelles ils se vouent sur la Toile ne servent à rien, sachez que l’apprentissage informel est un des plaisirs les plus populaires. La preuve : si vous aimez jouer à votre jeu virtuel préféré, c’est parce qu’il représente un défi réalisable et que vous pensez pouvoir vous y améliorer. C’est donc que, par ce jeu, vous apprenez ! Comme l’a écrit Mario Asselin, les jeunes continuent d’apprendre, à la maison.

Par l’intermédiaire des blogues, des wikis, des réseaux sociaux (Twitter, Facebook, etc.) et du clavardage (pour ne donner que ces exemples), les apprenants ont envahi l’espace public provoquant une conversation à plusieurs voix et une grande quête d’apprentissage tous azimuts.<

Pourquoi ne pas profiter de ce goût pour favoriser des apprentissages structurés ? Ils aiment produire et chercher sur le Web. Il n’en tient qu’à nous, enseignants, de nous mettre à jour et de transférer les travaux que nous leur ferions produire sur papier dans un contexte technologique de notre temps !

Zone de danger

Les élèves doivent apprendre à naviguer de façon sécuritaire et responsable sur la Toile. Ce n’est pas en leur limitant l’accès à Internet qu’on leur enseignera à être autonomes. Les citoyens de demain, et même d’aujourd’hui, doivent connaître la nétiquette ainsi que les dangers que représente Internet. Comme le parent qui ne laisserait pas son enfant traverser la rue sans lui apprendre à regarder des deux côtés, les enseignants ne devraient pas laisser les élèves naviguer sur la Toile sans leur apprendre à la faire de façon sécuritaire.

Si l’école doit préparer les apprenants à leur vie future et que l’avenir, c’est la technologie, elle doit les former à diffuser correctement sur la Toile. Bien sûr, tous apprennent de leurs erreurs, mais les erreurs pourraient être lourdes de conséquences pour un enfant. Aussi, nous avons l’opportunité de leur permettre de les éviter. Mario Asselin a bien développé cet aspect dans son texte :

Si les adultes apprivoisent, ce faisant, leur condition d’immigrants qui s’approprient la culture numérique, ils sont souvent surpris en travaillant avec leurs élèves à l’aide des blogues et des autres outils du Web participatif de tout ce qu’ils doivent « faire apprendre » pour que ces modes de communication respectent les usages éthiques du respect de la propriété, du droit à l’image et du respect de la réputation de chacun.

De plus, il est primordial d’enseigner aux enfants à juger de la fiabilité des sources disponibles sur le Web. Ils sont des chercheurs actifs, mais sont-ils des chercheurs sérieux ? Il est de notre devoir de favoriser les situations d’apprentissage leur permettant de développer leur pensée critique à ce sujet.

Finalement, les TIC sont une incommensurable masse d’outils d’apprentissage et Internet est une formidable source d’informations. Les enseignants auraient avantage à en tirer profit, car ils auraient alors la possibilité de varier leurs façons d’enseigner et peut-être même de gagner du temps. Les enfants seraient plus intéressés par les travaux scolaires, car ils en ont tous assez des questionnaires papier-crayon. Il est temps que les situations d’apprentissage qu’ils vivent soient de leur époque. De plus, si on ne leur enseigne pas à utiliser la technologie correctement, respectueusement et de façon sécuritaire, ils ‘apprendront eux-mêmes, à leurs dépens…

Quand la Fonderie vous intéresse

Webographie DEP en fonderie

Wikipedia

Voici un autre site dont la réputation est déjà faite, avec wikipedia il faut quand même rester sur nos gardes quant à l’information qu’on y trouve. Mais, c’est toujours une bonne base de recherche sur n’importe quel sujet. Quand on cherche par rapport à la fonderie on trouve facilement beaucoup d’informations à ce sujet. Les types de fonderie, les secteurs de fonderie, les métiers liés et quelques liens vers d’autres sites nous sont proposés.

Je crois que Wikipedia est un site très utile pour un étudiant qui fait une recherche sur n’importe quel sujet. Il est un bon début quand on ne sait pas par où commencer et nous donne souvent des liens vers d’autres sites pertinents avec ce que l’on cherche.

Bibby Ste-Croix

Par les images et la présentation, on sait clairement que nous parlons d’une fonderie. Il est possible de rejoindre l’organisme soit par téléphone ou par courriel. De plus, un onglet sondage client nous permet de passer des commentaires. Je crois que toute l’information retrouvée dans ce site Web est clairement décrite. On y retrouve la description de la compagnie, les emplois offerts, l’historique de la compagnie, les marchés de distribution et beaucoup d’autres informations pertinentes. On vous offre aussi un lien vers la compagnie en assurance qualité de l’usine.

Il y a plusieurs informations globales sur la fonderie qui peuvent être très intéressantes autant pour l’apprenant que pour l’enseignant. Mais, je crois que la ressource offerte par ce site qui serait le plus utile est la vidéo corporative. Celle-ci montre comment le travail se fait dans une véritable usine. Le professeur peut donc s’en servir comme exemple en classe, tandis que les élèves peuvent aller la consulter pour plus d’informations sur le type d’environnement de travail qu’ils vont avoir.

L’école nationale supérieure d’arts et métiers

L’école nationale supérieure d’arts et métiers se situe en Europe. C’est un site très bien fait pour tout étudiant qui voudrait parfaire son apprentissage, dans un milieu artistique, hors du Canada. Le site de l’ENSAM propose un historique intéressant, des liens sur les entreprises participantes au développement des jeunes stagiaires, d’autre liens pour les étudiants comme le milieu de vie, les logements aux alentours et bien d’autres ressources, dans ce genre. Un lien pour des études internationales est aussi proposé. Leur page web à été crée en 2007 et se tient à jour. Les contacts sont facile à trouver et il est tout aussi facile de laisser un commentaire ou de leur poser une question grâce aux liens contacts (http://www.ensam.fr/fr/contact). Finalement, leur site est complètement en français, mais il est aussi possible de le consulter en anglais.

Comme je l’ai mentionné plus haut, ce site est beaucoup plus pour les élèves qui voudraient parfaire leurs études quand un domaine plus artistique que d’usine. Comme nous n’avons pas d’école de métallurgie artistique au Québec, cette école à l’étranger pourrait être une bonne option pour les élèves désireux de faire de telles études. Finalement, ce site est un bon point de départ pour tous les étudiants qui voudraient travailler dans la métallurgie mais qui ne savent pas quel peut être les débouchés.

AluMATTER

Ce site est conçu pas l’université de Liverpool en partenariat avec l’association européenne de l’aluminium et MATTER. Il est possible de l’avoir en français, anglais ainsi que l’allemand et le néerlandais. AluMATTER est un site web librement accessible qui vise à fournir des outils de formation en ligne innovants et interactifs relatifs à la science et aux technologies de l’aluminium. On retrouve toutes les techniques de fabrication, d’inspection et de finition des pièces produites en aluminium.

C’est un site particulièrement utile pour les professeurs. On y retrouve plusieurs études de cas ainsi que plusieurs outils de formation en ligne qui parlent des différentes techniques ou de la qualité des produits. C’est une bonne base pour montrer des ateliers ou des exercices à faire en classe ou dans les ateliers de l’école.

Fonderie Belgen

Fonderie Belgen, entreprise familiale fondée en 1968 par M. Guérette, a su au fil des années s’adapter à l’industrie de la fonderie ainsi qu’à son évolution. Leur site nous présente un historique de la fonderie, leur secteur d’activités, leur type de production ainsi que leur procédé de moulage. On peut consulter leur site en anglais et en français. Leur dernière mise à jour date de cette année. Un courriel, une adresse postale ainsi que des numéros de téléphone sont mis à notre disposition pour les contacter.

Le site de l’entreprise nous aide à faire la différence entre les types de fonderies et leurs techniques de moulage. Il est plus facilitent pour les professeurs de pouvoir faire une visite sur leur site web avant de se déplacer pour une visite physique. Cela permet à nos élèves de préparer des questions pertinentes sur ce qu’ils font. De plus, c’est un bon moyen de leur montrer une véritable compagnie et ce qu’ils font.

Alcoa

Alcoa est un leader à l’échelle mondiale de la production d’aluminium de première fusion, d’aluminium fabriqué et d’alumine. Leur site est un peu comme celui du gouvernement. On retrouve beaucoup d’informations et il est difficile de trouver quelque chose de précis quand on ne sait pas ce que l’on cherche. Malgré tout, les informations sont très pertinentes et détaillées. Le site est mis à jour très régulièrement, mais il ne semble n’y avoir aucun lien pour les contacter. Malgré tout, ce site reste un site très fiable vu la renommée mondiale d’Alcoa, ainsi on retrouve une partie Alcoa Canada, mais aussi pour d’autres parties du monde. Alcoa emploie près de 59 000 personnes réparties dans 31 pays à travers le monde.

Des informations sur une compagnie de grande envergure, nous apportent à démontrer en classe des exemples de santé sécurité. Par exemple, nous retrouverons sur ce site beaucoup plus d’informations sur la santé sécurité que dans plus petites compagnies. En faisant une recherche avec mes élèves, ils se rendent compte de l’importance de celle-ci à l’intérieur de grandes entreprises et pour leur emplois à venir. Pour les élèves, il est aussi intéressant de voir comment marche une entreprise d’envergure mondiale.

Blogue Fonderie

Ce site est en fait un blog qui traite principalement de tous les sujets entourant la fonderie. On y trouve des vidéos et schémas et textes sur divers sujets comme l’utilisation du magnésium, la fonderie sous haute pression et bien d’autres sujets. L’information est claire et précise et des textes sont écrit de temps à autre depuis 2003. On peut aussi contacter l’écrivain du blogue par courriel.

Ce blog présente une vidéo sur la fonderie sous pression de Zamak. (Alliage de Zn).
En plus de la vidéo, le site présente une animation sous forme de dessin, de diverses étapes du procédé. En considérant que ce procédé de fonderie est enseigné à nos élèves de façon ¨théorique¨ seulement, le vidéo en question présente un certain intérêt comme outil pédagogique.

Metal-Connexion

Metal-Connexion est à la base un forum de discussions sur tous les sujets possibles qui tournent autour de la métallurgie. On retrouve une vingtaine de sections qui traitent de différents sujets. Ils vont des techniques de fonte aux offres d’emplois, en passant par la forge, la coutellerie et l’orfèvrerie. Comme le site se situe en Europe tout ce qui attrait aux emplois et aux stages n’est pas très pertinent pour nous, mais tous les autres sujets le sont et les discussions sont à jour. Les messages les plus anciens remontent à 2008, donc ont peut déduire que le site existe depuis au moins 2 ans. Bref c’est un forum très simple, mais rempli d’une multitude d’informations.

Je crois qu’un forum est autant utile pour un professeur que pour un étudiant. Les deux peuvent tenter de trouver des réponses à leurs questions ou même les poser. Dans un forum comme celui-ci, qui regroupe des gens qui sont tous du même domaine on peut apprendre beaucoup de choses.

Répertoire

Le site du ministère du Québec n’est pas le plus facile d’utilisation. On y retrouve beaucoup trop d’informations sur beaucoup trop de sujets, mais on sait qu’il est fiable. Heureusement, à force de persévérance on finit par trouver ce que l’on cherche. Ici, nous vous proposons un répertoire des fonderies québécoises, celles-ci sont classées par techniques de moulage. Il est donc facile d’y trouver ce que l’on cherche rapidement. Sa dernière mise à jour date de mars 2007.

C’est un outil très pratique pour un professeur ainsi qu’un étudiant au DEP quand vient le temps des stages. Il est facile de choisir avec l’élève quelle technique l’intéresse et quelle usine la pratique. Ensuite, il ne reste plus qu’à faire les démarches pour le stage.

Fotosearch

Publitek, Inc., dba Fotosearch est un site commercial fournisseur de banques d’images libres de droits et à droits gérés, proposant également des vidéos et des séquences audios. Les vidéos sont de bonne qualité d’image et les contenus sont très pertinents pour divers modules de la formation en Fonderie. Par contre, le prix de vidéos est relativement dispendieux. Leurs adresses postales sont très facile à trouver et une adresse de courriel est mise à notre disposition.

Le matériel offert sera un outil didactique d’une grande utilité pour nos élevés. Concernant le DEP en fonderie, nous pouvons acheter des vidéos de divers sujets de fonderie ainsi que de divers procédés de la métallurgie.

Concernant la crédibilité de ce site Web il est tout a fait fiable. Il a réussi le test des six questions de cyberespace avec succès.

Youtube

Youtube existe depuis un bon moment sur le net et nous n’avons pas vraiment besoin de démontrer sa fiabilité puisque tout le monde peut y mettre ce qu’ils veulent. Dans notre cas nous avons choisis deux vidéos d’industrie minière.

Vidéo 1

Vidéo 2

Ces deux sites présentent sur vidéo, divers aspects de l’exploitation minière d’une mine d’or et d’une mine de cuivre. Les deux mines existent en Australie et en Colombie- Britannique respectivement. Les 2 présentations se complémentent et ils sont de bonne qualité. Les vidéos sont de bon exemple à présenter aux élèves pour leur montrer ce qu’est une véritable exploitation minière. Grâce à des sites comme Youtube, on peut arriver à montrer beaucoup de choses à nos élèves sans avoir à se déplacer à des kilomètres pour leur montrer.

Vidéo 3

Excellent vidéo sur le procédé d’extrusion de l’aluminium. Le seul inconvénient est que la présentation est en espagnol. Malgré cette impasse pour les étudiants, et comme nous l’avons souvent dit plus haut, dans un DEP les cours sont beaucoup plus manuels et il est bon de pouvoir montrer à nos élèves comment les différents procédés étudiés en classe sont mis en pratique dans l’industrie.

Vidéo 4

Cette vidéo nous présente le procédé de ‘’stamping’’. Encore une fois elle est en espagnole, mais comme on ne voit que le procédé, la langue n’a pas vraiment d’importance. Dans nos locaux nous n’avons pas toujours tout ce qu’il faut pour montrer toutes les différentes méthodes utilisées dans l’industrie. Des vidéos comme celles-ci nous permettent de pouvoir mettre des images sur la théorie que nous montrons à nos élèves.

Vidéo 5

Vidéo 6

Les deux sites présentés à continuation, contiennent divers vidéos sur les traitements thermiques des aciers et autres alliages. Les vidéos sont d’excellente qualité et seront de grande utilité pour la formation en traitements thermiques de nos étudiants. Toutes les considérations théoriques et pratiques sont conformes aux règles de l’art.

Blinkx

Il ne s’agit pas vraiment d’un site, mais plutôt d’une vidéo trouvée sur Blinkx qui montre toutes les étapes de fabrication d’un buste de Jean Cocteau par le procédé de cire perdue. Cette vidéo a été crée par La Fonderie Rosini à Paris le 01 novembre 2008. Blinkx est un site de recherche qui nous permet de trouver des centaines de vidéos sur différents ujets.

C’est une vidéo très utile dans le cadre du module de moulage de précision. Il permet de montrer aux élèves la technique de la cire perdue avec beaucoup de détails. De plus, si les élèves le veulent bien, ils peuvent tenter de trouver d’autres vidéos sur d’autres sujets sur le site, ce qui est aussi valable pour les professeurs.

Kenego

Kenego est une entreprise qui produit des vidéos. Fonderie Pena est client de Kenewo. Fonderie Péna est un spécialiste du bronze, aluminium, fonte et acier. Nous avons donc trouvé une vidéo qui montre en détail les techniques de coulées d’acier. La vidéo à été crée le 14 avril 2010.

Le site présente une petite vidéo qui peut servir au début de la formation de nos élevés, afin de leur donner une vision générale du métier. Le sujet est bien présenté. La vidéo peut servir pour donner aux étudiants une vision préliminaire de la fonderie. En début d’année, il est bien de donner une bonne vision de l’industrie pour que les élèves décident s’ils ont bien fait leur choix de carrière.

Par

Maude Bouchard

Maxime Brassard

Patricio Yanez

Web 2.0 ou comment rendre les applications disponible

Je dois avouer que les ordinateurs et internet son une partie importante de ma vie. Je ne ferais pas une crise de nerf si demain internet serait en panne ou n’existerait plus, mais quand j’y ai accès je ne passe pas une journée sans aller sur mes sites favoris. Par contre, pour moi, le web a toujours été le web, un endroit ou les pages web naissent plus vite que les bébés et ou l’information circule à une rapidité étonnante. J’utilise le web depuis facilement 10 ans, je l’ai donc vue évoluer, mais sans vraiment m’en rendre compte. J’ai donc été surprise quand j’ai entendu parler de Web 1 et Web 2. Ce nouveau savoir du Web m’a permis de mieux le découvrir et aussi d’utiliser de manière plus efficace les différents outils qu’il a à m’offrir et ainsi d’en découvrir quelques-uns que je serais bien heureuse d’intégrer de manière permanente à mes cours (mais nous leur reviendrons plus tard).

Le web pour les nuls, le web 2.0

Si je compare à ce que le web et ses applications étaient il y a de cela quelque année, le web d’aujourd’hui est une vraie farce à utiliser. Toutes les réponses à nos questions sont à porter de mains grâce à une connexion internet et un simple moteur de recherche. Le web 2.0 nous a rendu la vie facile sur le net puisque maintenant il travaille pour nous. Avec les fils RSS il nous suffit, si le site web nous le permet, d’enregistrer notre page favorite dans un agrégateur en ligne et nos pages favorites devienne accueille à partir de n’importe quel ordinateur brancher à internet. De plus, l’agrégateur regroupe toutes nos pages au même endroit et nous tient au courant des dernières nouveautés sur chaque page. Facile d’utilisation et pratique quand, comme moi, votre routine des pages web peut prendre plusieurs heures.
Il n’est plus question de remettre un travail manuscrit avec comme raison que nous n’avons pas de programme de traitement de texte, car avec le web 2.0, on peut avoir accès une suite bureautique complète, et ce, en tout temps. Quelle merveille quand dans ma classe aucun ordinateur n’a la même version de Word, ou même quand certain ordinateur ne l’ont même pas. Le web 2.0 nous permet d’uniformiser les logiciels et les applications que nous utilisons tous les jours. En tant que futur enseignante cela me comble, car je sais qu’en tout temps je pourrais avoir ses nombreuses ressources avec moi sans avoir à me tracasser de leurs fonctionnements compliqués et de leurs installations. Puisqu’avec le web 2.0 fini l’installation.

L’expression « Web 2.0 » désigne certaines des technologies et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s’approprier les nouvelles fonctionnalités du web et ainsi d’interagir de façon simple à la fois avec le contenu et la structure des pages et aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social.

Ha! DeviantART

Voici le premier site que je vous présente. DeviantART est un regroupement d’artiste de tous genres et de tous calibres. Ce site nous permet de mettre en ligne facilement n’importe quel oeuvre de notre crus, que ce soit un texte, un dessin, une piste audio ou une photo. Jusque là c’est bien, mais en plus DeviantART nous permet de tenir un journal, de commenter nos oeuvres et celles des autres. Bref, c’est un vrai réseau social en plus d’un magnifique portfolio. Petit moins pour ce site, il est totalement en anglais et, vue son très grand nombre d’utilisateurs, il est très difficile de se faire une place dans cette communauté. Pour ce qui est de son côté pédagogique, je ne l’utiliserais pas comme outils de création, mais plutôt comme outils de recherche pour leur faire découvrir de nouveaux artistes (petit bémol, attention au contenu 18 ans et plus).

SheezyART

SheezyART est en quelque sorte le petit frère bâtard de DeviantART. Il a été crée à l’origine par des gens qui ne trouvaient pas leur bonheur avec DeviantART. Aujourd’hui par contre, il n’est pas rare de rencontrer un artiste sur l’un et l’autre de ses sites webs. ShezzyART a les mêmes avantages que son grand frère, mais avec quelques ajouts esthétiques. Il est possible de modifier à notre guise l’espace web que ShezzyART met à notre disposition : couleur et arrangement des fenêtres. Notre page peut être changée facilement aux grées de nos humeurs. La plus grande différence c’est la communauté, il y a beaucoup moins d’artistes de hauts calibres et celle-ci est beaucoup plus ouverte. Encore une fois, le site est totalement en anglais.

DrawIN

Vous allez le remarquer bien vite, je suis vendue à ce site web. En fait, il s’agit de ma découverte de l’année. DrawIN est un tout nouveau site qui se qualifie de galerie et de réseau social d’art et, là-dessus, ce n’est pas moi qui vais les contredire. Pour moi, DrawIN c’est le facebook des artistes. Encore une fois c’est un site qui nous permet de mettre très facilement en ligne nos images et d’y avoir accès en tout temps. En plus de pouvoir visiter les galeries virtuelles des autres abonnés, une fonction toute simple nous permet de devenir amis avec eux pour voir en tout temps les nouveautés de leur page. Comparativement aux deux autres sites que j’ai présentés, celui-ci nous offre quelques options pour gérer nos oeuvres. Avec l’une d’elle, nous pouvons contrôler qui a le droit de voir nos œuvres : tout le monde ou simplement nos amis. Il nous est aussi possible de mettre des licences Creative Commons et de diffuser nos oeuvres sur Twitter, Facebook, Myspace, Digg, Reddit et Delicious en quelques cliques de souris. Autre plus, il est totalement français.

Si j’avais à utiliser un de ces trois sites en classe se serait définitivement DrawIN, car la communauté n’est pas très grande, mais très ouverte et donne beaucoup de commentaires très constructifs aux nouveaux arrivants. Il permet aussi de se construire facilement un très grand cercle d’amis artistes et, en plus, il est totalement web 2.0. Facile d’utilisation, fiable, disponible partout, c’est l’outil idéal pour l’artiste d’aujourd’hui.

Parout et en tout temps

Le Web2.0 nous permet de mettre en ligne facilement les œuvres de nos élèves et cela nous donne de grands avantages. Premièrement, en art nous devons évaluer les élèves par rapport à leur cheminement et non selon le résultat d’une seule œuvre. C’est pour cette raison que le carnet de trace devient très important, mais souvent ce genre de cahier prend beaucoup de place et l’élève ne peut par partir avec à sa guise. Ainsi, les portfolios virtuels permettent aux jeunes et aussi à leurs enseignants d’avoir accès partout et en tout temps aux œuvres. Plus besoin de trimbaler une centaine de cahiers de traces quand arrive le temps des évaluations. Pour le jeune, il peut montrer à qui ils veut ce qu’il fait dans ses cours, encore une fois, pas besoin d’attendre la fin de l’année pour exposer ses œuvres à ses parents et amis.

Crée sur le Web, c’est possible !

Pour finir j’ai décidé de vous présenter deux applications qui nous permettent de dessiner en ligne. En tant que professeur d’art on rêverait tous d’avoir un laboratoire informatique équipé de photoshop (ou un équivalent). C’est beau de rêver! 😛 Voici donc deux alternatives peu couteuses.

Oekaki

Destinée à produire des images à basse résolution, L’interface Oekaki offre un certain nombre de fonctions graphiques de base (Tracer, choisir une couleur, effacer, mélanger), mais également des fonctions plus avancées émulant celles qui existent dans les logiciels de traitement d’image et de graphisme.

Facile à trouver et à utiliser, l’Oekaki se décline sous plusieurs versions. Certaines avec plus d’outils que d’autres, il s’adapte facilement aux différents cycles scolaires. Sur le site que je vous recommande on retrouve quatre versions différentes et pour ceux que sa intéresse et qui voudrait débuter voici un site pour tout savoir.

Paint

Pour les gens qui voudraient rester dans les logiciels un peu plus traditionnels, voici mon coup de cœur : Sumo Pain 2.0. Très facile à utiliser et à comprendre, tous les outils de base pour dessiner s’y trouvent. Beaucoup plus abordable que photoshop, sans installation, il comprend tous les outils nécessaires à l’apprentissage de la création d’images et d’oeuvres numériques.

Pour finir

Je crois que le web2.0, si on l’utilise bien, est un outil merveilleux à intégrer dans nos classes. Abordable, facile d’utilisation et disponible en tout temps son les mots clés de ce nouveau web. Comme aujourd’hui la plupart des jeunes sont attirés par la technologie, il faut en tenir compte dans notre enseignement. Aujourd’hui, j’ai proposé quelques outils pratiques et j’ai l’intention de les utiliser en classe. Merci web 2.0 !