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Mon arrière-goût de l’enseignement

Bonjour à vous bloggeurs et lecteurs de Pédagotic. Patrick quelque fois au cours de la session tu as fait voir tes états d’âmes versus notre merveilleux système scolaire avec des montées de lait tout à fait pertinentes. Je ne sais pas si mon commentaire est aussi pertinent, mais le fait que nous ayons accès à un internet plus réduit que nos étudiants dans nos propres salles de cours, provoque l’ire chez moi.

Le nivellement par le bas a toujours été le fort de nos bon gouvernement, force d’admettre que ce comportement se propage dans les retranchements des autres organismes chapeauté par ce dernier. Il est bien plus facile de gérer en fonction de la masse, plutôt que de faire du cas par cas. Certes de rencontrer un cas problématique, demande temps et effort et sans doute que dans ces 2 catégories nos bon dirigeant non rien à perdre.

Je trouve complètement ridicule que dans la plus part de nos centre de formation respectif nous ayons un accès plus que très limité a un outil comme internet. Mes filles ont plus de droit à la maison que moi j’en ai dans mon milieu de travaille versus cette outil plus que pratique.

Je sais bien que certain abuse de leur temps libre pour allez surfer sur les heures de travaille, mais sommes-nous tous obligé de payer pour ces quelques junkie du et déficient du clavier.

J’avais, a mon avis, une idée de projet orienté directement vers le Web 2.0, une idée que mon directeur avait endossé en ca totalité. Je saluais cette ouverture d’esprit et je croyais bien que la commission scolaire me ferais regretté tout mes propos face à la gestion des services informatique, il n’en fut rien!!!!!

Bien que mon directeur m’ais appuyé le dossier traina en longueur et fini par mourir dans l’œuf auprès du service des gestions informatique, et là je ne parle pas des technicien, mais bien de leur direction.

Je vous explique mon projet, s’il vous semble bon, je vous laisse tout le loisir de l’essayer. Il y a un certain problème de main d’œuvre au sein de ma profession, bien qu’il y est des postes de libre et des professionnels aussi libre l’employeur et la main d’œuvre semble avoir de la difficulté a ce rejoindre. Vous allez me dire qu’ils n’ont qu’à faire des demandes d’emploi. Vous allez avoir raison, mais trop souvent le manque de main d’œuvre dans une entreprise d’arpentage et quasi quotidien alors il faut trouver rapidement, le bouche à oreille est plus souvent efficace que tout autre démarche. Alors me vient l’idée d’avoir un réseau ou je pourrais avoir un lien directe avec la main d’œuvre.

Première étape, inclure dans mon site tout les gens que je connais qui travaille de près ou de loin dans mon métier. Seconde étape demandé a ce qu’il fasse de même et ainsi de suite, afin de créer un bassin de professionnel de l’arpentage.

C’est bien beau mais ces gens là doivent communiquer et interagir ensemble, parfait, alors optons pour la création d’un bloque. Voilà la première ébauche. Mais je voyais beaucoup plus grand que ca. Je voulais d’un site ou l’arpentage serait vulgarisé par des professionnels du milieu. Une foire aux questions ou peu importe que la question soit professionnel ou simple curiosité par rapport au métier elle serait répondu et traité de la façon la plus sérieuse. Qu’il est un lien direct entre des employeurs et des employés, les employées pourrait y montrer leur disponibilité ainsi que leurs aptitudes et les employeurs proposer des emplois et ce en temps réelle avec des mise à jours quotidienne.

Je voilais faire une énorme place à ma formation professionnel, pour démystifier le métier et peut-être ainsi recruter de nouveaux élèves pour le cfp. Bref voilà en gros consistais mon idée. Il y a plein d’autres petits détails qui s’y rattachent mais vous voyez là le gros de mon idée. Mais elle fut rejeté et a peine regardé.

Je ne suis plus enseignant mais j’ai quand même essayé quelque chose avec mon Facebook. J’ai demandé à tous les étudiants de mon groupe qu’y avait une page Facebook de me mettre dans leurs « amis » et de faire de même avec les autres étudiants. Constat, les étudiants sont resté en contact et une étudiantes à trouvé un emploi grâce a cette méthode. Je considère cet exercice comme une réussite. La démarche que j’ai fait pour palier à la non création de mon site m’a permis de donner de petits trucs à mes anciens étudiants pour décrocher des entrevues avec les employeurs et ma aussi permis de façon directe de mettre en lien une étudiante et un employeur, elle y travaille toujours!

Peut-être qu’à force de le dire haut et fort, un jour les directions cesseront de faire la sourde oreille et travailleront les tics comme de gens de leurs temps et non comme des rétrogrades!!!

Le facebook de mon enfance

Lors d’un des cours, on faisait allusion au fait que la génération C étant née avec la quasi certitude qu’un monde sans internet ne pouvais à jamais existé, un commentaire m’a porté a réfléchir longuement. Je ne me souviens plus qui ni les mots exacts mais le commentaire faisait allusion que les gens de génération précédentes étions moins enclin à ce servir des nouveaux outils que nous procurait le Web 2.0. Que cette génération bien qu’elle est un penchant pour les outils informatique restait plus en contact avec leur pair, que nous les x, y et boomers de ce monde

Je voulais mettre la chose au claire avec ma conscience. Bien que l’exercice n’ait pas vraiment de valeur notoire je l’ai trouvé fort amusant. Alors par le bien d’un site de réseautage social, Facebook, pour ne pas le nommé je me mis à la recherche de mes amis, mais la attention pas n’importe lesquels, ceux du primaire, plus spécifiquement de la cinquième et sixième année. J’ai 36 ans au moment ou j’écris ces lignes, alors cela fait plus de 23 ans que je n’ai aucun contact avec qui que se soit de ce groupe d’individu.

Alors de mémoire je tape dans l’outil de recherche du site les 25 noms de tous ceux dont je me souviens. Verdict sur les 29 élèves que nous étions je réussi à rentrer en contact avec 15 de ceux-ci. Heureux de mon excellente récolte je tente un nouveau geste, je publie une photo de groupe de la confirmation. Sans doute un événement inconnu de la génération C, puisqu’à l’époque la chose était obligatoire. Alors la`ô surprise, les réactions sont incroyable déjà heureux de mes 15 contacts retrouvé il vient s’en greffer 7 autres qu’y étaient resté en contacts avec mes nouveaux « amis Facebook », pas pire résultat pour une génération qui sont des apprenant du Web 2.0!!!

Bilan final, dans un délai de 5 jours je suis à nouveau en contact avec 76% de ma classe de cinquième année, je suis moi-même surpris de la chose. Maintenant est-ce que les gens de la génération C et les gens des autres générations sont différents en ce qui concerne le fait de rester en contact avec leurs gens? Et bien à cette question je dirai ceci, moi j’ai du faire une recherche et poser quelques gestes pour refaire mes liens avec mes amis de la cinquième, tandis que ceux de la génération C risque fort de ne pas perdre contact du fait qu’ils utilisent ou du moins connaissent déjà les média sociaux du type de Facebook. Je sais bien qu’ils n’utilisent pas que les média sociaux pour rester en contact, ils ont aussi très souvent une liste très complète de leurs amis sur leur téléphone avec lequel ils peuvent se texter à tout moment. Je prévois d’ailleurs une future maladie de pouce pour ces « texteux » et sans doute une mutation du corps avec des jeunes qui auront de plus gros pouce à la naissance si cela continu….

Mais bien qu’étant des apprenant du Web 2.0, ma classe de cinquième fera ca à l’ancienne et au lieu de s’ouvrir un salon de clavardage pour jaser, on devrait bientôt se fixer une date pour des retrouvailles.

Le contenu numérique, sa diffusion et sa réutilisation

Le contenu numérique, sa diffusion et sa réutilisation, voilà un thème des plus à propos pour un nouvel enseignant comme moi.

J’ai par plusieurs fois fait des recherches sur la toile pour compléter des cours déjà monté en grande parti. Mon but étant d’amener un souffle nouveau, une couleur plus personnelle à un cours qui avait un contenu important et intéressant, mais un contenant qui n’était pas le mien.

Parfois la quantité d’informations trouvées pour mon domaine, soit l’arpentage, est impressionnante, mais parfois elle est soit inexistante ou encore tout à fait incomplète.
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Certes la tâche de travail pour trouver une information pertinente et la mettre en application est parfois ardue. Alors une question se pose, le contenu trouvé vaut-il tout le temps investi? Pour ma part, je vous dirai que oui. Bien qu’il soit évident que nous pouvons investir beaucoup de temps au début, le choix risque d’être très payant. Je suis du type qui ne regarde pas les heures pour trouver l’information que je veux, alors le reste s’en suit.

À force de chercher, vous trouverez!!!! Vous ferez de certains sites des favoris où vous saurez que l’information qui y est inscrite est pertinente. Du même coup peut-être trouverez-vous des sites qui sont en liens entre eux pour augmenter le fruit de vos recherches et ainsi faire un meilleur tri.

Mais le fait que j’aime faire des recherches sur mon métier et sur les cours que je donne, ne veut pas pour autant dire que mes étudiants ont toute l’information pour réussir, sans un effort de leur part. Ils devront faire leur propre apprentissage, leur propre recherche. J’ai toujours vu mon enseignement comme une maison à bâtir, sans doute une métaphore relié à mon domaine! Je m’explique.

Je leur donne une formation qui fait image de fondation, je leur transmets des outils et matériaux pour construire la structure et finalement je les aide pour la déco. J’espère que l’image est claire !!!! Ce que j’entends par outils et matériaux, sont les recherches qu’ils doivent faire et le bagage qu’ils en retirent pour le mettre dans leur connaissance du métier. Pour ce qui est de l’image de la déco et bien, c’est que toute information trouvée n’est pas nécessairement pertinente et il est important d’en faire un bon trie. De cette façon je donne un cours très interactif où l’élève est très impliqué.

Bien que je fasse des recherches et que mes élèves en fassent eux aussi, une chose est par contre un irritant pour moi. L’information trouvée ne sert qu’à moi et au groupe mis en cause. Le partage de l’information ne se fait pas de façon automatique au sein du groupe d’enseignant dont je fais parti. Je pourrais le diffuser sur la toile, mais je crois que comme bien des pages existantes dans le Web, elle tomberait vite dans l’oubli la plus total.

Je déplore un tel comportement, mais des crises intestines en sont la raison. C’est d’ailleurs en parti l’utilisation de note de cours qui en sont la cause. Moi je rêvais d’une base de données accessible, à laquelle toute personne pourrait y ajouter de l’information pertinente et ainsi y faire une mise à jour continue, mais je ne crois pas que l’idée trouve preneur au sein de mon groupe. Car le partage du savoir en général, donne une bien meilleur qualité d’enseignement, vue la ressource plus grande.

Selon Denys Lamontagne

La réutilisation de ressources éducatives produites dans le cadre d’une chaîne de production est de loin la pratique la plus courante. Dans une chaîne, les processus sont bien intégrés au système de l’institution et tous ses éléments (images, textes, exercices, vidéos, enregistrements, outils, examens ) sont déposés dans une librairie numérique partagée.

La librairie est au coeur du système et la granularisation des objets, comme par exemple des questions de tests ou des outils de collaboration ou de simulation, est déjà effectuée et ceux-ci s’intègrent rapidement dans les gabarits de présentation, les principes de navigation et les chartes graphiques. Tous les éléments de gestion connexes au système sont déjà en place et n’ont pas besoin d’être réajustés à chaque fois.

La définition des documents peut paraître contraignante, mais les possibilités qu’elle autorise font en sorte qu’elle est plus libératrice que contraignante. En pratique, l’approche consiste à réaliser un modèle de document, à assister les tâches de création du contenu et à automatiser leur mise en forme. Elle permet également de récupérer les documents existants.

Plus le système est utilisé par de nombreux départements ou facultés, plus il devient riche et la productivité du service accrue. Il va de soi que les pratiques et approches didactiques diffèrent selon les domaines et que divers systèmes peuvent avoir été utilisés; aussi certains objets ne peuvent que difficilement passer d’un système à l’autre.

La question en jeu ici est l’intégration de toutes les composantes institutionnelles; si les services aux étudiants et employés sont relativement faciles à coordonner, il en est tout autrement des divers départements et facultés. Le défi est là.

Je trouve dommage que nous soyons incapable de créer une banque de données complètes, parce que certains individus on un égo mal placé. Je vois bien que certain groupe on réussi à produire de belles bases de données éducatives complètes et bien détaillées et ce au sein même de mon centre de formation. Pour ma part, je rêve encore au jour où une telle chose se produira dans mon domaine, mais je crois que ce n’est que pur utopie de le penser

Et j’ai signé arpenteur05

Je me présente, arpenteur05, un des nombreux avatars de groy, blogueur de Pédagotic. Pour ma part, je classe l’identité numérique en trois principales catégories : l’identité que je laisse en connaissance de cause, celle que je laisse sans le savoir sur le web et celle que je ne veux pas laisser.

Quelle est l’identité numérique que je veux laisser sur le web? Je crois qu’il y a autant de réponses valables que d’individus qui fréquentent le Web. Tant qu’à moi, je préfère garder un grand contrôle de ce qui pourrait circuler sur le Web à mon sujet. Bien que je sois un adepte de site de réseautage tel Facebook, je laisse passer le moins d’informations personnelles sur se site, qui a mauvaise publicité sur les points de respect de la vie privée. Il est certain que je laisse beaucoup d’information et je le fait en connaissance de cause, mais je filtre énormément à qui j’envois de l’information et qui va pouvoir la consulter.

Mais il n’y a pas seulement les sites de réseautage où je laisse de l’information sur moi. Je suis membre d’un site de covoiturage et à mon grand déplaisir lors d’une recherche sur le moteur de recherche Google, je suis tombé sur ma page personnelle. De l’information très générale, mais quand même une trace de l’avatar (arpenteur05) que je suis. Je fréquente de nombreux sites où je dois me créer un profil pour être admis. Parfois j’y laisse des informations qui sont véridiques, mais à d’autres moments ne croyant pas la chose nécessaire, je laisse de l’information tout à fait fausse, à vous de trouver le vrai arpenteur05.

Mais que je le veuille ou non, je laisse quand même passablement de trace sur les différents sites que je fréquente. C’est mon identité numérique que je laisse sans le savoir. Ce coté de l’identité numérique, je le connais très peu, mais je l’ai entre vue lors de mon présent cours. Parfois sinon la quasi-totalité des sites Internet où je traîne me demande de l’information ou plutôt la demande à mon système informatique pour me permettre leur accès. Cela peut être des informations comme les derniers sites que j’ai fréquentés, mon type de processeur, mon type d’écran et autres informations diverses. Ainsi avec toutes ces données, on peut cibler de la publicité lorsque j’ouvre de nouvelles pages, où encore pire, s’il mettre la main sur un adresse courriel, m’envoyer des pourriels en quantités.

Et finalement, l’identité que je ne veux pas laisser. Cette identité pour le moment je ne l’ai pas vécue. Mais trop souvent, j’ai lu des histoires sur l’usurpation d’identité qui cause bien des troubles au gens qui en sont victime. Bien que les informations qui circulent sur moi sur le web sont pour la plupart autorisées par ma personne, mais je ne suis pas à l’ abri d’un vile utilisateur du Web qui voudrait se faire passer pour moi. C’est avec des sites comme Youtube, Facebook ou autres du même acabit que les fautes les plus graves sont arrivées. Parfois les histoires sont graves au point qu’une personne peut voir sa vie professionnelle et même personnelle complètement démolie.

En conclusion, je dirai qu’il est très important pour chacun de nous, qui sont surfeur de la toile, de laisser le moins d’informations personnelles dans les pages que vous visitez, car si vous ne le faites pas, le Web ne le fera sûrement pas pour vous!!!!!

Arpentage 2.0

[Arpentage 2.0!! Est-ce que mon métier pourra suivre le rythme? Est-ce que les gens en place et pratiquant le métier voudront surfer sur la vague? Est-ce que les enseignants pourront orienter les étudiants et intégrer certaines des applications du [Web 2.0 dans leur enseignement.

Je crois pour ma part que tout passe par l’enseignement. Si les gens qui sortent de nos écoles sont formés avec les applications de la révolution du Web, le milieu professionnel n’aura d’autre choix que de suivre la relève. Car si les futurs employeurs, de nos étudiants non pas le temps ni le goût d’apprendre à travailler avec les nouvelles avenues que nous offre le Web 2.0, ce sont nos étudiants qui leurs dicteront la marche à suivre.

Je suis un adepte du Web 2.0, bien que nouvellement initié. Il est inutile de dire que mon cours d’initiation aux technologies éducatives y est pour quelque chose. Avant j’étais un simple spectateur sur la toile, je jouais au voyeur ici et là sans trop prendre part à la vie du Web 2.0. C’est très différent maintenant. À toute les fois que j’apprivoise une nouvelle application, je lui cherche une utilité qui pourrait soit faciliter mon enseignement ou carrément faire évoluer mon métier d’une nouvelle façon.

Comme je le disais, lorsque j’apprends à maitriser une nouvelle application du Web, je lui cherche une utilité. Pas une chose toujours facile à faire!!! Je me suis créé un Reader, et j’avais déjà ma petite idée dans la tête pour ce que pourrait être son utilité dans mon enseignement. Ce que j’envisageais était de créer un Reader pour la recherche d’emplois, ma déception fut très grande! Sur tout les sites d’emplois que j’ai visité seulement un possédais un fils RSS. J’ai quand même démontré ce qu’est un Reader à mes étudiants, de sorte qu’ils puissent eux aussi faire leur propre expérience et qui sais, peut-être qu’avec le temps tous les sites de recherche d’emploi auront un fils RSS….

Une autre application, que j’ai démontré à mes étudiants est celle de Linkedin. Cet outil est un site de réseautage professionnel. Une autre façon de se faire des contacts dans le milieu professionnel de son choix et peut-être même de se trouver un emploi. Depuis que je suis en poste au centre de formation professionnel (cfp) du royaume, un des points qui me préoccupe est le suivi et l’embauche de nos finissants. Bien que la demande pour les finissants du diplôme d’étude professionnel d’arpentage et topographie soit grande, j’aimerais qu’ils bénéficient d’un site où ils pourraient être en lien avec le cfp et aussi le milieu professionnel de la région, un site du genre de Linkedin, mais à la sauce Québec. On pourrait y trouver des liens sur les nouveautés dans le métier, des emplois, des portfolios, des liens vers des entrepreneurs, de la promotion pour la formation, un blogue, une foire aux questions, des photos et quelques autres applications. Un site qui pourrait servir tout les intervenants du métier d’arpentage.

Autres applications que j’ai mis à l’épreuve avec mes groupes son l’échange de courriels (Hotmail, Gmail…) et les sites de réseautage social (Facebook, Twitter…). Pour ce qui est des sites de courriels, c’est très pratiques pour communiquer une information tel une offre d’emploi ou tout autres informations, mais plus souvent qu’autrement il n’y a pas d’accusé de réception de la part de l’étudiant ou sinon ma boîte courriel était remplis de chaines de lettres et de pourriels de toutes sortes.

Je me suis donc tourné vers Facebook et Twitter. J’ai commencé par Facebook, étant donné que je le maitrisais déjà. C’est un très rapide moyen de communication et une excellante façon de rester en contact avec son entourage et d’interagir sur les pages de vos « amis ». Mais attention avec ce que vous publiez sur votre page, il ne faut pas oublier que nous restons des enseignants et que bien que nous enseignons à une clientèle, qui pour la plupart est adulte, un site comme Facebook peu faire de nous une cible, car coté respect de vie privé, Facebook ne connais pas tellement ça. Déjà des histoires assez scabreuses ont fait la une des journaux, des histoires qui mettait le site en cause. Je vous conseil donc de faire une page Facebook, pour la discipline que vous enseignez, plutôt que d’accueillir des étudiants dans vos pages personnelle.

Je suis maintenant à me familiariser avec Twitter, à la vue de mes premières expériences, je trouve que le potentiel de communication et sa rapidité en font un outil très pratique pour mon enseignement. Mais avant de me lancer dans une quelconque évaluation personnelle du site, je devrai y approfondir mes connaissances. Disons, pour le moment, que je suis plus favorable à Twitter qu’a Facebook pour communiquer avec mes étudiants!!!

Malheureusement bien que le web 2.0 donne d’énorme possibilité et de facilité de création d’outils de toutes sortes, il est aussi une source inépuisable de tout ce qui est maliciel et spam. Une étude HonetGrid dernièrement publié sur le web et citée par le blogue des nerdz nous dit que 95% du contenu du web 2.0 serait des pourriels, virus et vers malveillants. Voilà quelque chose de très décevant. Que voulez-vous où il y a de l’homme il y a de l’ »hommerie »!!!!

Tant pis s’il n’y a que 5% du web 2.0 qui vaut vraiment la peine d’être utilisé, c’est un 5% qu’il faut apprivoiser et peut-être que le 5 deviendra 10, 15, ou 30 %…

Un X au pays des C

Génération C, voilà donc comment se nomme cette génération qui n’a jamais connu le monde sans Internet, fichiers imprimés et tout le reste du bataclan qui vient avec.

Proprement dit, je trouve que c’est une très belle génération si on la scrute de façon générale. Elle est pleine de vigueur, toujours à l’affut des nouvelles technologies afin de leur faciliter la vie. Parfois les générations précédentes, y gagneraient à l’écouter, car dans tout le flot d’idées qu’elle propose certaines pourraient être fort pratique et utile. Malheureusement, les trop nombreux préjugés qui existent entre les générations, font en sorte que toute génération qui succède à une autre est rapidement jugée et/ou parfois fait peur par les changements qu’elle propose.

Par contre, bien que j’aime la fraicheur de cette génération, je trouve personnellement qu’elle est un brin trop dépendante de la technologie. La technologie se doit d’être un outil et non un mode de vie, voilà sans doute une réflexion d’un X qui juge les C.

J’enseigne depuis un peu plus d’un an et mes groupes sont formés d’étudiants âgés entre 17 à 46 ans, mais près de 50% font parti de la génération C. J’ai donc profité de cette opportunité pour lancer un petit débat de génération dans mes groupes. Ce qui en a résulté fut fort intéressant. J’ai pu constater que peu importe la génération, ceux qui réside loin des centres urbains font un usage très modéré des outils technologiques à leur disposition. Même que parfois certaines technologies n’y sont même pas accessibles, alors de se faite les C en zone rurale, ont une façon très différente d’agir et de penser par rapport au C des régions urbaines. J’ai pu constater aussi que plus la région urbaine est grosse, plus l’individu est submergé dans son monde de technologie informatique (TI). Par exemple, de façon générale, un C de Montréal est encré plus profondément dans un monde de TI et d’internet versus un C de Saguenay. Il y a de nombreux facteurs qui viennent interagir avec ce dernier énoncé, et il serait intéressant de l’approfondir, cela sera peut-être fait dans un prochain billet.

Les TI et l’Internet a développé chez la génération C une forme nouvelle de communication. Ils sociabilisent beaucoup, mais pratiquement toujours de façon virtuel. Cela en fera t-il des gens moins sociables physiquement parlant? Cette façon de communiquer leurs permettent de rejoindre rapidement les gens avec qui ils veulent converser, et ainsi d’avoir un maximum d’information en un minimum de temps, un trait qui caractérise bien cette génération qui ne veut jamais attendre et veut tout, tout de suite. Je trouve ce type de communication froide et très impersonnelle, car bien que le C est de nombreux amis, il fini plus souvent qu’autrement seul devant son écran d’ordinateur ou à texter sur son cellulaire.

J’enseigne l’arpentage et c’est un domaine où l’avancée des TI c’est faite à la vitesse grand V. On pourrait donc en déduire que le métier est taillé pour la nouvelle génération. Certes ils ont une facilité indiscutable à saisir certaines des nouvelles applications, surtout celles qui concernent le transfert de données par des réseaux Wi-Fi, internet ou cellulaire. Lors de discussions tenues avec mes étudiants, j’ai pu constater, que bien qu’ils maitrisent plus rapidement les nouvelles technologies ils craignent en parti de perdre certaines techniques artisanales de leur métier.

Comme je l’ai dit plutôt, il y a un grand écart d’âge entre mes étudiants et je peux constater que les forces des différentes générations ne sont pas situées au même endroit en ce qui attrait à l’apprentissage de leur métier. J’ai donc dû changé mon approche académique pour les C. Je dois donner une théorie à plus petite dose et la rendre beaucoup plus interactive. En plus mon enseignement se doit d’être précis, car il déteste chercher dans les livres de référence si problèmes il rencontre dans l’exécution pratique. J’aime bien mettre mes étudiants sur une piste, au lieux de leurs donner la réponse toute cuite dans le bec, avec les C c’est une méthode qui n’est pas très efficace, il veulent la réponse et passer a autre chose, c’est la loi du moindre effort qui prédomine, et cela m’irrite un peu!!!

Pour avoir travaillé avec certains stagiaires de cette génération, je peux vous confirmer qu’ils devront s’habituer pour la plupart à suivre les règles qui régissent notre métier et à accélérer le rythme de travail, car trop souvent l’effort physique n’est pas leur tasse de thé!!!!

L’acceptation des C dans le milieu de l’arpentage va se faire par le biais de l’entrée de nouvelles technologies au sein du domaine, car sans cet événement la tâche d’être reconnu aurait été plus ardu.

Un retour à l’école

Salutation à tous, je me nomme Guy Roy, j’ai 36 ans et je suis pour le moment un enseignant avec une situation précaire du dep (diplôme d’étude professionel) en arpentage de la commission scolaire de la jonquière. Précaire, car après avoir enseigné pendant 16 mois je devrai faire un retour sur le marché du travail comme arpenteur et quitter à regret mon poste d’enseignant. J’en suis fort déçu, mais je savais déjà la situation qui m’attendait dès mon embauche au cfp. Je fus diplômé de ce dit cfp il y a près de quinze ans et j’ai acquérir plus d’une douzaine d’années d’expérience dans mon domaine avant d’y faire un retour comme enseignant. Je trouvé ma première journée un brin cocasse, car mis a part un enseignant du département, mes nouveaux confrères de travail étaient jadis ceux qui m’avaient formé et donné le gout de faire de l’arpentage mon métier. Être enseignant, ne m’a pas seulement permis de faire un retour au cfp, j’ai dû comme mes étudiants, siégé sur les bancs d’école afin de parfaire ma nouvelle vocation. Moi qui n’avais jamais songé à faire des études universitaires, m’y voilà contraint, J’appréhendais la chose mais force d’admettre qu’après déjà une session j’adore les bancs d’école de l’université.

Je navigue de façon modéré sur la toile entre mon Face book, eBay, quelques opérations bancaires et divers autres sites qui ont su piquer ma curiosité avec le temps. J’utilise énormément les services web des différentes entreprises pour payer mes comptes. L’ordinateur occupe une partie active de ma vie et je ne pourrais plus m’en passer. Une de mes tâches est d’enseigner des notions de base de Microsoft office ainsi qu’un logiciel de dessin (autocad). Bien que je travaille avec le monde des ordinateurs, je me trouve parfois bien ignorant devant ce monde immense et en constante évolution. J’ai parfois de bonnes idées, mais je suis incapable de les mettre en application vu mon manque de connaissance dans le domaine. Est-ce moi qui suis trop lent pour suivre ?