Pourquoi pas les jeux
en enseignement. Juste pour le fun.
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Billet # 8 Le cyberflânage
Il y aura toujours des gens qui prolongeront leur temps de pause, parleront avec leurs collègues, clavarderont sur leur cellulaire ou sur le Net avec leur amis. Alors imaginez-vous l’Ipad avec sa taille profilée… Tout le monde pourra perdre son temps partout où il voudra et au moment où il voudra.
Sur ce billet, je vais vous parler du cyberflânage. Depuis que j’ai commencé mon BAC, je côtois de futurs enseignants de tous âges et j’ai l’impression que les jeunes de la génération «C» ne sont pas les seules à faire une utilisation inappropriée sur Internet. En fait, dans les cours une minorité de ces cyberflâneurs ont trente ans et plus. Moi, je paye pour apprendre, donc je tiens à être présente mentalement pendant mes cours, et ce le plus longtemps possible. Étant une personne visuelle, je suis facilement déconcentrée par les bruits, les gens qui chuchotent ou qui naviguent sur le Net.
Dans mon milieu de travail.
Si je recule d’environ dix ans, dans mon ancien milieu de travail, je me rappelle que nous avions un vieux poinçon pour les sorties et entrées. Juste avant l’ouverture de notre nouveau magasin, l’appareil étant brisé, notre gérant nous a alors fait confiance pour que l’on prenne nos pauses sans poinçonner. Eh bien imaginez-vous donc qu’au bout de quelques semaines, les pauses des employés s’allongeaient ! Comme quoi les gens à qui ont donnent trop de latitude en abusent parfois…
Pour conclure.
Les personnes qui profitent le plus de ce système sont celles qui utilisent des systèmes informatiques dans le cadre de leur travail. Même s’il n’y a pas d’ordinateur, il y aura autre chose. Je pense qu’il y aura toujours des «profiteurs» qui feront payer les plus honnêtes. Et vous, vous considérez-vous comme un cyberflâneur ?
Billet # 7 La vidéo en classe.
Dans mon domaine, qui est la transformation de la viande, le travail est intensif et les mouvements sont répétitifs. L’état du couteau est l’un des facteurs de risques liés aux symptômes de la douleur aux poignets, aux coudes et aux épaules. De plus, le couteau est notre principal outil de travail. S’il ne coupe pas de façon satisfaisante les problèmes musculo-squelettiques se font sentir dès la première exécution de la découpe de viande.
Je suis responsable de l’entretien de mon couteau tout au long de la journée. L’entretien signifie de passer régulièrement mon couteau sur un fusil, lime fine qui permet de redresser et de recentrer le fil du tranchant du couteau
. Cette étape est considérée comme la plus complexe et la plus difficile à maîtriser.
Le but de la vidéo.
La vidéo va au-delà de la formation que peu donner l’enseignant. Les processus d’apprentissage par découverte permettent aux élèves de mieux comprendre ce qui semble inexplicable et invisible à l’oeil nu.
Le fil redressé se situe juste au dessus de la lame aiguisé par l’expert sur l’image de droite..
Billet #6 Facebook.
L’époque de la vie privée est révolue.
Il faut se poser la question: « Pourquoi voudrais-je mettre de l’information sur Internet?» Pour ma part, j’ai choisi « Facebook », un outil de renseignement, pour la simple et bonne raison que c’est la seule façon, pour moi, de communiquer ou prendre des nouvelles de mes amies avec ou sans leurs présences.Toutefois les amis de mes amis ne sont pas les miens. Les commentaires, les informations et les photos que je laissent sur « Facebook » ne sont pas toujours perçu de la bonne manière, par tous le monde. Heureusement, il existe les paramètres de confidentialités, mais il y a un bon nombre de gens qui accordent dans cet outils une confiance aveugle.
J’ai trouvé ces liens sur la page d’accueil de « MSN » pour vous donner une bonne idée des impacts que peu avoir « Facebook».
L’alibi parfait.
Surveillance du voisinage.
C’est juste une blague.
Empreintes numériques.
L’idole des jeunes.
Quel idiot!
Comment choisir ses amis?
Pour conclure, je dois faire attention à ce que j’écris sur Internet et à qui je dois faire confiance. Je ne suis pas une criminelle, mais c’est tout de même inquiétant l’utilisation de cette plateforme dont on ne connait pas exactement ou sont les limites à récolter l’information personnelle à partir de sources extérieures.
J’ai eu l’impression que c’était noël. Voir « Système de gestion de formation» deuxième paragraphe.
Qu’est-ce que le contenu numérique?
J’ai l’impression d’avoir en ma possession une machine qui peut traduire mon texte sans comprendre le sens d’un seul mot.
Elle me donne toutes les voies possibles. Elle peut enchaîner plus d’une opération sans se fatiguer à une vitesse déconcertante. De plus, j’ai même eu l’impression d’être confronté à une intelligence presque humaine. Je me demande parfois comment un contenue numérique comme « zoho » à la capacité de prendre des décisions stratégiques, de s’orienter dans une direction plutôt qu’une autre et de savoir que c’est la bonne.
Le contenue numérique est selon-moi, des vidéos, de l’animation, de la publicité, des logiciels. Selon Denis Lamontagne,
plusieurs millions le nombre d’objets d’apprentissages sont accessibles par Internet.
Si par exemple j’avais besoin de planifier un cours pour mon groupe en boucherie de détail, je n’aurais qu’a faire une recherche sur Internet et du même coup la modifier, pour qu’elle soit une intention plus pédagogique pour l’apprentissage de mes élèves.
Les contenues numériques que j’utilise personnellement.
J’aime visionner les vidéos de mes groupes préférés sur « You tube » j’y vais régulièrement. C’est temps ci, je visionne des cours en ligne avec un nouveau système que nous offre notre entreprise. Ce nouveau système nous donne des cours en ligne « virtuel » sur Internet « formation sobeysL’alimentos ». Ce nouveau système veut amoindrir le coût très élevé de la formation donné par les employés en entreprise. Un employé coûte deux mille dollars juste en papeterie, incluent la formation. Si, par exemple, un nouvel employé ne sais pas comment servir ou répondre à un client, bien il devra simplement suivre un cours en ligne avec ce nouveau système. J’espère que ça vous intéressera?
J’ai fait mon travail avec zoho, un des contenues numériques.
Je travaille avec « zoho », que je préfère parmi ceux qui nous ont été présenté en classe. Je suis allé sur Google pour trouver le logiciel en question. Je suis en train de découvrir cette nouvelle approche. J’aime bien les barres d’outils avec les onglets qui me rappellent « Google chrome ». La recherche est encore plus rapide et me permet de moins perdre mon temps qui est très restreint. J’apprécie ces contenues numériques pour la gratuité et l’élargissement des possibilités d’action comme l’organisation et le partage des documents.
Pour mon enseignement.
Personnellement, je pense que j’ai eu plusieurs cadeaux qui vont me permettent de modifier mon apprentissage personnelle et professionnelle. Je vais sûrement me servir d’autre contenues comme par exemple « etherpad et quiz pro ». Se sont tous des contenues numériques utiles et bien fait qui vont facilités mon enseignement dans un proche avenir. Je vais intégrer « quizpro » pour voir si le contenues de mes court a bien été livrés.
Pour conclure.
Je suis charmé par tout ce que j’ai appris dans ce cours, qui au début ne me disais pas grand chose. J’ai quand même amélioré mon français et ma façon de mieux livrer mes textes grâce au « conjugueur et au bon patron ». Finalement ce cours me fait comprendre pourquoi j’ai besoin de me perfectionner dans mon français pour m’exprimer encore d’avantage.
(Image Google 19104a revendre ses cadeaux de noël sur Internet la braderie est annoncée_Galerie de photos Windows).
Je me suis servi des textes de Denis Lamontagne pour mon travail.
L’identité numérique ou l’ADN numérique.
L’identité numérique dans ma vie personnelle.
Pour commencer, je vais vous parler de ce que je sais à propos de l’identité numérique. Personnellement, je laisse des traces sur Internet et ça me laisse un peu froid dans le dos mais, est-ce que c’est légitime? Je n’ai jamais fait attention à ce que je laisse comme trace sur Facebook ou sur MSN. Maintenant, avec les lectures que j’ai faites tout récemment, ça m’a permis de mieux réfléchir. Tout d’abord, j’ai commencé par ouvrir mon Facebook et je suis allé sur mon compte pour ensuite cliquer sur paramètre de confidentialité. J’ai choisi les personnes qui peuvent avoir accès à mes photos personnelles que je partageais, avant ce jour, avec tout le monde. Dorénavant, mes compagnons de travail ne pourront plus voir mes photos personnelles. Je cultive intelligemment mon identité numérique à partir de maintenant. Je vous propose les lectures suivantes sur l’identité numérique au travail et dans mon enseignement.
L’identité numérique dans mon milieu de travail.
Je vais vous parler de la traçabilité alimentaire dans mon milieu de travail. Je travaille au département des viandes dans un Marché d’alimentation. De plus en plus d’inspecteurs du gouvernement « M.A.P.A.Q » nous rendent visite, et ce, pratiquement à tous les mois. Ils obligent les responsables de département à conserver
les étiquettes, qui contiennent les dates et les endroits de production, qui sont accolés sur chaque boîte qui contienne des aliments. Si une maladie quelconque était à l’origine d’une bactérie qui proviendrait de la viande achetée dans notre magasin bien, les traces de cette viande contaminée seraient vite localisées. Cette exigence, nous amène à mieux contrôler la manipulation et l’entreposage des aliments afin de prévenir et réduire les risques microbiens. Connaissiez-vous la traçabilité?
L’identité numérique et mon enseignement.
J’aurai surement à sensibiliser mes étudiants à se responsabiliser et à mieux gérer leur identité numérique. Je vais leurs faires prendre conscience des traces que l’on peu laisser en ligne comme mettre son curriculum vitae, les blogues sociaux, envoyer des messages enfin d’étendre de l’information personnelle et professionnelle en gardant un certain contrôle. Les occasions de laisser des informations importantes sont beaucoup plus nombreuses, car il y a de plus en plus de réseaux sociaux et des achats en ligne. Les photos, les écrits, le partage de document, l’information sur les profils, les moteurs de recherche les conservent tous. Je vais sûrement utiliser « etherpad » comme outil dans mon enseignement. Il est gratuit et il est facile à comprendre. Faudra-t-il sensibiliser les parents sur l’identité numérique avant de l’enseigner aux enfants?
Ma conclusion
Pour conclure, je considère que Facebook et tous les outils du Web 2.0 font partie de ma vie à tout jamais. Je serai plus sage dans ma façon d’étendre mes informations quelles soit personnelles ou professionnelles. Je vais tout de même donner de l’information à ma famille et mes amies afin de mieux les informés sur le sujet. Mes enfants se sentent plus libres de parler à quelqu’un en ne voyant pas de visage, ils pourraient commettre des actes qu’ils n’oseraient pas envisager dans la vraie vie comme disait Mario Asselin dans sa vidéo à ce sujet. Je pense qu’une bonne communication et une bonne discussion quotidienne ne fera pas de mal à personne. Quand pensez-vous?
Merci de me lire.
La traçabilité
Je me suis basé sur la vidéo de Mario Asselin pour le travail.
Le Web 2.0 c’est ça, selon moi.
Question sur le web 2.0
Pour débuter, j’ai pensé vous faire écouter une vidéo que j’ai produite avec la collaboration de Jérémy Bouchard. Jérémie est un ami de mon garçon Alexandre. Pourquoi l’ai-je choisi? Parce que c’est le seul parmi les membres de ma famille qui a su répondre à la question « Qu’est-ce que le Web 2.0? » Ce jeune homme a 19 ans et fait partit de la génération C. Celui-ci m’a beaucoup impressionné lorsque je lui ai posé la fameuse question. Je vais donc vous faire entendre la vidéo de Jérémie et sa façon à lui de voir le Web 2.0. De plus, il nous dira ce qu’il pense des TIC en formation professionnelle en ferblanterie/tôlerie à la formation professionnelle de la polyvalente de Jonquière à Saguenay.
Par la suite, j’ai demandé à mon garçon ce qu’il pensait du Web 2.0.
Il est en stage comme enseignant au préscolaire/primaire avec de jeunes étudiants de cinquième et sixième années à l’école Sainte-Marie Médiatrice. Certains font partie du début de la génération C.
Je voulais savoir s’il utilisait des technologies dans son enseignement au primaire. Je vais donc vous faire entendre la vidéo d’Alexandre sur les TIC au préscolaire/primaire. En plus, je vais vous proposer un lien qui devrait vous surprendre sur les nouvelles technologies dans les écoles primaires.
Ce que moi je sais sur le Web 2.0.
Au tout début, je n’avais aucune idée de ce que pouvait vouloir dire cette expression. Cependant, après avoir lu les documents et visiter les sites Internet qui nous ont été proposés par notre enseignant, je suis maintenant en mesure de vous en parler un peu plus. Pour moi, le Web 2.0 permet de tout savoir et de tout faire en un seul clic de souris, et ce, même si nous ne faisons pas partie de la génération C. Comme le dit si bien Michel Serres(2007) « Les nouvelles technologies nous ont condamnés à devenir intelligents [Mario Asselin|Ce qui fait dire au philosophe Michel Serres (2007) que « Les nouvelles technologies nous ont condamnés à devenir intelligents !»|fr] page 1. Je suis bien d’accord avec lui à ce sujet. Je clavarde sur Facebook ou sur MSN et partage des photos avec mes contacts. Je cherche de l’information sur le Web, j’écris des textes surMicrosoft Office World, et réponds à des messages instantanés. Cette partie du Web est relativement facile pour la majorité des gens de mon âge. Depuis tout récemment, j’essaie d’utiliser un outil qui fait partit du Web 2.0, soit « Twitter». J’ai bien l’intention de m’en servir jusqu’au __Web 3.0après l’avoir bien maîtrisé. Je ne savais pas que tous ces outils pouvaient faire partie du Web 2.0. Pour ma part, je considère que la facilité de faire des recherches sur les plateformes Internet m’aide de plus en plus dans mon apprentissage personnel. Si j’avais à chercher dans les livres comme par le passé, je ne pourrais sans doute pas trouver toutes ces données, dans l’immédiat.
Est-ce que le Web 2.0 va changer ma façon d’enseigner?
Comme le dit si bien mon garçon,
notre façon d’enseigner doit évoluer et c’est pour nous une nécessité de s’intégrer dans ce monde qui fonctionne autrement et qui est de plus en plus
informé.
Il conclu en disant,
que même s’il y a beaucoup d’information qui circule sur le Web, la plus part des étudiants ont besoins d’un enseignant qui contrôle et gère la bonne information. Le Web 2.0 n’intervient pas, selon lui, dans l’acte d’enseigner.
Quant à moi, je vais certainement changer ma façon d’enseigner.
Je vais sûrement m’intéresser aux nouvelles technologies, notamment « Pédagotic» un outil qui utilise une approche intéressante.
- Je vais intégrer les ordinateurs un peu plus régulièrement en classe pour créer un style d’apprentissage par découverte.
- J’utiliserai le courrier électronique qui me semble plus facile et pratique ou un blogue pour échanger de l’information avec mes étudiants.
- Je prônerai l’utilisation de sites Internet pour accéder à l’information sur un sujet relié au module.
- J’utiliserai des logiciels ou des cédéroms qui contiennent des démonstrations comme la technique d’affûtage de couteaux ou de dépeçage de pièces de boeuf.
- Je proposerai certaines expérimentation et je les accompagnerai constamment d’un ordinateur avec des graphiques ou des présentations « PowerPoint».
- Je crois que la tenue d’un journal de bord obligera les étudiants à écrire sur une base régulière.
- J’Intégrerai « Etherpad », car j’ai bien aimé la façon de travailler en équipe et je leur apprendrai à l’utiliser de façon stratégique. J’ai trouvé l’emploi de cet outil relativement facile à comprendre et surtout pratique.
Dans mon enseignement en boucherie de détail au centre de formation d’Arvida à Saguenay les étudiants qui suivront mon cours seront âgés environ de 17 à 45 ans et même plus. Au professionnel, nous accueillons des étudiants qui ont parfois été incarcérés ou possède des casiers judiciaires et des étudiants qui ont aussi beaucoup de bagage professionnels. Par contre, ils faut être conscient que certains n’ont pas la chance d’avoir de cellulaire ou même un ordinateur personnel, par manque d’argent. J’ai même vu, pendant mon stage, un jeune étudiant qui n’avait pas mangé depuis cinq jours et qui ne pouvait pas se concentrer sur son examen. J’aurai à enseigner un style d’apprentissage diversifié qui ira chercher l’intérêt des élèves et saura les motiver. Comme enseignante, je devrai intégrer différents outils en me servant des étudiants qui ont plus de facilité à manipuler ces technologies comme modèle.
La nétiquette et le plagiat.
Mme Sandra Coulombe, professeur à l’Université de Chicoutimi, nous a toujours défendu de faire du plagiat dans nos devoirs personnels. Je pense que les droits d’auteur ont toujours été respectés par la majorité de mes collègues de classe. J’en ai tout de même fait moi-même en utilisant des images sur Google. Jusqu’alors, je croyais que l’utilisation d’images était complètement différente de l’utilisation de textes. L’intégration des technologies incite parfois les étudiants au plagiat. Le « copier-coller » et la réutilisation de travaux existants est aussi une réalité à laquelle il faut porter attention. Le cours que je suis en ce moment m’a fait bien comprendre ce qu’est le plagiat ou la nétiquette sur les Blogues. Je promet, de transmettre ce que mes enseignants m’ont appris sur les droits des auteurs jusqu’à maintenant.
La générationC
En tant que parent et future enseignante, je me demande si nous ne sommes pas les principaux acteurs de ce phénomène qu’est la technologie informatique. Moi comme parent je donne à mon fils ce que je n’ai pas eu ou ce que je ne peux pas lui donner par manque de temps. Je travail 39 heures semaine et, de plus, je vais à l’université un soir semaine. Mon enfant possède tout ce que vous pouvez imaginer comme technologie informatique et communication. Mais je veux vous dire que j’autorise cette forme de technologie à condition qu’il s’entraine au moins trois fois par semaine dans le sport de son choix.
Dans mon domaine je m’assure de connaître la technologie qui nous est utile dans notre travail comme boucher. Les principaux outils sont l’emballeuse des viandes automatiques DIGI 2600 CP que je connais mieux que personne. Il y a aussi les balances manuelles au service à la clientèle et bientôt des ordinateurs seront à notre disposition dans les prochains mois. Pour tout vous dire, je suis moi-même, assez adepte de la technologie surtout lorsque j’ai pris connaissance du document ˮLa génération Cˮ je me suis comparé et je me suis vite rendu compte que je possède un cellulaire, un iPod, un ordinateur portable, un enregistreur vocal Sony, internet haute vitesse pour mes travaux et mon clavardage personnel.
Cependant, ce qui est le plus impossible à concilier avec cette génération et moi, ce sera de parler le même langage, mon savoir-faire et mon savoir être. Il faudra que j’insiste pour m’adapter encore plus pour obtenir un certain degré de connaissances sur cette génération de TI. Dans mon domaine les gens que je côtoie n’ont pas la même scolarité que moi à ce jour, parce qu’il n’en possède pratiquement pas et souvent ils ont une simple équivalence du secondaire V. Je discute à l’occasion avec cette nouvelle génération et je suis certaine qu’ils pourraient nous apprendre à nous les itinérants comment fonctionne la nouvelle technologie en entreprise. Je trouve personnellement que l’alimentation ne se développe pas aussi rapidement que je voudrais. Dans notre super marché nous avons une nouvelle technologie qui sont les caisses libre service. Dès l’ouverture du magasin, ces caisses ne faisait pas l’hunanimité mais maintenant elle ne dérougissent plus. La génération C s’en est occupé.
J’ai acquis plusieurs types d’apprentissage en faisant mon BAC qui me permet d’enseigner et d’adapter mon enseignement pour qu’elle soit le plus diversifiée possible et qu’elle soit plus actuelle pour la présente génération. Comment pourrais-je mieux adapter mon apprentissage? Je pense que j’ai une façon particulière de changer facilement mes méthodes si elles ne correspondent pas à un certain niveau. J’ai quand même une certaine facilité à maitriser les appareils numériques. Je vais sûrement m’intégrer dans leur monde en leur inculquant mes propres valeurs. Je sais que comme future enseignante je serai celle qui guidera les nouveaux apprenants tout en m’assurant qu’ils collaborent entre eux et surtout qu’ils intègrent le mot respect qui me semble être la base d’une classe
. J’ai pris l’image sur google et elle appartient à(méditations.centerblog.net)
Je me présente.
Mon nom est Marie-Paule Tremblay, je travaille chez IGA extra Carole Bergeron. Je suis Bouchère et préposée au service à la clientèle depuis bientôt 25 ans.
Le poste que j’occupe ne me permet pas pour l’instant de travailler sur les ordinateurs. J’ai tout de même fait un stage à l’automne dernier et cela m’a permis de voir d’autres outils qui devront m’aider dans un avenir prochain. Pour l’instant, mes connaissances se limitent aux travaux que je fais sur Word pour l’Université. Je considère que mes connaissances sont acceptables pour les besoins immédiats, mais pas pour demain. Je me donne une note de 6 sur 10 sur mes savoirs et ma facilité d’apprendre au niveau des techniques, information et communication avec le cours que j’ai suivi précédemment sur moodle avec Mme Sandra Coulombe. Je me suis familiarisé avec le forum de discussions qui m’a amenée à me surpasser au niveau de mes propres valeurs en préfèrent de loin l’interaction avec l’ensemble des gens de ma classe. Ce cours se limitait cependant à une discussion sur le web ce qui m’a plutôt projeté vers d’autres options intéressantes dans mes futurs apprentissage. Si je me compare avec la majorité des gens avec qui je travaille, je trouve assez respectable la façon donc je me débrouille sur le net. Le blogue est une nouvelle avenue pour moi et j’ai bien l’intention d’apprendre et d’avoir un bon esprit critique à la toute fin de ce cours.