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Ma boite à outils

Comment ne pas parler des technologies informatiques lorsque l’objectif de mes études se définit comme étant un futur enseignant en support informatique. Dès le début du cours j’avais ma petite idée quant à l’intégration des outils à mon futur enseignement… Mais j’avais l’esprit ouvert, pour parfaire la façon dont je vois mon emploi dans un ou deux ans, quitte à abandonner des concepts que je voyais comme implantés et inébranlables.

1. Un outil préalable aux néophytes :

Parmi les outils que j’utilisais régulièrement il y a nécessairement le site très complet de « Comment ça marche? ». Évidemment, lorsque j’ai discuté avec un de mes anciens professeurs, M. Antonin Tremblay, qui m’avait dirigé durant mon projet final lors de mon Bacc. En Informatique de gestion, il faut que l’étudiant ait une base en informatique pour l’utiliser. Lui-même l’ayant utilisé dans plusieurs cours, me racontait que lorsque les étudiants avaient une notion de base par rapport au Web, ceux-ci étaient en mesure de se débrouiller adéquatement lors du cours en intégration aux nouvelles technologies. Ce site procurait aux étudiants une certaine autonomie par rapport au concept d’informatique matériel. Par la suite, le concept logiciel ne posait plus de problèmes car le développement des étudiants, leur valorisation personnelle, leur permettait de reconnaître le comportement d’un ordinateur à la suite d’une installation matérielle ou logicielle, se rendre compte d’une erreur système anormale, etc. C’est un outil très puissant lorsqu’il est enseigné adéquatement.

Comment ça marche :

2. Un choix lié au libre-arbitre :

Les logiciels libres! Une découverte qui mérite d’être montrée au monde entier! Par rapport à l’enseignement, ces logiciels servent à comparer les outils existants payants, et être conscient par la suite de la puissance des alternatives. Le monde ne tourne pas autour de Microsoft ou Adobe, contrairement à ce que plusieurs peuvent penser. Les étudiants pourront aussi par la suite étudier le fonctionnement de tous ces logiciels, en y étudiant la structure et la nature de leur programmation… Un décompilateur, ou tout simplement un téléchargement du code source peut être un outil extrêmement utile pour former de futurs programmeurs!

Framasoft

3. De la documentation en tenant compte de la désinformation :

Bien que plusieurs ne cherchent de l’information que par l’intermédiaire de Google, bien nombreux sont ceux qui recherchent leurs réponses à leurs questions sur le Wiki. Depuis trois ans, les concepteurs ont permis à leurs utilisateurs de certifier l’information qui s’y retrouve. En d’autres termes, nous pouvons vérifier si la source de nos recherches est bel et bien véridique et non critique. Un outil à utiliser à toutes les sauces!

Wikipédia

4. Orgueilleux? Moi? noooOOon.. :

Patrick a été un des instigateurs menant à ma réconciliation avec le système d’exploitation Linux. Plus facile à manipuler que les versions sorties en 2002, la compagnie à l’origine de Linux Ubuntu a réussi à me faire prendre conscience des grandes qualités de ce système, et l’importance de l’enseigner aux futurs informaticiens. L’installation de Windows étant maintenant une tâche simple à effectuer, Linux peut se vanter de ne pas installer de petits logiciels ou applications qu’on ne veut pas nécessairement se doter. J’ai donc, malgré moi, installé ce système sur ma console Playstation3, laquelle, en date du premier avril, ne permet plus cette option, malheureusement (pour une supposée faille de sécurité). Nous étions 3 informaticiens pendant l’installation, très compliquée pour commencer, mais tellement valorisante par la suite. Une expérience que j’aimerais soumettre à n’importe quel de mes futurs étudiants!


Linux Ubuntu (version PC)

5. Windows 7 :

Une révolution informatique est née, bien qu’elle soit issue de Microsoft! De la sécurité jusqu’à la facilité d’utilisation, une interface Vista avec le noyau de Windows XP. Mon coup de cœur de cette année va à ce nouveau système d’exploitation qui mérite… hé oui… une main d’applaudissement, même de ceux qui se ruent contre Microsoft. De plus, la mise à jour ne coute que 150 dollars!

Le lien vers cet ouvrage

Pascal Fortin

Des liens qui pourraient faire une différence dans votre BACC

La langue française est très importante pour moi… je n’ai jamais eu de difficultés à produire des compositions ou à corriger des textes…(bien que souvent je fais des fautes de frappe….)

Cet hiver, mon petit cousin qui est en secondaire un, m’a demandé de l’aide pour augmenter sa moyenne en français…
J’ai donc accepté de lui donner certains trucs pour l’aider à se poser des questions à propos de ses participes passés, présents, terminaisons, etc.
Donc j’ai décidé de fouiller le web pour trouver des outils, pour l’aider, et par le fait même, m’aider à perfectionner mon français.

Après 4 mois de cours privés, il a augmenté sa moyenne de 20% (de 52% à 77%), et a obtenu un méritas pour avoir fait autant de progrès…
Je ne me considère pas vraiment comme un bon professeur, car je ne possède aucune expérience dans ce domaine, mais j’ai décidé de vous faire
part des sites qui m’ont aidé à parfaire ma langue. Certains sont enfantins, certains couvrent la matière jusqu’au Cégep.

Bien à vous d’utiliser ces liens, mais je vous les recommande grandement!!!

Un site qui touche tous les aspects de l’orthographe SITE 1

Un site où l’apprenant peut « jouer » avec ses connaissances

Soyez au courant des nouvelles technologies sans fouiller de long et en large

Voici un site qui résume la quasi-totalité des nouvelles technologiques!!

Avertissement!!! ce site est Français, alors les prix sont représentés en euros… J’ai consulté ce site (version américaine) pendant plusieurs années, et maintenant la version française est aussi documentée que celle des États-Unis.

Tom’s Hardware
tomshardware
Bonne Lecture!!!!

L’identité numérique, un aspect à ne pas prendre à la légère..

Vous vous inscrivez à un service Internet, Vidéotron, Bell, peu importe. Vous configurez votre acompte avec votre ordinateur personnel. Première utilisation, votre identité numérique est enregistrée. Premier contact avec Internet, votre adresse I.P. (comparable à une adresse civique dans une ville ) est publiée en ligne, votre fournisseur est identifié et publié à tous ceux qui veulent plus ou moins se renseigner sur vous, votre ordinateur, ou vos vulnérabilités du système d’exploitation que vous utilisez… Vous n’avez pas encore ouvert votre fureteur préféré ni même ouvert votre service courriel préféré.

Si votre pare-feu n’est pas ouvert, chaque personne malveillante peut identifier si vous utilisez Internet Explorer, Firefox, ou Opera, si vous avez ouvert un port pour envoyer un courriel via Outlook Express. Bon, cet aspect fait peur, mais je compare un peu cela à un voleur potentiel qui a déjà noté votre adresse, votre rue, votre ville, vérifié si vos portes sont barrées, quels véhicules vous utilisez… jusqu’à ce qu’il obtienne de plus amples informations…

Vous vous inscrivez à Facebook, vous fournissez votre nom, votre âge, votre courriel, des informations utiles pour vous, pour faire des rencontres à première vue, mais pour d’autres, ce sont des informations bonbon. Ensuite vous vous connectez à MSN, pour parler avec d’autres utilisateurs, et vous acceptez une photo rigolote, qui est en fait un virus, une porte pour rentrer dans votre maison…

Ensuite, une fois rentré à l’intérieur, il publie l’information à tous ceux qui veulent participer au « open house », pour utiliser votre bande passante, voler vos photos personnelles, informations bancaires, et même installer un logiciel pour contrôler votre ordinateur à distance, histoire de vous faire paniquer, ou d’enregistrer vos mots de passe, vos acomptes Hotmail, bref votre identité numérique.

Tout ça pour vous dire que vous n’êtes jamais à l’abri des dangers présents sur le Web…

Voici des trucs gratuits pour minimiser les dommages, et ce, en fournissant des exemples ressemblant à des outils de la vie courante.

Vérifier ce qu’on vous envoie par courriel en communiquant avec l’émetteur, même chose pour les liens MSN.

Faire preuve de vigilance, être TOUT le temps sur vos gardes.

Un Pare-feu, équivalent à une grosse clôture avec un cadenas autour de votre maison, de cette manière vous pourrez surveiller ceux qui rentrent ou sortent de votre cour.
Sygate (n’utilisez pas le pare-feu de Windows, c’est comme s’installer une clôture en carton…)

Un bon anti-virus autre que ceux connus, comme Norton ou Mcafee, ceux-ci sont effectifs que lorsque les voleurs sont entrés dans la maison, ou si vous engagiez un étudiant pour garder la porte de votre demeure, laisse entrer l’intrus, et crie à tous « hé la gang y’a un voleur qui est entré dans maison faites attention », puis s’endort sur son chiffre.
AVG
Panda

Utiliser un bon fureteur internet tel que Firefox ou Opera.

Firefox
Opera

Mais le principal dépend de vous… Votre bon jugement!!!

Évolution personnelle: de la programmation COBOL au Web 2.0.

Je me rappelle en 1995, durant mes années au CÉGEP, l’explosion du World Wide Web : On y avait installé une vingtaine d’ordinateurs avec un accès à Internet basse vitesse, une imprimante, et nous nous battions pour avoir une place pour visualiser ce qu’était cet inconnu qu’est Internet. Une foule d’information, des sites Web à moitié finalisés, des informations quasi-inutiles, des photos ici et là, etc. La structure du Web était là, mais les internautes étaient livrés à eux-mêmes, sans outils interactifs (à part peut-être Yahoo ou Webcrawler), forcés de concevoir des sites a l’aide du bloc-notes et quelques notions de base de html : Si par chance, un site nous intéressait plus qu’un autre, c’était une animation Java, une liste de données ou la possibilité de sauvegarder un fichier sonore .wav, extrait d’une chanson, et on stockait tout ça sur une bonne vieille disquette 3 pouces et demi… Et cela si le navigateur Netscape ne décidait pas de faire une opération non-conforme, et perdre le fil de nos recherches. Le « chat » avec Mirc était interdit, pour ne pas embourber les ordinateurs pour rien : Des couples pouvaient désormais se former en ligne, ou se séparer… Bref, c’était une grosse poubelle avec 90% de désinformation, le Web 1.0.

L’année d’après, le « gros fun » arrivait. Windows 95 était désormais livré avec Internet Explorer, broché avec le système d’exploitation : Le début de la fin pour Netscape… ICQ (I Seek You), un ancêtre logique de Msn Messenger, avec lequel on pouvait communiquer avec une foule de contacts, voir quelles personnes étaient connectées, etc. Une sorte de Mirc privé, qui pour Microsoft, s’est avéré un tremplin pour Msn Messenger, pourtant moins attrayant, mais ayant la possibilité de passer d’un ordinateur à l’autre en gardant les contacts : Ceux-ci étaient sauvegardés sur un serveur externe… On peut dire que c’était le commencement du Web 2.0… L’année d’après, j’achetais mon modem câble blanc, trop épais pour la ligue, pour 500 dollars : Ça allait vite… mais le même contenu vide de sens… mais ça allait vite…

C’était inévitable, on devait renouveler ce fouillis d’informations pour attirer plus de personnes, pour leur faciliter la tâche, pour établir un univers plus charismatique. On dira ce qu’on voudra, le Web est de plus en plus esthétique. Les pages Web personnelles sont peut-être aussi vides de sens, mais les outils fournis rendent le tout acceptable. N’importe qui peut contribuer à la construction de la toile avec des outils faciles à utiliser, et ne rien connaître du codage Html, pourtant encore très présent à l’arrière plan de n’importe quelle page Web.

Le Web 2.0 est tout simplement brillant pour la plupart des facettes : L’interactivité y est toujours présente, les informations sont constamment mises à jour, et l’intégration pour l’enseignement est fantastique.

J’ai découvert récemment de nombreux outils du Web 2.0 : D’abord dans le cadre du cours, j’ai appris à me servir des liens RSS, chose à laquelle je ne peux plus me passer… Mes nouvelles du matin sont regroupées dans mon navigateur et dans mon compte Gmail automatiquement. Par la suite, je ne connaissais pas EtherPad, mais personnellement, j’aime mieux travailler avec Google Docs, outil que j’ai expérimenté dans un cours précédent : Même principe que EtherPad, moins compliqué, et plus sécurisé car il nécessite un mot de passe pour avoir accès à une session. J’utilise aussi Slax, un système d’exploitation que je peux utiliser à partir d’une clé USB ou en s’enregistrant sur le site du développeur : pour plus d’informations http://www.slax.org/.

L’utilisation d’un blog peut s’avérer très intéressant pour partager des points de vue, que ce soit pour l’enseignement, ou des sujets généraux. Personnellement, l’utilisation d’un Wiki me satisfait amplement : Plusieurs personnes peuvent commenter sur la façon de monter un cours, de créer un contrat disciplinaire, une liste de tâches, etc. Tout le monde peut y participer et le modifier à sa guise, et on peut par la suite l’officialiser pour permettre à d’autres personnes d’appliquer différents concepts. Un travail commun, propre et sans confusion : EtherPad peut s’avérer énervant au bout de 10 minutes (personnellement j’ai « pogné les nerfs » durant la présentation du site durant le cours).

Pour ma part, le côté négatif de la chose, selon moi, c’est le microblogage, le cyber-potinage qu’est Twitter : Je n’y vois aucune fonction pédagogique pertinente. C’est, selon moi, comparable à Mirc…

Honteusement, j’aime bien le principe de Facebook car j’ai retrouvé de nombreux amis avec qui j’avais perdu contact, mais si j’ai encore une invitation à Farmville, je risque de devenir adepte du groupe « Encore une invitation a Farmville et je brûle ta ferme et égorge tes vaches » …

Pour finir, la balladodiffusion est un outil très intéressant pour l’enseignement : Enregistrer ses cours et les publier sur le Web, ce serait une idée géniale pour partager de l’information avec ses étudiants, pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer ou pour réviser, tout simplement.

Nouvel outil qui permettera aux « C » de s’abrutir un peu plus… ou d’enrichir leurs connaissances.

Mathieu Turbide
28/01/2010 09h55 (Journal de Montréal)

Apple réussira-t-elle à révolutionner le monde de l’informatique de consommation avec son tout nouveau iPad, comme elle l’a fait avec son iPod et son iPhone? Les experts restent sceptiques, mais comme à chaque fois, le nouveau gadget d’Apple suscite l’admiration.

Le iPad est une sorte de iPhone grand format, avec un écran tactile de 9,7 pouces.

On peut surfer le web, visionner des photos et des vidéos, lire des livres (que l’on peut acheter en ligne), écouter de la musique, écrire des textes, organiser son agenda et jouer à des jeux vidéos.

Évidemment, ce n’est qu’un début puisque, comme pour le iPhone, Apple espère que des milliers de logiciels seront développés par des tiers. Tous les logiciels qui fonctionnent sur le iPhone peuvent d’ailleurs être utilisés sur le iPad.

La tablette informatique présentée par le patron d’Apple, Steve Jobs, sera disponible dans deux mois aux États-Unis, en plusieurs versions. La moins chère (avec 16 Go de mémoire) se vendra 499$US et la plus chère (avec 64 Go de mémoire et une connexion Internet 3G) se détaillera à 829$ US.

L’outil parfait pour un étudiant

Selon Michel Dumais, journaliste et blogueur spécialisé en technologie, le iPad pourrait être un outil très utile pour les étudiants.

«Je pense au domaine de l’éducation, dit-il. Imaginez un tel appareil entre les mains d’un jeune enfant. À chaque année, vous avez tous vos livres mis à jour. En plus, on y trouve des outils de création, pour moins cher qu’un ordinateur portable.»

Si on spécule beaucoup à l’idée que les médias comptent sur la tablette électronique pour se réinventer, Michel Dumais y croit peu. «Alors que vous avez tout gratuitement sur Internet, paieriez-vous 800$ et un abonnement pour la même chose?»

«Je pense beaucoup au livre électronique, poursuit-il. Là, Apple a la capacité de vendre du contenu avec sa boutique iTunes.»

La firme d’analystes Piper Jaffray estime qu’Apple pourrait vendre 4 millions de iPad, en 2010, et aller chercher des revenus de 4,6 milliards $ avec cet ordinateur dès 2011. La firme a revu à la hausse ses prévisions en apprenant que le prix de base du iPad serait de seulement 499$.

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Une bibliothèque en ligne

Le iPad permet d’acheter des livres électroniques en ligne. Le logiciel pour les lire, iBooks, est en couleurs et donne l’impression de tourner véritablement les pages.

Un clavier virtuel

Pour taper du texte, un clavier virtuel apparaît sur l’écran. Apple soutient que son écran «multi-touch» est très performant. Un clavier portatif peut aussi être branché au iPad.

Vidéos, photos et jeux

Le iPad permet de visionner des films (téléchargés en ligne), des photos et des vidéos. Il est compatible avec les milliers de jeux vidéos déjà disponibles pour le iPhone.

Un agenda

Apple a ajusté ses logiciels de calendrier et de carnets d’adresses pour profiter pleinement de l’écran de 9,7 pouces. Tout son contenu se synchronise avec un ordinateur.

Logiciels de travail

Apple a adapté sa suite de logiciels iWork au iPad. On peut donc utiliser le traitement de texte, le tabulateur et le logiciel de présentation en toute convivialité.

http://www.canoe.com/techno/nouvell…

La génération C: point de vue d’un non-enseignant.

Bonjour groupe.

Le fait du retard de ce commentaire sur le blog est que je suis non-enseignant, et de plus je me sentais un peu de trop par rapport à la conversation…

Bref, je résumerai ce billet sur mes expériences par rapport à mon ancien travail, vu que la vente de lecteurs mp3, ipods, etc. concerne la génération C, pour
la plupart. Je ferai un lien avec la vente de GPS qui, de plus, était un des grands vendeurs….

La génération C selon moi recherche la facilité. Bien qu’ils soient plusieurs à surfer sur le web, la plupart ne vont jamais en profondeur… je m’explique:

Un lecteur mp3 consiste à télécharger des chansons sur l’appareil… pourtant, 60% des jeunes à qui j’en vendais un me téléphonait à peine 2 heures apres
l’achat, « où sont mes mp3 sur mon ordinateur?, qu’est-ce que je fais pour ouvrir mon lecteur?, comment j’active la radio? »… toutes ces actions simples pour moi
se retrouvaient très compliquées pour les jeunes, pourtant habitués de travailler avec un ordinateur. La plupart se servent de Google, téléchargent des chansons sur Kazaa, sans se préoccuper du répertoire où vont leurs téléchargements: Tant que Windows Media Player les trouve, aucun problème… pourtant
lorsqu’on fouille un peu, on se rend compte qu’un lecteur mp3 est exactement la réplique d’une clé USB, tant que l’on sait où vont nos fichiers…

Deuxième exemple: les IPODs ne sont pas conventionnels, le lecteur utilise un logiciel téléchargeable, et la marche à suivre est clairement indiquée dans le livre d’instructions. Pourtant, 80% d’entre eux, n’avaient pas fourni l’effort de se renseigner, et la plupart n’avaient pas lu le livre d’instructions. De ce fait, la moitié d’entre eux revenaient en magasin pour que je leur explique le fonctionnement du logiciel!!! Et je ne mentionne pas le nombre de ceux-ci qui croyaient que leur IPOD était brisé, alors que la marche à suivre dans l’emballage explique clairement comment remettre l’engin à zéro…

Conclusion avec les autres générations via mon explication avec les GPS. La génération plus agée, soit X, Y, et baby-boom, non-habitués aux nouvelles technologies, insistaient avant de partir, de connaître les fonctions de base, et plus encore, me demandaient de leur expliquer comment effectuer une mise à jour sur Internet. Ceux-ci prenaient en note chaque étape que j’effectuais sur l’ordinateur, pour être en mesure d’utiliser leur engin de la meilleure façon possible. Je me suis surpris une journée, à faire une démonstration sur un ordinateur à quatre de mes clients en même temps!!!

en conclusion, la génération C cherche la facilité, se débarasse, ils ne prennent pas le temps de comprendre, ils négocient la technologie comme des robots, comme si la technologie avait toujours existé… Les plus vieux voudraient en savoir autant que la génération C, pour parfaire leur savoir, mais sont pour la plupart non-initiés, et sont méfiants des nouvelles technologies.

Bref, c’est mon expérience des nouvelles technologies VS les acheteurs.

Pascal

Mon billet de dernière minute!!!

Bonjour je me présente, mon nom est Pascal Fortin et je possède un BACC en informatique de gestion à l’Université de Chicoutimi. J’ai toujours été en contact avec les technologies de l’informatique, que ce soit pour la programmation (C++, java, COBOL, jsp, assembleur, etc.) , les systèmes d’exploitation (dos, Windows, Linux, SunOS). J’ai travaillé dans le domaine technique un bon bout de temps, chose à laquelle j’ai attribué le plus d’intérêt, modifier physiquement les ordinateurs, mettre à jour les composantes, etc. J’ai ensuite travaillé 7 ans dans la vente au détail pour une quincaillerie pour ensuite dériver vers un magasin d’électronique à grande surface, où j’ai touché à toutes les technologies disponibles, et expérimenté la plupart des postes incluant gérant des ventes. Je suis en 2ieme année au BACC en enseignement professionnel et je souhaite un jour enseigner la vente conseil et le support informatique.

Merci

Pascal

charrue

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