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Les logiciels libres (billet libre 2)

Un logiciel libre est un logiciel garantissant un certain nombre de liberté pour ses utilisateurs. Imaginons que vous vous trouvez dans un restaurant et que vous mangez un excellent plat. Peut-être aurez-vous l’envie de pouvoir le cuisiner chez vous pour vos amis ? C’est impossible si vous n’avez pas la recette du plat. Vous pouvez toujours le manger dans le restaurant, mais même si vous connaissez le goût, vous ne savez comment le reproduire. La liberté d’échanger des recettes de cuisine sont essentielle pour les cuisiniers comme pour les simples gourmets. En informatique, il en va de même pour un logiciel. La plupart des logiciels dits logiciels propriétaires sont distribués sans leur code source et il est interdit d’essayer de comprendre leur fonctionnement, de les partager avec vos amis ou d’essayer de les modifier pour les adapter à vos besoins.Au contraire, un logiciel libre vous garantit quatre niveaux de libertés :

Utilisation : la liberté d’utiliser/exécuter le logiciel pour quelque usage que ce soit.
Étude: La liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et de l’adapter à vos besoins.
Redistribution : La liberté de redistribuer des copie.
Modification : La liberté d’amiliorer le programme, et de rendre publique vos amiliorations de telle sorte que la communauté tout entière en bonifie.

Ce sont des libertés fondamentales à l’utilisation de l’informatique,la création et au partage des informations. Les logiciels libres sont avant tout porteurs de liberté de partage et d’accès à la connaissance.
Elles sont bien sur essentielles aux informaticiens, mais aussi aux utilisateurs, auxquels elles fournissent une maîtrise des outils et des informations, en empèchant toute dépendance permanente vis-à-vis d’un quelconque éditeur de logiciels. Notons que le terme logiciel libre vient de l’anglais Free Software (ou free s’entend dans le sens de free speech (libre expression) et non pas free beer (gratuit). Logiciel libre ne signifie pas « non commercial » ou gratuit. Un logiciel libre doit être disponible pour un usage commercial. Le logiciel libre s’oppose au logiciel propriétaire qui n’offre pas les « quatre libertés ». « Commercial » et « propriétaire » ne sont donc pas synonymes : si la plupart des logiciels commerciaux sont propriétaires, il en existe aussi des libres ; il existe de même des logiciels non-commerciaux libres et d’autres non-libres. Un logiciel libre protège la liberté des utilisateurs. À l’opposé, toutes les autres formes de distribution posent des problèmes en matière de liberté pour les utilisateurs. Voici quelques exemples de ces formes de distribution qu’il ne faut pas confondre avec le logiciel libre : Un « freeware » (logiciel gratuit ou graticiel), contrairement au  » free software « , indique simplement que le logiciel fourni est gratuit, indépendamment de sa licence d’utilisation. Dans certains cas, ce sont des logiciels du domaine public. Le code source du programme n’est pas disponible, ce qui interdit, par exemple de corriger des bugs ou d’effectuer des améliorations ; Un « shareware » (partagiciel) est un logiciel dont l’auteur demande aux utilisateurs réguliers de son programme une contribution volontaire. La rediffusion ou la modification d’un tel programme n’est pas autorisé ; Un logiciel du domaine public n’est plus soumis au droit d’auteur. Si le code source est dans le domaine public, c’est un logiciel libre, mais très souvent le code source n’est pas disponible (seul le code binaire est disponible). Dans ce cas, ce n’est pas un logiciel libre. Parfois, on utilise le terme « domaine public » d’une façon peu précise pour dire « libre » ou « disponible gratuitement ». Toutefois, « domaine public » est un terme légal qui signifie précisément que le logiciel n’est pas « soumis au droit d’auteur ».

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Par: s bérubé

Les bons côtés des vidéos et l’apprentissage. (Billet libre 1)

Dans le cour du 29 mars, nous parlions de la vidéo de présentation pour de la formation. Beaucoup de vidéo fait partie de notre enseignement dans divers modules. Par ces petits Vidéo nous pouvons leur montrer des facettes concrètes d’une pièce de métal, par exemple. Dans le module « Liens avec le produit» nous utilisons la série «Comment c’est fait», clip vidéo de divers produits fabriqués ici au Québec en générale. Cette émission de télévision passe à canal Z et elle est animée par Jean-Luc Brassard. Très intéressant et très constructif pour les élèves. Nous parlions aussi de film pour nous évaluer personnellement lord d’une entrevue. Actuellement, dans le cadre de recherche dynamique d’emploi nous simulons une entrevue avec les participants et ensuite nous regardons cette vidéo et nous discutons des bons et mauvais points de vues de l’entrevue. Ainsi, nous préparons les participants à une éventuelle entrevue.

L’objectif principal, est de fournir aux adultes les informations et outils nécessaires pour éclairer les jeunes sur la manière dont les médias fonctionnent et affectent leur façon de vivre et leur faire mesurer jusqu’à quel point ils sont bien informés, en tant que citoyens et consommateurs.

Il existe plusieurs sites Internet pour informer nos élèves du bon côté des jeux vidéo. En jouant aux jeux vidéo, l’élève développe certaines compétences qui lui permettent de mieux fonctionner en société. Parmi les avantages des jeux vidéo de bonne qualité, on peut souligner qu’ils fournissent une forme sociale et amusante de divertissement et D’apprentissage.


Depuis quelque temps j’écoute les chroniques et conseils technos sur le Web de François Charron, dans le cadre de l’émission (Salut Bonjour) diffuser tous les matins de semaine. En portant attention, je reconnais plusieurs sites que nous voyons pendant nos cours à l’université. Twitter, Yahoo, euréka etc. De plus nous avons la possibilité de découvrir des outils Web qui nous permet de créer un site Internet au look professionnel et en cinq étapes sans connaître la programmation. Choisissez parmi les 150 looks, éditez vos textes et intégrez des blogues, forum, compteur, ouverture en Flash, etc. Parfait pour votre page personnalisé.Beaucoup de petits trucs et de nouveauté à découvrir sur ce site.

Par S Bérubé

Les contenus numériques et l’enseignement d’aujourd’hui.

Nous retrouvons plusieurs sortes de contenus numériques utiles pour notre enseignement. Denis Lamontagne nous en cites beaucoup dans son texte. Il y va de photographies, des vidéos, des communautés d’entraide et d’apprentissage et même des simulateurs-jeux. Les utilisations pédagogiques sont multiples ce sont des ressources accessibles et ces documents peuvent être exploités dans un contexte éducatif. (ex. travaux de recherchent et devoirs). Youtube L’intégration et la réutilisation de produits de formation sont, dans les faits, une pratique marginale. La plupart des professeurs et même des institutions ne réutilisent essentiellement que leur propre production et encore, dans de très faibles proportions. Les rares entités qui font de l’intégration de produits dans un ordre de grandeur estimable, l’effectuent dans des conditions contrôlées et dans des limites strictes. Lamontagne, Denis La diffusion et la réutilisation des contenus numériques. Généralement, les efforts à fournir (identification, évaluation, traitement, connexion, traduction, adaptation, etc.) pour intégrer une partie substantielle d’une ressource d’apprentissage provenant d’une autre source dépassent les efforts nécessaires pour en produire une originale, adéquate et opérationnelle. Dans ce contexte, la question de la réutilisation ne se pose même pas. • Les citations, textes, chapitres de livres, que chacun peut traiter et reformater sur les logiciels courants et copier directement; • Les vidéos déposés sur des sites publics, qu’il est facile d’insérer (embed) sur un site, un cours ou un blogue; • Les images, photos, graphes, déposés sur des sites publics tels Picasa, Flickr ou provenant de d’autres sources et que la plupart des individus peuvent traiter rapidement et facilement; • Les extrais sonores déposés sur des sites publics, qu’il est facile d’intégrer par un simple lien; • Les pages Web ou fichiers en ligne que l’on réfère par simple lien URL, insertion (embed) ou redirection via un site de citation permanente comme WebCite1 • Les logiciels, appliquettes (applets java ou Flash) et autres services Web tels les aggrégateurs de fils RSS, de sites et de résultats d’engins de veille, les caméras Web, les cartes de positionnement, les textes ou chiffriers partageables en temps réel, etc… que l’on réfère par lien. Lamontagne, Denis La diffusion et la réutilisation des contenus numériques. Généralement tous ces objets d’apprentissages sont accessibles et gratuits sur le Web et ils peuvent être utilisés à des fins pédagogiques. C’est à nous, comme enseignant de les Découvrir, de les apprendre et de se familiariser avec ces sites pour pouvoir les adapter Dans nos formations. Malheureusement plusieurs de ces sites sont en anglais, donc, l’accès Du contenu est plus difficile pour la pratique professionnelle.

Mon identité numérique face au Web.

Lorsque j’ai commencé mes recherches pour mon billet sur (mon identité numérique sur le Web) parmi les lectures proposées par M. Giroux. J’ai tout d’abord visité quelques liens et mon choix s’est arrêté sur la présentation de Jocelyne Bourque intitulée. «[Toi sur le Web: Ton identité numérique». Dans cette courte vidéo Mme Bourque nous énumère les bons côtés et les pièges présents lorsque l’on navigue sur différents sites Web. Nous laissons des traces partout en ligne, belle occasion pour les spéculateurs de frauder à notre insu. Peu importe le site de partage que nous utilisons, que ce soit Facebook, Youtube, Twitter et même sur nos courriels, nous laissons des traces. Ces traces sont permanentes et l’anonymat ne nous appartiens plus. D’un autre point de vue, elle dit que,
Les sites Web sont navigables sans problème lorsque ces informations sont bien utilisées et bien divulguées. Plusieurs personnalités s’affichent sur le Web. Les explorateurs du Web parus dans «identité numérique, mais comment s’y prendre», nous démontrent que les sites Web sont quand même sûrs et sans danger quand les informations sont bien présentées. Dans ce lien, d’autres petites vidéos sont intéressantes à visionner. (ex. Fadhila Brahadi, Nicolas Pérez, Nicolas, Sylvander, etc.). À nous d’y contribuer sagement et de protéger notre identité numérique, car cela peut venir nous hanter ultérieurement.

La plupart des élèves ne sont pas sensibilisés et conscients des dangers que leur identité numérique puisse naviguer librement sur les sites Web. Notre devoir comme enseignant est de veiller à faire circuler de l’information à cet effet, mais, pour donner de l’information sur l’identité numérique à travers les sites Web, nous devons d’abord aller chercher cette information. Soit par l’entremise d’une formation par un enseignant, comme nous faisons présentement par l’apprentissage pédagogique des TIC, ou par l’information direct en visualisant les liens des sites Internet spécifique. Ensuite nous allons pouvoir mettre en pratique cette information. Le facteur le plus redoutable restera toujours le même, soit le facteur (temps). La technologie Internet est beaucoup plus rapide que l’apprentissage de nos élèves. Même nos formations en général ne sont plus adéquates face à cette situation.

En ce qui concerne mon identité numérique comme enseignant je ne suis pas sûr à
100% que certaines informations ne sont pas rendues accessibles sur le Web. Je fais attention de ne pas divulguer des choses confidentielles à mon sujet, mais, qui sait , des élèves mécontents, des contacts avec qui je (clavarde) et même des confrères de travail, sans se rendre compte peuvent divulguer des informations de mon identité numérique. Une fois ces informations rendues accessibles sur le (net), elles sont à la merci de tous les internautes mal intentionnés. Personnellement je navigue sur des sites connus. Je ne suis pas un internaute chevronné. Premièrement, pour l’instant, je manque de temps pour aller naviguer sur le Web et visualiser tous les nouveaux sites que nous fait découvrir notre enseignant Patrick. Je travail présentement sur un projet pilote en enseignement en usine et ce projet me demande beaucoup de temps pour la préparation et la mise à jour de différents dossiers. Ce projet pilote se terminera à la fin juin 2010. Après cette date !!!!! Donc, mon identité numérique peut dormir tranquille jusque là.

Le Web 2.0 versus mon processus de formation

En ce qui me concerne, naviguer sur le Web est tout nouveau. Les sites internet que nous consultons sont fascinants et nous permettent d’en découvrir davantage comme, par exemple, connaître leurs fonctions, leurs rôles, liens et comment voyager d’un site à l’autre. Il est intéressant de percevoir d’autres cultures du bout des doigts et de pouvoir faire le tour du monde sans même quitter le confort de son salon. Il m’est impossible pour l’instant de tout voir et tout retenir les chemins pour naviguer, mais je suis quand même le fils de la présentation de ces sites. Ma maîtrise des TIC et de l’ordinateur portable n’est pas encore parfaite, cependant, c’est avec le temps et de la pratique que j’y parviendrai. En tant qu’apprenant, c’est la première fois que je suis une formation sous forme de vidéoconférence et j’aime bien cette procédure. Il favorise le contact entre l’étudiant et le professeur tout en réduisant les déplacements. Par contre, lorsque les gens parlent beaucoup entre eux et que le son n’est déjà pas très clair, la compréhension se fait plutôt difficile et nous manquons certains commentaires de l’intervenant.

Dans mon enseignement quotidien, le Web 2.0 m’apporte beaucoup de possibilités d’entreprendre diverses méthodes de travail et m’amène à un changement de culture dans ma façon d’utiliser et de diffuser ma formation. Par exemple, au lieu de faire réflexion écrite individuelle sur la perception en regard du métier, il suffit d’aller sur le site www.etherpad afin d’échanger en groupe vos opinions sur la formation. Ce service est plus interactif et permettrait de perfectionner, en même temps, le module « utilisation d’un poste de travail informatisé » considérant que j’ai la possibilité de travailler avec de petits groupes (4 à 6 personnes) par module. Il y a aussi d’autres sites qui pourraient s’ajouter, mais, malheureusement, notre centre de formation n’est pas tout à fait adapté à ce changement technologique et la connaissance de ce mode d’enseignement, n’étant pas connue en général, freine l’évolution du Web 2.0. Nous disions dans certains billets auparavant que la génération C était en avance sur la technologie informatique. Erreur! C’est nous, la génération X, qui sommes un peu en retard sur la façon de naviguer à travers la multitude de sites Web. L’inconnu de ces sites et le manque de temps sont les 2 facteurs majeurs du développement de cette technologie pour améliorer la qualité de notre enseignement en formation professionnelle et ainsi qu’en enseignement général.

Au cours des dernières années, l’évolution d’internet nous a ouvert plusieurs portes sur le monde. Les iPod, le téléphone cellulaire, l’ordinateur portable, YouTube, Facebook, etc. sont tous des éléments essentiels au développement de cette technologie. Un mauvais usage de ces outils peut toutefois déformer l’information donc l’éducation. C’est pourquoi il existe des sites de blogage. Le blogue permet à l’étudiant de tenir un journal de bord ou encore de publier des chroniques. Il est tout aussi intéressant pour l’enseignement puisqu’il peut joindre plusieurs personnes en même temps et publier ses consignes tout en étant mis à jour quotidiennement. Il facilite et motive l’apprentissage des élèves parce que, de cette façon, chacun est maître de son temps. Il y a aussi le courriel électronique, qui est d’ailleurs le plus populaire, car nous pouvons échanger des dossiers et des idées lorsqu’ils sont un peu plus privé. Pour terminer, l’implantation d’Initiation aux technologies éducatives devrait faire partie intégrale du plan de cours en formation professionnelle pour faire connaître tous les aspects pédagogiques des technologies et de la communication en enseignement.

L’éducation, la génération C et les TIC.

Les jeunes d’aujourd’hui ne sont plus ce qu’ils étaient dans le passé, ils sont gâtés et ils ne veulent pas se compliquer la vie, la majorité des jeunes 12/24 ans ont été habitués à tout avoir facilement, les efforts et les difficultés ne font plus parties de leur vocabulaire. Dès qu’ils ont un problème il se tourne vers l’électronique (ordinateur, calculatrice, (cell) etc.) tous ces objets font partie de leur vie quotidienne.

Ainsi, l’éducation des jeunes a changé. Il a fallu changer nos méthodes d’enseignements, la communication entre élèves et enseignants n’étaient plus sur la même longueur d’onde, maintenant, les TIC occupent beaucoup de grande place dans notre vie habituelle que l’on soit en mécanique, secrétariat ou autre secteur d’activité.

p/s : excuse-moi j’ai fait une erreur en publiant mon billet cet après-midi et du plus je n’étais plus capable de rentrer sur la page Pédagotic/admin avec mon nouveau portable.

L’éducation, la génération C et les TIC.

Les jeunes d’aujourd’hui ne sont plus ce qu’ils étaient dans le passé, ils sont gâtés et ils ne veulent pas se compliquer la vie, la majorité des jeunes 12/24 ans ont été habitués à tout avoir facilement, les efforts et les difficultés ne font plus parties de leur vocabulaire. Dès qu’ils ont un problème il se tourne vers l’électronique (ordinateur, calculatrice,cell etc.) tous ces objets font partie de leur vie quotidienne.

Ainsi, l’éducation des jeunes a changé. Il a fallut changer nos méthodes d’enseignements, la communication entre élèves et enseignants n’était plus sur la même longueur d’onde, maintenant, les TIC occupent beaucoup de grande place dans notre vie habituelle que l’on soit en mécanique, secrétariat ou autre secteur d’activité.

Le hasard fait bien les choses…

Bonjour à tous, je me nomme Sylvain Bérubé et je demeure dans la belle région du Lac-Saint-Jean. Je suis à l’emploi de la commission scolaire du Pays-des-Bleuets depuis octobre 2005 comme enseignant en opération d’équipements de production (secteur fabrication mécanique). J’ai travaillé comme opérateur dans divers secteurs d’activités (ex. : Métaux, Bois, Alimentation et Textile) bref, je possède une bonne expérience côté pratique du métier. Cependant, sur le côté théorique, ça se gâte un peu, car j’ai appris sur le «tas», comme on dit. Avec les changements technologiques, la mondialisation des produits et l’automatisation des machines, j’ai dû aller me chercher de la formation théorique en automatisme pour poursuivre mon métier. À la suite de ma formation, mon enseignant m’avait demandé si j’aimerais donner quelques heures de formation en opération d’équipements de production. J’ai accepté le défi et depuis ce temps, je suis à l’emploi de la commission scolaire. J’aime cette profession et, avec de la polyvalence et de la volonté, nous pouvons arriver à nos objectifs.

Pour ce qui est des TIC, c’est sûr que je vais apprécier cette formation, car avec toutes les nouveautés informatiques, cette nouvelle méthode de travail facilitera nos préparations de cours. De plus, les TIC nous donnent tous les outils pédagogiques nécessaires.