Au cours de la semaine passée, j’ai pu me déplacer dans la belle ville de Lyon. Le tout a débuté par une rencontre informelle avec trois de nos collègues qui sont en sabbatique dans la Métropole : la professeure Christiane Bergeron-Leclerc ainsi que les professeurs Jacques Cherblanc et Maxime Boivin. J’ai pu échanger sur l’état d’avancement de leurs projets de sabbatique pour terminer la soirée dans un Bouchon Lyonnais. Le lendemain, débutaient les Entretiens Jacques Cartier au cours desquels, j’ai pu prendre la parole afin de présenter l’Innovation à l’UQAC à la demande du recteur de l’UQAM, Stéphane Pallage. Cette présentation s’est effectuée dans le cadre de la rencontre des recteurs et rectrices/présidents et présidentes des universités québécoises et de la région Auvergne-Rhône-Alpes. D’ailleurs, un texte sur la liberté académique sera publié dans Le Devoir et le Monde au cours des prochains jours.
Ce fut aussi le moment de visiter des espaces nouvellement aménagés, soit le I-Factory, à l’Université de Lyon. Ces locaux récemment inaugurés constituent des lieux dédiés à l’innovation dont un FabLaB.
Pendant ces trois jours (6 au 8 oct.), j’ai assisté à de nombreux ateliers, souvent sous la forme de tables rondes, pour discuter d’enjeux sociétaux dont ceux du développement durable et de la pollution de l’eau notamment.
Le 9 octobre, j’ai passé une journée fort chargée avec trois rencontres à l’agenda. D’abord, j’ai rencontré Christophe Douady, co-coordinateur d’H2O’Lyon et Claire-Lise MEYER, Cheffe de projet H2O’Lyon / Project manager. Le but de la rencontre était de bien comprendre les modalités de fonctionnement et de financement de cette organisation et d’étudier les possibilités de collaboration. À titre d’exemple, une école d’été internationale pourrait être une première collaboration en plus d’échanges (mobilités) avec des étudiantes et étudiants de cycles supérieurs et des membres du corps enseignant comme c’est le cas actuellement pour le professeur Maxime Boivin.
J’ai poursuivi avec une rencontre à l’Université Lumière Lyon 2 avec qui nous avons déjà des collaborations dans le secteur des arts. Nos discussions ont porté sur la mobilité étudiante, les programmes en informatique et en jeux vidéo plus spécifiquement. Au cours de la rencontre, j’ai pu m’entretenir avec Madame la Présidente, Isabelle von Bueltzingsloewen, Monsieur Walker, Vice-Président en charge des relations internationales et Madame Lydia Coudroy de Lille, Vice-Présidente en charge de la Recherche.
Pour terminer ma journée, je me suis déplacé dans les locaux du Collégium où des représentants m’attendaient. On échange alors sur les Entretiens Jacques Cartier, sur le fonctionnement du collégium (Institut d’études avancées). On parle même d’étudier la possibilité d’étendre ce genre de collégium au Québec. À ma connaissance, le professeur Maxime Boivin est le premier professeur du Réseau UQ à bénéficier de cette « bourse ».
À travers cette semaine bien remplie, j’ai pu profiter d’une visite au salon Pollutec 2025. « Pollutec est la vitrine incontournable de l’innovation environnementale, avec 45 ans d’expertise et 11 secteurs couvrant l’ensemble des enjeux environnementaux. Le salon met en lumière l’ensemble des technologies, solutions et équipements dédiés à la prévention et au traitement de toutes les formes de pollution et agit pour la préservation de l’environnement et la mise en œuvre du développement durable. Véritable tremplin pour les innovations marché et le développement à l’international, l’événement accompagne les acteurs dans leur transition et leur rayonnement. »
(source : https://www.pollutec.com/#/)
Difficile de se rendre à Lyon sans visiter au moins un musée. J’ai donc opté pour celui des frères Lumière. Nos étudiantes et étudiants dans le secteur du cinéma auraient certainement apprécié cette visite permettant de découvrir l’évolution de l’industrie du cinéma!
L’UQAC est déjà bien présente dans la région avec une dizaine de collaborations universitaires. La présence de trois membres de notre corps professoral et le travail effectué par l’équipe du Bureau de l’international contribueront certainement à la signature d’autres ententes de collaboration. À suivre…
