Ségolène Vandevelde, professeure associée au Département des sciences humaines et sociales, a contribué à une parution récente intitulée « Documenting Activism, Creating Change. Archaeology and the Legacy of #MeToo », éditée par Hannah Cobb et Kayt Hawkins. Cet ouvrage collectif documente, avec la participation de plus d’une quarantaine d’archéologues provenant de plusieurs pays, les avancées des causes féministes et intersectionnelles dans les milieux archéologiques depuis 2010.
La professeure Vandevelde et deux collègues archéologues, Laura Mary et Béline Pasquini, toutes trois membres du collectif Paye Ta Truelle — un organisme qui lutte pour l’égalité et la diversité en archéologie — ont coécrit le chapitre 11 de l’ouvrage. Cette contribution aborde notamment la résistance féministe en archéologie belge et française, les stratégies mises en œuvre par le collectif, ainsi que l’importance des luttes menées par ce dernier.
La version numérique de l’ouvrage est téléchargeable en libre accès sur le site web d’Archaeopress: https://www.archaeopress.com/Archaeopress/Products/9781805830061



