Le 8 septembre dernier, la chargée de cours et chercheuse au Département des sciences appliquées Ségolène Vandevelde a reçu le Prix de thèse de l’Union internationale des sciences préhistoriques et protohistoriques (UISPP) lors d’un congrès international à Timișoara, en Roumanie.
Le Prix de thèse de l’UISPP est décerné aux thèses de doctorat en archéologie, dans le domaine de la préhistoire et de la protohistoire, qui se distinguent par leur thème marqué par l’originalité scientifique et par la nouveauté de la recherche effectuée. Il a été attribué à l’archéologue pour sa thèse intitulée Y’a pas de suie sans feu ! Étude micro-chronologique des concrétions fuligineuses. Étude de cas : le site paléolithique de la Grotte Mandrin (France), soutenue en 2019 à l’Université-Paris-1-Panthéon-Sorbonne (disponible en ligne gratuitement).
Ce congrès scientifique a également été l’occasion pour la chercheuse, de présenter les premiers résultats des travaux qu’elle mène à l’UQAC, en collaboration avec l’Université du Québec à Sherbrooke. Une prestigieuse bourse postdoctorale Banting lui avait d’ailleurs été décernée l’année dernière pour ce projet de recherche intitulé Temporalités de création des sites d’Art Rupestre dans le Bouclier Canadien (TARBoC).
Durant son séjour au congrès, Ségolène Vandevelde a par ailleurs coordonné une session intitulée Multifaceted Pyroarchaeology: insights on temporality, environmental and cultural proxies avec ses collègues chercheuses et chercheurs de la Commission Pyroarchéologie de l’UISPP.
Félicitations!