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Le rôle de chacun dans l’évolution des TIC.

Les technologies sont de plus en plus présentes dans notre société. Dès leur jeune âge, les enfants ont un contact quotidien avec celles-ci. Puisqu’ils y sont constamment confrontés, l’entourage du jeune joue un rôle très important dans le contrôle et dans l’enseignement des technologies. Cette évolution nous amène à nous questionner sur qui devrait enseigner la citoyenneté numérique et les compétences liées aux TIC et quand devrait-on le faire. De plus, dans ce texte, il sera question de prendre position à savoir si nous sommes prêtes à enseigner les technologies dans notre futur métier.

Tout d’abord, nous croyons que l’enseignement des TIC doit se faire tant par les enseignants, que par les parents, que de manière autodidacte. Selon nous, les enseignants ont un rôle important à jouer dans l’enseignement des TIC. Bien évidemment, ceux-ci occupent une place importante dans la vie du jeune et peuvent par le fait même, aider l’enfant à devenir responsable et autonome. Rappelons-nous que dans le programme de formation de l’école québécoise, il y a 12 compétences professionnelles que nous devons traiter. Parmi celles-ci, la compétence 8 traite l’intégration des TIC. Cette compétence « consiste à aider les élèves à s’approprier les TIC et à les utiliser adéquatement afin de développer leurs compétences.» Auparavant, les travaux se réalisaient plutôt à la main alors que maintenant, les enfants utilisent de plus en plus les technologies. De ce fait, nous croyons que l’enseignant doit enseigner à ses élèves certains programmes de base qui leur seront utiles dans leurs futurs travaux. Par exemple, les programmes Word, Excel, PowerPoint, etc. sont d’une grande importance pour la réalisation de certains travaux. De plus, les enseignants ont un rôle important dans la sensibilisation de l’utilisation des sites Internet comme Google, Wikipédia, etc. Bref, le rôle des enseignants est de « transmettre le patrimoine des savoirs communs, de promouvoir les valeurs à la base de sa démocratie et de préparer les jeunes à devenir des citoyens responsables. » Pour ce qui est des parents, ceux-ci jouent un rôle tout autant important dans l’enseignement de la citoyenneté numérique et des compétences liées aux TIC. En effet, ils ont, selon nous, le rôle de transmettre à leurs enfants les bonnes valeurs concernant les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Blablaland, etc.)

Selon un sondage effectué auprès de 566 élèves du troisième cycle du primaire à la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay, 448 élèves, soit 79,2 % utilisent Facebook.

On voit alors l’importance de sensibiliser les jeunes à ces réseaux puisque la plupart d’entre eux ne sont pas adaptés à leur âge. Quant à eux, les élèves ont eux aussi une part de responsabilité concernant les technologies. De manière autodidacte, ils doivent être en mesure de prendre les bonnes décisions par rapport aux différents sites et logiciels auxquels ils peuvent avoir accès. Par la découverte, il peut aussi apprendre à manipuler les outils nécessaires à ces technologies (ordinateur, tablette, cellulaire, etc.) Bref, si l’enfant a un bon enseignement de la part de ses enseignants et de ses parents, il sera apte à juger ce qui est acceptable ou non.

Ensuite, l’enseignement des technologies doit se faire le plus tôt possible. En présence des parents, les enfants découvrent les TIC et commencent à les manipuler. Certains enfants sont plus débrouillards que d’autres parce qu’ils ont plus recours aux technologies. Après leurs découvertes, les parents ont le rôle d’inculquer leurs valeurs à leur enfant. Ils doivent faire prendre conscience aux enfants ce qui est acceptable ou non concernant les technologies.

Ils doivent également leur expliquer qu’Internet est un lieu public et que l’information y circule rapidement et de manière parfois surprenante, surtout via les médias sociaux numériques. De plus, les parents doivent amener les enfants à comprendre que tout n’est pas sans conséquence sur Internet et qu’il faut être conscient de nos actes puisque l’information laissée sur celui-ci peut laisser des traces permanentes.

Pour ce qui est des enseignants, il est important de prendre conscience de l’âge et du niveau des enfants. Du préscolaire au premier cycle, les élèves peuvent être sensibilisés à l’utilisation des technologies, tels le tableau blanc interactif, la tablette, etc. Par contre, les élèves du deuxième et du troisième cycle doivent être plus sensibilisés à l’utilisation de réseaux sociaux ou autres sites. Ils peuvent également manipuler certains programmes qu’ils leur sont nécessaires pour la réalisation de leurs travaux comme Word, Excel, PowerPoint. Il ne faudrait pas oublier que « la mission de l’école est de concourir à l’insertion harmonieuse des jeunes dans la société en leur permettant de s’approprier et d’approfondir les savoirs et les valeurs qui la fondent et en les formant pour qu’ils soient en mesure de participer de façon constructive à son évolution. » Autrement dit, les enseignants se doivent de s’assurer d’une homogénéité des compétences et des connaissances de chaque élève. Lorsque l’enfant apprend de manière autodidacte, il doit toujours être encadré par une personne de confiance. De cette manière, il saura comment utiliser les technologies convenablement pour son âge.

Enfin, suite à cette réflexion, nous croyons que nous sommes prêtes à nous investir dans la bonne éducation des technologies pour nos futurs élèves. Il est important pour nous de jouer un rôle par rapport aux TIC et à la citoyenneté numérique sachant que les technologies sont omniprésentes et qu’elles sont en constante évolution. Nous croyons qu’un enseignant doit être polyvalent. Il doit donc être capable d’enseigner aux élèves la technologie tout en diversifiant ses manières d’enseigner pour garder la motivation de tous. Il faut être conscient des forces et des faiblesses de chaque élève et ainsi s’y adapter afin d’avoir le plus gros taux de réussite possible. En tant que futures enseignantes, nous sommes prêtes à nous investir dans la sensibilisation des élèves aux enjeux sociaux et personnels associés aux usages des TIC.

Finalement, ce travail nous a ouvert les yeux sur l’importance de la technologie dans les classes d’aujourd’hui. Bien évidemment, plusieurs acteurs jouent un rôle important dans l’enseignement des TIC. Il est tout aussi important de sensibiliser, d’identifier les ressources, d’exploiter l’information que d’offrir régulièrement aux élèves l’opportunité d’apprendre à utiliser correctement les TIC. Bref, tout cela peut se faire dès un jeune âge si le jeune est bien encadré pour le faire.

Références :
Giroux, P., Allard, M.-P., Gagné, R., Belley, K., Hallahan Pilotte, V. et D. Bouchard (2012). Utilisation des médias socionumériques par les jeunes de cinquième et sixième année du primaire. Rapport d’enquête remis à la
Commission Scolaire des Rives-du-Saguenay en août 2012.

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L’ordinateur, comme outil, permet-t-il le développement cognitif et social chez les élèves du préscolaire?

L’ordinateur est un mode d’interaction qui est introduit : les utilisateurs plus âgés s’y adaptent, tandis que les plus jeunes l’utilisent comme un mode d’interaction «naturel». Certes de nombreuses personnes utilisent sans problème ce média chaque jour et son utilisation, à des fins éducatives, n’est plus tout à fait une nouveauté. On ne se demande plus maintenant s’il est possible d’utiliser l’ordinateur avec les enfants d’âges préscolaires, car les recherches menées au cours des dernières années ont montré que les applications de l’informatique pouvaient être multiples avec cette clientèle. Les enfants, même très jeunes ou handicapés, sont capables d’utiliser l’ordinateur. Les questions portent maintenant plutôt sur les facteurs à prendre en compte dans l’utilisation de cet outil ou sur les effets de l’utilisation de l’ordinateur par cette jeune clientèle. On s’intéressera donc, dans notre essai, aux effets bénéfiques ainsi qu’aux points faibles de l’utilisation de l’ordinateur, au préscolaire, sur le développement social de l’enfant ainsi que sur son développement cognitif et métacognitif. Il en suivra ces grandes lignes, nos points de vue ainsi que nos analyses critiques concernant ces deux idées.

Premièrement, dans les études récemment présentées, les résultats concernant les effets de l’utilisation de l’ordinateur sur le développement social ont de quoi rassurer. Selon Kaden (1990), l’utilisation de l’ordinateur encourage la coopération, le partage, l’entraide et la planification en commun. En fait, celui-ci veut dire que cette technologie permet aux élèves de travailler en équipe et d’être capables d’interagir de façon harmonieuse avec les autres, ce qui rejoint la compétence 3 du Programme de formation de l’école québécoise. Il croit aussi que le travail à l’ordinateur augmente la confiance en soi des enfants. Selon nous, il n’a pas tout à fait tort. L’ordinateur peut permettre aux élèves de travailler à deux ou à trois, un certain travail ou bien de jouer à un jeu. Ils peuvent aussi se mettre en équipe pour mener un projet à terme. L’ordinateur peut venir accroître la confiance des enfants, car ceux-ci se sentent à l’aise de travailler avec cette technologie et ils peuvent élaborer de beaux projets selon leurs intérêts.
M. kaden, dit aussi que l’utilisation de l’ordinateur subit l’effet de nouveauté. Une fois que celui-ci devient une activité parmi tant d’autres, souvent choisie par les enfants, mais non au détriment d’autres activités, les enfants en ressentent un peu moins l’intérêt. Ce que veut dire M.Kaden, c’est qu’une fois que l’ordinateur est découvert par tous et toutes dans le cadre d’ateliers en classe, celui-ci perd un peu sa popularité donc, il est important de varier les logiciels afin de garder l’intérêt des élèves. Pour notre part, nous trouvons que cet auteur a un peu raison, mais pas tout à fait. Selon nos expériences dans les classes primaires, les élèves sont toujours attirés par l’atelier d’ordinateurs. Et ce, surement dû à ses différents jeux et interactions qui viennent intéresser les jeunes.

Selon Clements (1998), les enfants préfèrent travailler à l’ordinateur avec un ami plutôt que seuls. Il y a plus d’aide et d’enseignement spontanés fournis par les pairs. En effet, nous croyons que celui-ci a un peu raison, mais il faut en voir les deux côtés. Il est vrai qu’il est plus facile pour des jeunes élèves de se sortir de problématiques quelconques avec l’aide d’un ami. C’est pourquoi le fait de travailler en dyade permet aux élèves de ‘s’entraider les uns et les autres et de se faire découvrir de nouvelles choses. Un élève peut apprendre de l’autre et vice versa. Voilà pourquoi le fait de travailler à deux est bénéfique afin de créer des relations sociales, mais aussi de pouvoir s’apporter de l’aide. Par ailleurs, le fait de travailler avec un ami peut aussi causer l’effet d’excitation et de débordement du cadre de l’atelier. M. Clement croit aussi que le choix des logiciels influe grandement sur les relations sociales : un logiciel ouvert, permettant par exemple la construction de formes géographies, encourage la collaboration alors que les jeux vidéos au contenu agressif entraînent la compétition et l’agressivité. Nous avons expérimenté le logiciel éducatif ADIBOU lorsque nous étions au préscolaire et, en effet, la collaboration est de mise. Nous pouvions facilement jouer à deux ou à trois et cela se faisait très bien. On répondait chacun notre tour aux questions ou aux énigmes et on se passait la souris pour les exercices. Nous aidions également nos pairs à réussir leur tour. De plus, l’environnement du logiciel est très important puisque les jeunes peuvent être influencés par celui-ci. Par exemple, dans ADIBOU, l’environnement représente le milieu de vie immédiat des enfants et ne démontre aucun côté plus sombre de la vie. Tandis que, dans un jeu de guerre; la violence, la méchanceté ainsi que le mal sont démontrés. Ce que nous voulons dire, c’est que les logiciels peuvent influencés le développement social des enfants puisque ceux-ci sont placés face une situation qu’ils croient adéquate. M. Clement dit que le milieu physique influe aussi sur les relations sociales; le fait de placer les ordinateurs près des autres favorise l’échange d’idées et la collaboration. Cela peut aussi apporter le partage des stratégies qui touche bien la compétence 5 : construire sa compréhension du monde (PFEQ 2001). Bref, l’utilisation de l’ordinateur dans une classe au préscolaire favorise le développement social des enfants par ses interactions avec les pairs, ses échanges d’idées, le partage de stratégies ainsi que l’effet de collaboration.

Deuxièmement, l’étude des effets de l’utilisation de l’ordinateur sur le développement cognitif et métacognitif de l’enfant comporte deux aspects : il s’agit, d’une part, d’examiner les apprentissages rendus possibles quel que soit le logiciel utilisé et, d’autre part, de préciser l’utilité de l’ordinateur comme outil.
Selon la synthèse de Haugland (2000), les effets de l’ordinateur sur le développement de l’enfant réussiraient mieux sur les plans suivants :
– dextérité manuelle;
– habiletés verbales et non verbales;
– résolution de problèmes;
– abstraction;
– habileté à conceptualiser;
– habiletés de communication et de coopération.
Les apprentissages des enfants se situent plus facilement dans les contextes ci-haut. En effet, lorsque l’enfant utilise l’ordinateur, il a besoin de ses mains pour taper, promener la souris, ce qui vient développer la dextérité manuelle. Les habiletés verbales et non verbales sont également développées lorsque l’élève communique à l’aide de l’ordinateur ou bien lorsqu’il discute avec ses pairs. La communication et la coopération en font également partie puisque l’utilisateur de l’outil discute avec ses coéquipiers, avec les personnes qui se trouvent sur le même réseau de jeu, etc. Il y a aussi la résolution de problèmes qui est touchée par rapport à des logiciels prévus à cet effet. L’enfant peut développer l’abstraction, lorsqu’il utilise l’ordinateur, puisqu’il se concentre sur ce qu’il produit ou sur ce qu’il joue. La conceptualisation est également travaillée sur l’ordinateur puisque l’élève est emmené à construire, produire…afin de faire une réalisation ou bien de mener à terme un projet. Ce sont là des éléments touchant l’aspect cognitif et métacognitif qui peuvent se développer grâce à la bonne utilisation de l’ordinateur.
D’autres recherches montrent que les enfants ayant utilisé l’ordinateur présentent des gains en ce qui concerne l’estime de soi, le sentiment de compétence et l’attitude face à l’apprentissage. (Carlson et White, 1998) Effectivement, le fait de se sentir performant dans l’utilisation de l’outil permet aux élèves de se sentir en confiance. L’élève peut se sentir plus à l’aise d’apprendre à l’aide de l’ordinateur. Cela peut également favoriser le goût à l’apprentissage.
L’ordinateur comme outil permet aux élèves de favoriser leur apprentissage. Comme dans le cas de la lecture, l’ordinateur se révèle utilise dans les situations enseignement-apprentissage. On peut utiliser l’ordinateur comme outil en favorisant l’intégration de logiciel Logo, ayant des commandes telles qu’AVANCE, RECULE, DROITE et GAUCHE, qui permet de visualiser différents concepts. Cet outil permet aussi la rédaction de textes ou la création de graphismes. Cela permet, selon nous, de faire développer aux enfants les concepts de langage écrit ainsi que les notions liées à la langue. Quant aux connaissances se rapportant au développement cognitif, l’élève peut à l’aide de l’ordinateur, exploité les arts en utilisant un logiciel de dessin, par exemple. Au niveau des mathématiques, plusieurs programmes ou logiciels sont offerts afin de favoriser l’apprentissage des jeux de nombres, le dénombrement, les associations, les formes géométriques, la comparaison, le regroupement, la classification…Au point de vue de la science et de la technologie, des jeux sur l’ordinateur permettant de faire des expériences peuvent être disponibles sans oublier que l’utilisation de l’ordinateur est elle-même une activité reliée à la science et la technologie. Les concepts de temps, d’espace et de quantité peuvent être exploités à l’aide de différents jeux éducatifs informatisés.

En conclusion, l’ordinateur peut favoriser les apprentissages des enfants d’âge préscolaire, car il permet de développer l’aspect social, l’aspect cognitif et métacognitif. En regardant les compétences du PFEQ au préscolaire, nous sommes en mesure de voir que celles-ci sont toutes exploitées les unes comme les autres par l’utilisation de l’ordinateur. Le développement social est favorisé par cet outil grâce à la collaboration, l’échange d’idées, l’entraide ainsi que l’élaboration de stratégies communes. L’ordinateur favorise aussi la confiance en soi et il peut venir développer d’autres habiletés chez le jeune. Le développement cognitif et métacognitif est très bien favorisé par l’ordinateur puisqu’il vient toucher les différentes connaissances visées par le Programme de formation de l’école québécoise. Les enfants peuvent très bien développer des habiletés cognitives en travaillant ou en jouant sur des logiciels éducatifs. D’ailleurs, nous croyons que l’utilisation de cette technologie est un gros avantage pour les enseignants afin de faire découvrir d’autres méthodes d’apprentissage aux enfants. Nous croyons que la place de l’ordinateur en classe maternelle pourrait être très favorisante pour ces petits. De plus, l’utilisation de l’ordinateur peut être davantage exploitée, car l’apprentissage peut se continuer à la maison. Finalement, nous sommes conscientes que l’ordinateur ne remplacera jamais les activités d’exercices ainsi que les activités nécessitant du matériel qui est nécessaire au bon développement de l’enfant, mais nous sommes convaincus que c’est un outil indispensable à la nouvelle réalité d’aujourd’hui. Cela permet de se développer sur le plan cognitif, métacognitif et social. Il en reste que c’est par la prise de conscience des différents médias que passe une meilleure utilisation de ceux-ci.

Par Jany Desjardins, Cloé Larouche et Élisabeth Dufour.

CLEMENTS,D. (1998). Young children and technology. Communication présentée au Forum and early childhood science, mathematics, and technology education, Washington,D.C. ERIC Document Reproduction Service No.ED 416991.

HAUGLAND, S.W. (2000). Computers and young children. Washington, DC, Office of educational research and improvement. ERIC Document Reproduction Service No. ED 438 926

BRUNER, J. L’éducation, entrée dans la culture. Paris, Éditions Retz.

ROYER, N. (2004). Le monde du préscolaire, gaëtan morin éditeur, 276 pages.

Les TIC, présentes de plus en plus tôt dans la vie des jeunes et pourtant aucune évaluation nécessaire au préscolaire selon le PFEQ…

La présence des technologies se fait de plus en plus présente de nos jours. En effet, la génération C est là pour nous le prouver. Tous les jeunes rentrant au secondaire possèdent au moins soit un cellulaire, un portable, un iPod, un ipad et j’en passe. La technologie est en train de nous rattraper et de plein fouet. Nous remarquons de plus en plus la présence d’outils technologiques dans les poches des enfants, et ce, de plus en plus tôt dans leur vie. L’initiation à ceux-ci se fait également de plus en plus rapidement soit au primaire et même au préscolaire. Déjà même avant d’entrer à la maternelle, les enfants savent ouvrir et éteindre un ordinateur et ça, ce n’est rien comparativement à ce que savent la plupart des jeunes. Pourtant, aucune évaluation n’est nécessaire au niveau des TIC au préscolaire. C’est pourquoi je m’intéresserai dans mon essai aux évaluations inexistantes des TIC au préscolaire dans le PFEQ ainsi que celles qui existaient auparavant et à l’intégration des TIC dans les classes maternelles.

Étant donné que la technologie nous a rattrapée, il est évident que les jeunes âgés de 5-6 ans soient plus au courant des TIC aujourd’hui que nous à cet âge. Par contre, c’est maintenant à nous de nous mettre dans le bain afin d’être à la hauteur des connaissances de nos élèves face à la technologie. Les technologies de l’information et de la communication sont de plus en plus utilisées autant par les jeunes élèves que par les plus vieux et c’est pourquoi il devrait, selon moi, y avoir une place en maternelle pour celles-ci. C’est la place de l’ordinateur qui devrait être favorisée au préscolaire au niveau des différentes technologies puisque c’est avec cet outil que les élèves devront apprendre à travailler tout au long de leur vie. Alors, la question se pose, pourquoi n’a-t-il pas de place imposée dans le programme de formation de l’école québécoise pour l’utilisation des TIC au préscolaire? En feuilletant le PFEQ, je me rends compte qu’aucune évaluation n’est nécessaire en ce qui a trait aux TIC à la maternelle. Le seul énoncé qui se rapporte aux TIC fait partie des savoirs essentiels et s’intitule « Les conventions et symboles propres à l’environnement informatique (ex. : souris, écran, clavier)»1. Pour ce qui est des compétences transversales et bien elles sont enlevés donc celle des TIC aussi. Il est évident que la plupart des élèves de cet âge connaissent déjà les termes reliés à la technologie. Pourquoi ne nous attardons pas plutôt à faire réaliser un projet ou un travail sur un ordinateur ou même accorder du temps pour la propre découverte des élèves à propos de ce qui se trouve à l’intérieur des ordinateurs et non seulement à ce qui se retrouve à l’extérieur? Il est dommage de considérer ce manque dans le PFEQ puisqu’auparavant il y avait place à l’évaluation des TIC donc cela apportait une certaine obligation de faire pratiquer les élèves sur les ordinateurs. Les éléments de la compétence étaient : • Apprendre à manipuler le clavier et la souris; • Arriver à connaître les procédures et le vocabulaire de base; • Utiliser des applications à caractère éducatif ou ludique; • Réaliser et/ou créer des tâches et des créations à l’aide d’un logiciel de dessin; • Explorer spontanément; • Être capable de suivre un référentiel de procédure. Il est déplorable de voir cette régression au niveau des évaluations puisque la technologie ne recule pas elle avance. Les éléments nommés ci-haut se réfèrent très bien à la réalité d’aujourd’hui. Mais malheureusement, le ministère ne s’attarde plus ou du moins très peu aux TIC au préscolaire. Selon le document Impact des TIC sur la réussite et la persévérance, réalisé par Colette Desgent et Céline Forcier du collège de l’Outaouais, « Les TIC s’intègrent bien dans la construction des savoirs et permet à l’élève d’être actif dans ses apprentissages» 2. En effet, c’est selon moi dès le jeune âge qu’il faut créer de l’intérêt pour l’apprentissage et cela peut se faire en plaçant les élèves face à la réalité d’aujourd’hui soit par la présence des TIC. Donc, de commencer à évaluer les TIC au préscolaire reste pour moi un élément qui devrait être révisé et pris en compte. Pourtant, si de l’information et quelques techniques pouvaient être enseignées dès le jeune âge peut-être préviendrions nous bien des erreurs de jugement pour certain jeune dans les années qui suivront.

Même si le PFEQ ne l’oblige pas, c’est un peu de notre devoir, selon moi, de faire utiliser les TIC à nos élèves du préscolaire. Même si les apprentissages ne sont pas évalués, on peut utiliser les TIC comme outils d’enseignement ou pour faire réaliser à nos élèves des créations. Cela peut être vu comme difficile ou bien hors contexte, mais au contraire, cela s’avère vraiment constructif. Pour avoir travaillé un projet avec des jeunes d’âge préscolaire sur PowerPoint, je sais que cela capte très rapidement l’intérêt des jeunes. Je leur faisais la lecture d’une histoire tout en défilant des diapositives que j’avais produites en lien avec mon histoire. Les jeunes étaient surpris de voir que l’on ne tournait pas des pages de livres, mais bien qu’on cliquait pour faire changer la page. Ceux-ci étaient tellement impressionnés de ce que je leur faisais découvrir qu’ils voulaient à tout prix en faire un eux aussi. C’est à ce moment que nous avons demandé à des élèves de 6e année de venir aider nos élèves à fabriquer leur propre diaporama d’images à la suite d’une histoire qu’ils avaient choisie. Cette activité a fait le plaisir de tous les élèves et les a emmenés à vouloir travailler de plus en plus avec l’ordinateur. C’est pourquoi le fait d’utiliser d’autre matériel et de faire découvrir aux enfants d’autres aspects de l’apprentissage emmène un certain intérêt chez ceux-ci face à l’école. Ceux-ci sont impressionnés par tout ce qu’on peut créer et faire à partir du matériel informatique et ils ont vraiment hâte de pouvoir l’utiliser à leur tour. Il est important dans nos classes de créer un milieu d’apprentissage dynamique, motivant et d’actualité afin d’intéresser nos élèves et d’attirer leur attention. Pourtant, c’est en utilisant diverses façons d’accomplir des tâches que nous sommes en mesure de venir capter l’intérêt des élèves. Dans le PFEQ, la compétence no.6 au préscolaire s’intitule « Mener à terme une activité ou un projet». Voilà une belle occasion d’utiliser les TIC dans la classe maternelle tout en respectant le programme de formation. Les élèves peuvent s’engager dans un projet personnel, d’équipe ou de groupe tout en utilisant l’ordinateur afin de faire des recherches ou bien d’utiliser un programme pour dessiner, etc. Cela permettrait à mobiliser les compétences cognitives et langagières en fonction d’atteindre un but. Il est certain qu’avant de laisser les élèves sur un ordinateur qu’il doit y avoir quelques leçons sur l’utilisation de celui-ci. Mais, je crois que les élèves se sentiront intéressés par cette technologie puisque presque la totalité d’entre eux en possède un à la maison. Plusieurs moyens d’utiliser l’ordinateur sont à notre disponibilité. Prenons par exemple, un logiciel de dessin. Nous pouvons faire une démonstration à nos élèves et ensuite les laisser créer leur propre dessin selon les règles, et ce, pendant les ateliers ou bien pendant une période informatique. L’utilisation de l’ordinateur à la maternelle, emmènerait les élèves à découvrir différents aspects d’un logiciel, à travailler les outils (souris, clavier), à suivre une procédure etc. C’est simple non? Un document se nommant Les TIC au préscolaire…une ouverture sur le monde réalisé par la commission scolaire de Laval, décrit très bien comment procéder avec l’intégration des TIC dans nos classes. Ce document vient prouver la facilité de travailler avec les TIC dans les classes maternelle. C’est suite à la lecture de ce document que je me suis rendu compte que tous les enseignants peuvent introduire l’utilisation de matériels informatiques dans leur classe et ce de manière éducative. Les TIC permettent d’explorer des nouvelles pistes et d’innover. Celles-ci peuvent venir changer le degré de motivation qu’on les jeunes pour l’école. Alors, pourquoi ne pas suivre le courant de l’évolution des TIC pour initier nos jeunes à la bonne utilisation de celles-ci?

Finalement, il est très véridique de penser que nous devrons nous former davantage, et ce, très bientôt sur les TIC, puisque nos élèves nous rattraperont assez vite. Ceux-ci sont en plein cœur de l’explosion technologique et c’est pourquoi il sera très important d’aborder le sujet avec eux le plus tôt possible, et ce, au préscolaire, selon moi. Je reste d’avis que les TIC devraient avoir leur place dans les classes maternelles puisqu’elles intègrent très bien les 6 compétences du PFEQ. Par contre, il serait nécessaire d’avoir des évaluations au niveau des compétences afin que les enseignants se sentent obligés d’intégrer les TIC dans leur classe. De plus, plusieurs façons et moyens intéressants sont disponibles afin de bien utiliser les technologies avec les jeunes du préscolaire. On peut les utiliser par le jeu, le dessin, l’exploration, les projets, les créations, etc. Tout compte fait, je crois que les TIC ont très bien leur place au préscolaire puisque les élèves sont déjà au courant de biens des choses reliées à ces technologies. Il reste à se demander si le Ministère de l’Éducation saura s’en rendre compte d’ici les prochaines années.

Je déclare, Jany D , avoir fait mon possible pour éviter toutes fautes d’ortographe.

1. Ministère de l’éducation (2001). Programme de formation de l’école québécoise. Québec: 354 p.

2. Canada (2004). Impact des TIC sur la réussite et la persévérence (Site web). Consulté le 3 octobre 2010. http://www.cdc.qc.ca/parea/desgent_outaouais_2004_rapport_PAREA.pdf

L’utilité du WEB 2.0 en enseignement??? Certainement!!

AVANT-PROPOS

Cependant, tout enseignant devrait selon moi considérer que les jeunes d’aujourd’hui sont de plus en plus au courant de l’actualité technologique. Ils naviguent quotidiennement sur le WEB, ont des téléphones cellulaires, des lecteurs MP3 et jouent à des jeux vidéo en ligne. En tant qu’enseignants, nous nous devons de prendre ces faits en considération. Il va de soi qu’à défaut d’intégrer les TIC immédiatement à sa pratique, l’enseignant, incluant moi-même, devrait prendre le temps de rechercher sur le WEB ce qui pourrait lui être utile dans sa profession. Étant donné que nombre d’enseignants ne savent même pas ce en quoi consiste le WEB 2.0, je me dirigerai plutôt à titre informatif et explicatif qu’à titre personnel. Je considère qu’avant d’être en mesure de donner son opinion sur un sujet, on doit savoir de quoi l’on parle. Je ne suis pas une experte en la matière, alors mes recherches se sont dirigées vers ce que je considérais important à savoir. Mes découvertes ont été fort intéressantes et c’est ce dont je vous ferai part. Le présent billet traitera donc de l’utilité du WEB 2.0 au niveau de l’enseignement ainsi que des diverses ressources disponibles pour la pédagogie, ceci dans le but de faire explorer une nouvelle dimension possible à l’enseignement.

WEB 2.0

Avant toute chose et surtout afin d’approfondir notre compréhension du sujet, il serait juste de définir ce qu’est exactement le WEB 2.0 et de mentionner en quoi il consiste. Avant de suivre le cours de cet été, je ne savais même pas que le terme existait! Le site populaire WIKIPÉDIA propose la définition suivante :
«L’expression « Web 2.0 » désigne certaines des technologies et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s’approprier les nouvelles fonctionnalités du web et ainsi d’interagir de façon simple à la fois avec le contenu et la structure des pages et aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social. Cette expression utilisée par Dale Dougherty en 2003, diffusée par Tim O’Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec le position paper « What Is Web 2.0 » 3 s’est imposée à partir de 2007.»
Autrement dit, contrairement à la première version du WEB, la seconde version est beaucoup plus interactive et facile d’accès. Lors de mes recherches sur le sujet, j’ai trouvé un site qui se nomme Les clés du WEB 2.0. Ce site est très intéressant et il décrit extrêmement bien tout ce qu’il y a à savoir concernant le WEB 2.0. Entre autres, il nous résume brièvement les notions fondamentales de celui-ci :

  • les interactions entre internautes (collaboration, partage, communauté, réseau);
  • l’interaction avec les contenus proposés en ligne (possibilité d’intervenir sur les contenus);
  • la gratuité de la plupart des services;
  • l’accessibilité (sites visibles sur les navigateurs standards, applications en ligne).

Ces énoncés sont évidemment très brefs, mais ils résument bien ce qu’il faut essentiellement retenir du WEB 2.0. Ce dernier offre une multitude de services à tous et à chacun tout aussi intéressants les uns que les autres. Voici une image très parlante des services et des sites offerts par le WEB 2.0, que j’ai trouvée sur Internet lors de mes recherches pour ce travail.
Maintenant que l’on sait un peu mieux en quoi consiste le WEB 2.0, je vais tenter de prouver comment il peut être utile pour nous, enseignants et futurs enseignants, afin d’améliorer notre pratique.
D’abord, un des outils intéressants du WEB 2.0 est le fil RSS qui ressemble à cette image. Les fils RSS sont très intéressants, parce qu’au lieu de devoir aller chercher nous-mêmes l’information que l’on désire, c’est elle qui vient à nous. Sur le site Le journal du Net, j’ai trouvé un article qui se nomme RSS : qu’est-ce que c’est, comment en profiter? Cet article explique en détail ce qu’est le fil RSS. En voici un extrait :
« Comment expliquer simplement ce qu’est un flux RSS?
Il s’agit d’un fichier texte particulier (voir plus loin) dont le contenu est produit automatiquement (sauf cas exceptionnels) en fonction des mises à jour d’un site Web. Ce contenu est laissé au libre choix du producteur du flux, mais très généralement se compose des titres des mises à jour (par exemple : « nouvelle promotion »), des liens hypertextes correspondants, et de descriptions, en quelques lignes, de ces mises à jour (par exemple : « Prix sacrifiés sur la mémoire pendant trois jours. Profitez-en »).

LES FILS RSS

Le terme RSS désigne une convention de structuration (il y en d’autres – lire l’article du 22/07/2003 -, comme Atom, que nous laisserons de côté ici) des fichiers que nous venons de décrire, garantissant qu’ils puissent être diffusés dans un format compréhensible par le plus grand nombre (on parle de « syndication de contenu »). Ainsi, un webmaster peut décider, par un outil approprié, d’importer le contenu du « flux RSS » dans sa propre page Web, et plus largement n’importe qui peut, par une manipulation similaire, recevoir dans sa boite e-mail ou via un logiciel dédié les dernières mises à jour d’un site proposant la diffusion de son contenu « en RSS ».»
L’article complet que l’on retrouve le site est beaucoup plus long que ce simple extrait et il décrit en profondeur tout ce qui concerne les fils RSS et ce qui gravite autour d’eux. Pour quelqu’un qui voudrait en apprendre davantage sur le sujet, il pourrait être intéressant de lire l’article au complet. Concernant ce qui nous intéresse, l’extrait précédant est amplement suffisant pour nous donner une idée cet outil. Pour des gens qui seraient plutôt visuels, voici un vidéo très bien construit qui se nomme « RSS en bon français » que j’ai trouvé sur le site récit FGA Montérégie qui a lui-même trouvé ce vidéo sur YouTube. Le vidéo suivant nous explique de manière très simpliste l’ancienne méthode de recherche sur Internet versus la nouvelle méthode des fils RSS. En enseignement, cet outil peut être très utile pour rester à l’affût des dernières informations concernant l’éducation, les forums d’enseignants, les blogues de discussions d’enseignants, etc. Il est juste de dire que les fils RSS peuvent être également intéressants pour les élèves. En effet, si ces derniers ont une recherche à faire ou un projet à réaliser sur une longue durée, cet outil peut leur être très bénéfique. À titre informatif et utilitaire pour les enseignants, voici un site avec une liste de fils RSS concernant le domaine de l’éducation. Bref, le fil RSS est un outil très intéressant et qui de plus, nous fait sauver beaucoup de temps!

LE BLOGUE

En second plan, un autre outil du WEB 2.0 est tout aussi pertinent : le blogue. Il va de soit que ces derniers existent depuis longtemps, mais maintenant, en plus de lire le contenu de ce dernier, il est aussi possible d’ajouter des commentaires sur ce qui a été mentionné. En éducation, les blogues peuvent être d’une grande utilité. J’ai trouvé sur le site CLIC Bulletin collégial des technologies de l’information et des communications un tableau expliquant l’utilité des blogues en éducation. Le tableau explique l’utilité des blogues sous trois angles : le blogue enseignant, le blogue classe et le blogue élève. J’ai dû le reproduire étant donné qu’il n’y avait pas de lien direct nous menant à lui. Voici ce qu’il mentionne :

Le blogue enseignant :

  • Pour proposer des ressources pédagogiques;
  • Pour réfléchir sur sa pratique professionnelle;
  • Pour supporter un travail de recherche ou pour gérer un projet;
  • Pour fournir des informations pratiques sur le cours;
  • Pour prolonger le travail réalisé en classe;
  • Pour proposer des activités pédagogiques.
Le blogue classe :

  • Pour réaliser un projet pédagogique;
  • Pour communiquer avec ses élèves;
  • Pour que les élèves communiquent entre eux;
  • Pour que les élèves communiquent avec l’extérieur.
Le blogue élève :

  • Pour évaluer son travail tout au long de l’année;
  • Pour faire ses devoirs.

Après la lecture de ces points, nous pouvons constater que l’utilisation des blogues ne peut être que bénéfique pour l’enseignant et les élèves. En plus, c’est tout à fait gratuit! Le blogue d’un enseignant peut être aussi très intéressant pour les parents d’élèves, qui iraient le visiter quotidiennement afin de savoir où en sont leurs enfants, ce qu’ils ont fait en classe, les devoirs et leçons qu’ils ont à faire pour la semaine, les examens à venir, etc. Également, j’ai lu que la création de blogues et le fait d’y participer développaient l’identité numérique de l’utilisateur, ce qui peut être valorisant pour la personne qui le crée.

LES WIKIS

Aussi, dans la même lignée que les blogues, un autre outil associé au WEB 2.0 se démarque : les wikis. Contrairement au blogue, dans lequel il n’y a qu’un ou très peu d’auteurs et où le contenu n’est modifiable que par celui-ci, les wikis rejoignent une dimension collective où chacun peut apporter sa contribution personnelle à l’information. Le site Wikipédia offre la définition suivante : « Un wiki est un site web dont les pages sont modifiables tout ou partie par des visiteurs du site. Il permet ainsi l’écriture collaborative de documents ». Au niveau de la pédagogie, cet outil peut être extrêmement utile lors de projets, de recherches, ou tout simplement pour faire confronter les idées des élèves et les faire communiquer entre eux. Afin de mieux visualiser ce qu’il en est, voici un vidéo intéressant, réalisé par un étudiant, que j’ai trouvé sur le site  »Dailymotion » lors de mes recherches. Bref, cet outil attire sincèrement mon attention en tant que future enseignante et il est certain que je l’utiliserai lorsque j’aurai ma propre classe!

LA VÉDÉOCONFÉRENCE

Finalement, j’aurais bien pu vous parler d’une multitude d’autres outils qu’offre le WEB 2.0, mais j’ai décidé de terminer mon billet avec la vidéoconférence, un outil qui m’épate sincèrement. Vous rendez-vous compte de l’avancement technologique que cet outil a offert à l’enseignement? Maintenant, grâce à lui, il est possible pour un enseignant de donner des cours dans une région à des étudiants provenant d’une autre région. On ne peut qu’avouer que c’est tout à fait brillant! Aussi, il est maintenant possible de faire de la vidéoconférence entre des classes provenant de régions différentes. Cela m’amène donc à vous parler brièvement du projet de l’École Éloignée en Réseau (l’ÉÉR). Voici un extrait d’un article concernant le projet ÉÉR que j’ai trouvé sur le site de