Voici le descriptif fourni http://adobe.uqac.ca/p24140
Pour s’inscrire (çca facilite l’organisation!): www.uqac.ca/cpu
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Quand on utilise un outil « communautaire) comme Google+, un forum de discussion ou un « Knowledge forum », le premier gros apprentissage à faire est souvent d’apprendre à vivre en communauté!
Je l’ai écrit précédemment, mes étudiants du trimestre (108!) sont regroupés dans une communauté Google+.
Cette semaine, ils avaient à utiliser Google+ pour la première fois. Je leur avais soumis 3 documents à consulter (une conférence de Michel Serres à propos de petite poucette, le rapport du CEFRIO sur la génération C et le rapport de notre équipe sur les réseaux sociaux au primaire à la C.S. des Rives-du-Saguenay) et 3 questions auxquelles ils devaient répondre dans Google+.
Le thème était important, mais pour moi c’était surtout une première occasion d’expérimenter Google+ puisque la majorité n’avait jamais publié à l’aide de cet outil. Bien que les critères d’évaluation incluaient le besoin d’apporter du neuf à la discussion, il s’est passé exactement ce que j’anticipais. Chaque équipe a répondu en publiant ses réponses et il n’y a pas vraiment eu de discussion. Je dois dire que je n’avais pas insisté sur la nature profondément interactive et sociale de l’outil. Je ne leur avais pas indiquer qu’ils étaient dans un environnement constructiviste ou socio-constructiviste. Ils ont donc agi comme de bons étudiants et m’ont tous donné leur réponse. C’est après tout ce que l’on attend souvent d’eux et je n’avais pas donné d’instruction très spécifiques…
J’ai donc fait un commentaire au sujet de la nature de l’outil cette semaine. J’ai expliqué une première fois qu’ils n’avaient pas à répéter tous la même réponse, mais que je préférais qu’ils commentent, ajoutent, nuancent, questionnent, etc. J’ai expliqué qu’une réponse à un billet était aussi importante et valable qu’un nouveau billet. C’est même probablement mieux qu’un nouveau billet qui, dans sa plus grande part, répète dans d’autres mots ce que le premier billet disait. Évidemment, le commentaire ou la réaction au billet doit être pertinente, respectueuse et elle doit faire progresser la réflexion. J’ai même dit des gros mots comme « constructivisme », « débat » et « confrontation de nos idées ».
La semaine prochaine, il y a une nouvelle discussion de proposer à laquelle il n’y a pas vraiment de points d’associer.
J’ai très hâte de voir à quel point l’utilisation de Google+ va évoluer dans les prochains jours. Si ça ne fonctionne pas comme je veux, je vais crier à l’aide sur Twitter et Google+ et inviter quelques pédagogues de l’extérieur à venir participer à notre communauté. Il y a plein de gens dans mes réseaux qui seraient d’excellents exemples!
Dans le passé, j’ai souvent parlé ici de mon cours en technologies éducatives. J’ai même mis les lecteurs de ce blogue au travail pour aider mes étudiants de plusieurs manières et à plusieurs reprises. Récemment, j’ai discuté (via Twitter) avec @gplantin de ce que je planifiais pour ce trimestre… Il a semblé intéressé et m’a demandé de le tenir informé. J’ignore si je pourrai le faire régulièrement, mais voici déjà quelques détails.
La semaine 1 a débuté dans le chaos… Tous les étudiants devaient se brancher sur Moodle et créer un compte Google+. Évidemment ça n’a pas été facile, surtout avec le premier groupe. Grâce à leurs questions, j’ai pu prévenir plusieurs petits problèmes et ça s’est mieux déroulé dans les 2 autres groupes. Le troisième groupe avait son cours le jeudi en début de soirée, juste avant le party d’initiation. En plus, il y a eu un changement de local 72 heures avant le cours et tous les étudiants ne consultent pas régulièrement leur courriel institutionnel. La moitié du groupe n’est pas venue et j’anticipe déjà les problèmes… 🙁
Pour Moodle, j’avais fourni une feuille préparée par les services informatiques de l’UQAC. C’était suffisamment précis pour dépanner la presque totalité des étudiants. Ça a été un peu plus difficile pour Google+…
Google+ est un environnement ouvert et très vaste. Même si j’ai planifié que nous discuterions dans une communauté fermée, les étudiants faisaient leur entrée directement dans Google+. La seule référence des étudiants est souvent Facebook et c’est assez différent… Sept jours après le premier cours, plusieurs personnes n’ont pas encore validé leur inscription. Voici les étapes que j’ai suivies:
La démarche ne me semble pas trop compliquée. Par contre, certains vont plus vite, explorent de leur côté, etc. J’ai donc dû répéter quelques fois… De plus, quand je les questionne, ils semblent tous en contrôle… J’ai parfais l’image du canard (calme en surface et qui pédale vite sous la surface) qui me revient en tête.
Pour compléter la semaine 1, je les ai questionné au sujet du plagiat en utilisant quelques questions préparées à l’avance sur études de cas et les étudiants ont dû répondre à des quiz en ligne. (Nous avons fait le premier quiz ensemble. Les 2 autres étaient à terminer à la maison.) Leur autoévaluation de leur connaissances concernant le plagiat était plutôt juste. C’est excellent!
Pour la semaine 2, j’ai prévu du travail d’équipe sans rencontre en classe. Le thème est « Qui sont les jeunes d’aujourd’hui et quelle importance ont les technologies pour eux?« . Voici le scénario que j’ai partagé avec eux sur Moodle:
Cinq (5) points seront attribués en fonction de la qualité de la contribution à la communautés Google+ « 3tle220 » pour la semaine 2. L’évaluation sera holistique et qualitative. Une contribution de qualité:
J’ignore comment ça va aller… On verra bien cette semaine.
C’est pas moi qui le dit…
L’administration de la région autonome espagnole de Valence a terminé son passage à LibreOffice, une suite gratuite et open source d’applications de productivité bureautique. La semaine dernière, vendredi département TIC de la région a annoncé que la suite bureautique a été installé sur les 120000 ordinateurs de bureau de l’administration, y compris les écoles et les tribunaux. La migration fera économiser au gouvernement environ 1,5 millions d’euros par an sur les licences de logiciels propriétaires. (Source: http://post-pc.fr/libreoffice-les-economies)
Plus d’information ici:
Je vis un agacement croissant face à un détail… Les gens ne semblent souvent pas comprendre que l’ordinateur n’a pas de volonté propre et qu’il ne peut être tenu responsable ou identifié comme la cause de l’apprentissage ou l’absence d’apprentissage. Chaque fois qu’on fait cela, on déresponsabilise les utilisateurs et le système face à un mauvais comportement.
Ce matin, c’est le titre d’un article sur le site de la SRC qui m’a fait réagir. J’ignore pourquoi, mais le journaliste a choisi d’intituler son texte « Le portable en classe affecte les notes« … Ce n’est pourtant pas ce que la recherche citée conclue. Le reste de l’article est d’ailleurs assez intéressant et nuancé. C’est de diviser son attention entre plusieurs choses (la conférence, un jeu, un film, Facebook, etc.) qui nuit à l’apprentissage.
Malheureusement, j’entends déjà les commentaires…
Ce n’est pas la faute de l’apprenant, son ordinateur l’a distrait… C’est écrit en grosse lettre en haut de l’article! Retirons l’ordinateur de l’équation et retournons en 1960, quand l’école fonctionnait vraiment!
Comme si l’étudiant n’avait pas décidé de faire autre chose…
De plus, ce raisonnement (attribué la faute à l’ordinateur) nous empêche de questionner la responsabilité de l’école… La réalité c’est que les TIC ne disparaîtront pas! Elles jouent un rôle important dans notre société et contribuent de plusieurs façons à améliorer notre qualité de vie. Face à cette réalité, l’école a-t-elle joué son rôle d’éducation? Le système a-t-il fourni les outils et les ressources nécessaires à l’école pour qu’elle prépare les jeunes à cette réalité?
Je pose ces questions, mais je n’y répondrai pas. Les seules réponses que j’ai à vous fournir sont malheureuses et rendraient encore plus triste cette journée qui a débuté sous un ciel gris et sombre au Saguenay…
Et là je pense à plusieurs personnes que je connais qui tentent de hacker le système et de faire que l’on outille adéquatement la prochaine génération quant aux bons usages de l’ordinateur!
Ne lâchez pas, ce que vous faites est important!
J’utilisais beaucoup Google Reader. Sans trop le réaliser, j’avais accumulé plusieurs dizaines de fils RSS. Je crois qu’ils apparaissaient dans mon compte sans aucune intervention de ma part, tellement que je devais parfois faire le ménage et éliminer certains fils RSS.
🙂
Google Reader faisait partie de ma routine quotidienne…
Le remplacer n’était pas simple.
J’ai choisi Feedly parce qu’il répondait à pratiquement toutes mes attentes…
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D’abord, je cherchais un agrégateur 2.0. Je devais pouvoir le consulter depuis n’importe quel ordinateur branché à Internet. Idéalement, l’agrégateur choisi devait pouvoir me suivre partout, cela veut dire sur mon téléphone portable, ma tablette et mes ordinateurs. Je souhaitais aussi qu’il puisse interagir facilement avec mon compte Google+ et mon compte Twitter. Je désirais ensuite pouvoir classer par catégorie l’ensemble de mes fils RSS. Finalement, je devais pouvoir importer facilement mes anciens fils RSS présents dans Google Reader.
J’ai choisi Feedly. Il y a des applications Android pour mon téléphone et ma tablette. Il me suit facilement sur tous mes ordinateurs via Chrome (j’utilise un compte Google pour que Chrome soit identique sur tous mes postes!) Lorsque je ne suis pas sur l’un de mes ordinateurs personnels, je peux toujours me brancher sur le « cloud ». L’interaction avec mon compte Twitter est facile. (Pour G+, ça manque encore un peu de travail… Ça ne fonctionne pas toujours depuis mon navigateur.) Finalement, l’interface est très simple.
J’ai choisi Feedly parce que c’est l’agrégateur qui a le plus facilement fait son chemin dans ma routine quotidienne. Sur ma tablette, pendant les publicités à la télévision. Sur mon téléphone portable, quand j’attends en ligne peu importe où. Sur mes ordinateurs, quand j’ai besoin d’une pause ou pour m’aider à démarrer la journée (j’ai des fils RSS pour ça!)
Feedly a rempli le trou laissé par Google Reader très facilement…
Et vous qu’avez-vous choisi?
Ça fait plus d’un mois que j’ai Windows 8 sur mon portable principal…
Précisons les faits :
Ainsi donc, j’ai fait installé Windows 8 sur mon ordinateur portable. Le portable en question est un superbe Lenovo X1 Carbon Touch. Une jolie machine très performante avec un écran tactile, un processeur i7 d’Intel, 8 gig de RAM et un disque SSD.
Le service informatique de l’université m’avait originalement installé Windows SEVEN sur ce portable. J’étais un peu frustré de ne pas pouvoir utiliser mon superbe écran tactile. J’ai donc demandé que l’on m’installe Windows 8 même si ça voulait dire que je ne pourrais plus toujours recevoir de soutien… (Officiellement, Windows 8 n’est pas supporté par mon institution. Officieusement, on m’a tout de même aidé à mettre mon portable à ma main en installant différents logiciels, les imprimantes, etc. À partir de là, je suis relativement indépendant.)
Je dois préciser que j’avais auparavant un Lenovo X200 que j’adorais. C’était un « tablet PC » et je profitais pleinement de l’écran tactile grâce au stylet (que je devais obligatoirement utiliser avec ce modèle). L’écran tactile et le stylet contribuaient vraiment à mon efficacité au quotidien. Je les utilisais pour annoter directement les articles et travaux étudiants que je lisais (C’est une part importante de mon travail!), pour prendre des notes en réunion, faire du graphisme quand c’était nécessaire, etc. J’avais donc de grande attentes vis-à-vis de mon nouveau portable, de son écran tactile et de Windows 8.
Finalement qu’est-ce que j’en pense?
Et bien…
Pas grand chose! Je suis déçu.
Je ne suis jamais redevenu vraiment efficace. Sans stylet, impossible d’être vraiment efficace avec Windows 8! Les applications que j’utilise au quotidien dans mon travail (suite bureautique, logiciel de dessin, navigateur Web, etc) n’ont pas été prévues pour être utilisées avec un écran tactile. Les icônes sont trop petits et il est simplement impossible d’être efficace sans un stylet. Je vais donc me chercher un stylet et retourner à Ubuntu!
Qu’est-ce que je pense de Windows 8?
Bof… C’est Windows… Les mises à jours sont fréquentes et souvent très longues. Ça prend beaucoup d’espace sur nos disques et on ne peut pas facilement en modifier la configuration pour l’adapter à nos goût et nos besoins. On a tenté de recréer l’expérience « tablette » sur un gros portable et ce n’est pas réussi. Dans les faits, je devrais plutôt dire que ce n’est pas terminé puisque plusieurs logiciels utilisent encore une interface prévue pour les utilisateurs de la souris. Avec le temps, ça va peut-être s’améliorer. Par contre, je ne suis pas certain que ça convienne jamais vraiment tout à fait pour moi… Je n’utilise pas ma tablette et mon ordinateur pour les mêmes tâches. Ma tablette (une Nexus 7) est devenu mon outil de travail dans les réunions et rencontre de travail. Elle me donne accès à mon agenda et tous mes documents. Le format est agréable pour lire et convient bien pour prendre quelque notes ou aller vérifier quelques chose sur le Web. Elle est légère, petite et facile à trimbaler. En voyage, c’est un format parfait! Je l’utilise aussi à la maison pour lire l’actualité et naviguer sur le Web. Mon ordinateur portable, quant à lui, me sert pour le travail plus lourd. L’écran est plus large et le clavier très performant. Évidemment, mon ordinateur portable, même s’il s’agit d’un « ultrbook », prend plus de place. Je l’utilise pour écrire, créer, etc. Je peux travailler plusieurs heures devant mon ordinateur portable, mais pas devant ma tablette. Dès que ça demande de se concentrer longuement, j’utilise mon ultrabook ou mon ordinateur du bureau si j’ai la chance d’être à l’université. J’ai aussi remarqué que pour le genre de tâche que j’effectue avec mon ordinateur de bureau ou mon ordinateur portable, il est souvent plus efficace pour moi de garder les doigts sur mon clavier et d’utiliser des raccourcis-clavier pour naviguer. L’interface tactile devient alors plus ou moins utile. À moins de trouver un stylet qui fonctionne avec mon X1 Carbon, je vais devoir abandonner certaines habitudes que j’avais prises avec mon « tablet PC » précédent comme l’annotation des travaux des étudiants et des articles à la main. Je ne perdrai probablement pas vraiment en efficacité, juste en confort.
Au final, je vais retourner à Linux. Windows 8 ne m’apporte rien de vraiment intéressant. L’interface et les « apps » ne me donnent vraiment rien de plus. Le design du X1 Carbon est aussi en cause… Comme l’écran ne se retourne pas complètement pour venir se refermer sur mon clavier comme sur mon « tablet PC » précédent, on ne peut pas travailler aussi facilement exclusivement sur l’écran. De plus, l’absence de stylet nuit à la précision et nécessite des applications pensées spécifiquement pour une tablette ou pour Windows 8. J’ai donc un superbe ultrabook, mais il ne remplacera pas totalement mon « tablet PC ».
Pourquoi Linux plutôt que Windows 7?
C’est une question un peu compliquée. Impossible de répondre rapidement… Peut-être dans un autre billet. En gros, disons que c’est d’abord une question de valeur. Les valeurs qui sont à la base du mouvement du libre correspondent aux miennes, à celles de la société québécoise (même si on l’ignore souvent!) et surtout à celles qui sont à la base de notre système éducatif. C’est ensuite une question économique. En utilisant des logiciels libres et presque toujours gratuits, je peux avoir les mêmes logiciels sur tout mes ordinateurs sans enfreindre aucune loi et sans engendrer de coûts supplémentaires pour moi et ma famille. J’ai écrit
Après une première année avec deux groupes, le projet « tablette » prend de l’ampleur au Séminaire de Chicoutimi. Il y aura 11 groupes tablettes l’an prochain. Plusieurs enseignants auront donc devant eux des étudiants avec un iPad dès la rentrée de septembre. Cette situation n’est cependant pas unique au Séminaire. C’est le cas un peu partout dans la région et la province. J’ai décidé de satisfaire à la demande des enseignants du Séminaire et de réunir des informations concernant les applications que l’on peut utiliser au secondaire. Voici d’abord les applications que les enseignants de la première année du projet ont utilisées. En anglais, l’enseignante a d’abord utilisé des services Web gratuit pour créer des exercices en ligne auxquels les étudiants pouvaient aller répondre. Elle a aussi testé l’application E-Clicker pour élaborer un quiz, mais elle a rencontré quelques difficultés. Elle nous recommande ensuite keynote pour soutenir des présentation par l’enseignant ou les étudiants. En art dramatique, les étudiants ont utilisé Google Drive pour écrire leur pièce de théâtre et Keynote pour leur présentation et recherche sur Shakespeare. Au passage, j’ai aussi apprécié le jugement que Marina Corbis porte sur les MOOC. En y pensant, je crois elle a probablement raison. Les MOOC prennent de la place actuellement, mais ce n’est probablement rien en comparaison du potentiel disrupteur des appareils mobiles. Déjà, on s’inquiète de l’effet des MOOC sur nos universités et autres institutions. Je me demande quelle place le future décrit par Mme Corbis laisse réellement aux enseignants? Je découvre actuellement #Windows8… Je viens de le faire installer sur mon portable. Je trouvais que Windows 7 ne me permettait pas de profiter suffisamment du superbe écran tactile de mon Lenovo Carbon X1. Première impression? Je joue avec depuis 60 minutes et j’aime bien. Je suis surpris. Je ne croyais pas que c’était possible… (moi, aimé Windows!) Je crois que c’est parce que je me suis habitué à utiliser mes doigts avec ma tablette. (Une nexus 7!) Ça semble donc naturel de pousser les choses sur le côté avec un geste plutôt qu’avec la souris. Par contre, je me demande combien de temps ça va me prendre pour redevenir efficace. Est-ce même possible de devenir efficace sans sa souris? Le technicien qui a installé Windows 8 pour moi semble croire que non. J’ai hâte de découvrir jusqu’où Microsoft a poussé le développement de son interface. Ont-ils réussi à créer un environnement de travail tactile qui soit à la fois convivial tout en nous permettant d’effectuer nos tâches plus rapidement ou naturellement. Parce que si l’interaction et le travail devient plus naturel, ce serait déjà un gain énorme. On verra bien… Je me donne un mois. Pendant tout un mois je vais me passer de Linux sur mon portable. Comprenez-moi bien, je garde Linux sur toutes mes autres machines! Je ne crois pas que le jour soit venu où Windows redeviendra mon environnement de travail principal. Mais je vais l’essayer. Minimalement, ce mois de test me donnera le temps de développer les compétences requises pour offrir un peu de soutien à mes étudiants qui choisissent souvent Windows faute de savoir qu’ils ont d’autres options. Un mois, c’est long! Ça me fait un peu peur puisque je quitte pour la France lundi et que je vivrai une immersion complète. D’un autre côté, ce sera un bon test! À titre de sécurité, je crois que je vais peut-être tricher et partir avec une clé USB toute prête afin de démarrer mon ordinateur en Linux si jamais je panique ou j’ai un problème majeur… Fiouf! Ce n’est pas gagné d’avance… 🙂 Ajouter après quelques minutes… J’ai hâte de trouver comment on peut configurer l’écran principal.Des applications iPad pour le secondaire
Applications utilisées en 2012-2013
Anglais
Art dramatique
La classe disparaitra de l’équation éducative du futur
(Image par Marina Corbis (directrice exécutive de l’institut pour le futur et auteur de « The Nature of the Future » chez Simon & Schuster, avril 2013) envisage le rôle des appareils mobiles… Je vais garder un oeil ouvert l’an prochain et voir quels impacts cet outil mobile aura réellement sur le long terme. Déjà, nous avons noté un changement important au niveau de la collaboration. Je publierai d’ailleurs un article à ce sujet sur PédagoTIC dans quelques semaines… C’est un texte que j’ai écrit avec mes deux collègues pour un symposium en France.Découverte de Windows 8