Le Web 2.0

Le Web 2.0 est selon moi un outil maintenant indispensable en enseignement et dans la vie d’aujourd’hui où tout va trop vite. Dans la formation professionnelle nous devons de plus en plus développer nos enseignements en fonction de la génération C qui est déjà présente sur les bancs d’école, mais nous devons aussi tenir compte des personnes plus âgées (35-50) qui ont des connaissances plus limitées avec les nouvelles technologies. Les nouveaux apprenants de la génération C sont déjà habitués aux Web 2.0 avec leur téléphone intelligent tel le Iphone, en tant qu’enseignant, nous devrons adaptés nos enseignements à ces nouveaux appareils.

Les outils utilisés sont nombreux dans le Web 2.0, partage vidéo, comme Youtubes qui pourrait être utilisés pour présenter des techniques, de nouvelles notions ou bien même donner des enseignements théoriques à distances à certains étudiants plus éloignés. Les blogues exemple Blogger ou microblogues comme Twitter peuvent être utilisés, comme dans le présent cours, pour partager de l’information, des consignes ou simplement des travaux à faire au cours d’une session. Les réseautages sociaux tels que Facebook et Myspace peuvent être utilisés pour se créer une communauté par exemple : les étudiants en charpenterie-menuiserie 2010-2011. Dans cette communauté nous pouvons apprendre des choses sur les membres de notre communauté ou partager des fichiers, travaux, photos etc. La création collaborative de contenus, tel que Wikipédia est un élément qui pourrait dans le cadre de l’enseignement professionnelle se révéler très profitable pour un groupe d’enseignants, par exemple mettre en ligne des définissions de termes par rapport à un métier.
Dans le cadre de ce cours, j’ai appris des choses très intéressantes sur le Web 2.0, j’apprécie les fils RSS qui me permette de m’abonner sur les sites internet aux informations qui m’intéressent, su mon compte Google reader, par exemple les billets sur pédagotic. Au dernier cours, nous avons exploré les programmes offerts par Zoho, qui sont des programmes, qui ressemble aux programmes Microsoft, en version améliorée et surtout GRATUITE qui nous permettent en plus de travailler en ligne et en groupe.

Selon moi dans le Web 3.o, nous côtoierons des technologies qui seront basés sur la réalité virtuelle à l’aide de lunettes avec des petits écrans (comme le flop de Nintendo le Virtual Boy) avec interfaces aux mains à l’aide de gants et de clavier virtuel le tout combiné à des appareils intelligents sur un réseaux internet ultra rapide.

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Le Web 2.0…

Le Web 2.0, que de merveilleuses découvertes que je n’aurais jamais soupçonnée sans ce cours d’initiation aux technologies.

Tous les lundis soirs, trois questions me viennent en tête. Premièrement, à savoir ce qu’Internet va me dévoiler de nouveau cette semaine, deuxièmement, qu’est ce que cela m’apportera personnellement et troisièmement en quoi puis-je appliquer ceci à mon enseignement.

Lorsque nous avons abordé le sujet du Web 2.0, mon intérêt pour Internet a grandi. Au fil des cours, j’ai pu que constater qu’il y en avait pour tous les goûts. En découvrant certains sites comme par exemple Google Rider ou Zoho, j’ai pu voir les nombreux avantages de posséder un tel outil en enseignement. Je suis enchantée du site de Zoho qui à mes yeux est fabuleux pour créer ses propres diaporamas. Il n’est pas compliqué à utiliser à comparer à certains autres logiciels. Étant une enseignante qui fait beaucoup de montage en diaporama afin de rendre mes cours plus intéressants, le Zoho est rentré dans ma vie et n’en ressortira plus. En formation professionnelle option foresterie!

5 réflexions sur « Le Web 2.0… »

  1. Je suis tout à fait d’accord avec toi que zoho et googer resder sont des sites intéressant. Tout comme toi, ils ont été mon coup de coeur .
    Bye

  2. Je crois que le Web 2.0 va se pointer plus vite que tu le pense… J’ai déjà hâte de parler de l’apprentissage mobile (« mobile learning »). Dans votre domaine, ce sera un « must » très rapidement je crois!

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Le Web 2.0 c’est ça, selon moi.

Question sur le web 2.0
Pour débuter, j’ai pensé vous faire écouter une vidéo que j’ai produite avec la collaboration de Jérémy Bouchard. Jérémie est un ami de mon garçon Alexandre. Pourquoi l’ai-je choisi? Parce que c’est le seul parmi les membres de ma famille qui a su répondre à la question « Qu’est-ce que le Web 2.0? » Ce jeune homme a 19 ans et fait partit de la génération C. Celui-ci m’a beaucoup impressionné lorsque je lui ai posé la fameuse question. Je vais donc vous faire entendre la vidéo de Jérémie et sa façon à lui de voir le Web 2.0. De plus, il nous dira ce qu’il pense des TIC en formation professionnelle en ferblanterie/tôlerie à la formation professionnelle de la polyvalente de Jonquière à Saguenay.
Par la suite, j’ai demandé à mon garçon ce qu’il pensait du Web 2.0.
Il est en stage comme enseignant au préscolaire/primaire avec de jeunes étudiants de cinquième et sixième années à l’école Sainte-Marie Médiatrice. Certains font partie du début de la génération C.
Je voulais savoir s’il utilisait des technologies dans son enseignement au primaire. Je vais donc vous faire entendre la vidéo d’Alexandre sur les TIC au préscolaire/primaire. En plus, je vais vous proposer un lien qui devrait vous surprendre sur les nouvelles technologies dans les écoles primaires.

Ce que moi je sais sur le Web 2.0.
Au tout début, je n’avais aucune idée de ce que pouvait vouloir dire cette expression. Cependant, après avoir lu les documents et visiter les sites Internet qui nous ont été proposés par notre enseignant, je suis maintenant en mesure de vous en parler un peu plus. Pour moi, le Web 2.0 permet de tout savoir et de tout faire en un seul clic de souris, et ce, même si nous ne faisons pas partie de la génération C. Comme le dit si bien Michel Serres(2007) « Les nouvelles technologies nous ont condamnés à devenir intelligents [Mario Asselin|Ce qui fait dire au philosophe Michel Serres (2007) que « Les nouvelles technologies nous ont condamnés à devenir intelligents !»|fr] page 1. Je suis bien d’accord avec lui à ce sujet. Je clavarde sur Facebook ou sur MSN et partage des photos avec mes contacts. Je cherche de l’information sur le Web, j’écris des textes surMicrosoft Office World, et réponds à des messages instantanés. Cette partie du Web est relativement facile pour la majorité des gens de mon âge. Depuis tout récemment, j’essaie d’utiliser un outil qui fait partit du Web 2.0, soit « Twitter». J’ai bien l’intention de m’en servir jusqu’au __Web 3.0après l’avoir bien maîtrisé. Je ne savais pas que tous ces outils pouvaient faire partie du Web 2.0. Pour ma part, je considère que la facilité de faire des recherches sur les plateformes Internet m’aide de plus en plus dans mon apprentissage personnel. Si j’avais à chercher dans les livres comme par le passé, je ne pourrais sans doute pas trouver toutes ces données, dans l’immédiat.

Est-ce que le Web 2.0 va changer ma façon d’enseigner?

Comme le dit si bien mon garçon,

notre façon d’enseigner doit évoluer et c’est pour nous une nécessité de s’intégrer dans ce monde qui fonctionne autrement et qui est de plus en plus
informé.

Il conclu en disant,

que même s’il y a beaucoup d’information qui circule sur le Web, la plus part des étudiants ont besoins d’un enseignant qui contrôle et gère la bonne information. Le Web 2.0 n’intervient pas, selon lui, dans l’acte d’enseigner.

Quant à moi, je vais certainement changer ma façon d’enseigner.
Je vais sûrement m’intéresser aux nouvelles technologies, notamment « Pédagotic» un outil qui utilise une approche intéressante.

  • Je vais intégrer les ordinateurs un peu plus régulièrement en classe pour créer un style d’apprentissage par découverte.
  • J’utiliserai le courrier électronique qui me semble plus facile et pratique ou un blogue pour échanger de l’information avec mes étudiants.
  • Je prônerai l’utilisation de sites Internet pour accéder à l’information sur un sujet relié au module.
  • J’utiliserai des logiciels ou des cédéroms qui contiennent des démonstrations comme la technique d’affûtage de couteaux ou de dépeçage de pièces de boeuf.
  • Je proposerai certaines expérimentation et je les accompagnerai constamment d’un ordinateur avec des graphiques ou des présentations « PowerPoint».
  • Je crois que la tenue d’un journal de bord obligera les étudiants à écrire sur une base régulière.
  • J’Intégrerai « Etherpad », car j’ai bien aimé la façon de travailler en équipe et je leur apprendrai à l’utiliser de façon stratégique. J’ai trouvé l’emploi de cet outil relativement facile à comprendre et surtout pratique.

Dans mon enseignement en boucherie de détail au centre de formation d’Arvida à Saguenay les étudiants qui suivront mon cours seront âgés environ de 17 à 45 ans et même plus. Au professionnel, nous accueillons des étudiants qui ont parfois été incarcérés ou possède des casiers judiciaires et des étudiants qui ont aussi beaucoup de bagage professionnels. Par contre, ils faut être conscient que certains n’ont pas la chance d’avoir de cellulaire ou même un ordinateur personnel, par manque d’argent. J’ai même vu, pendant mon stage, un jeune étudiant qui n’avait pas mangé depuis cinq jours et qui ne pouvait pas se concentrer sur son examen. J’aurai à enseigner un style d’apprentissage diversifié qui ira chercher l’intérêt des élèves et saura les motiver. Comme enseignante, je devrai intégrer différents outils en me servant des étudiants qui ont plus de facilité à manipuler ces technologies comme modèle.

La nétiquette et le plagiat.
Mme Sandra Coulombe, professeur à l’Université de Chicoutimi, nous a toujours défendu de faire du plagiat dans nos devoirs personnels. Je pense que les droits d’auteur ont toujours été respectés par la majorité de mes collègues de classe. J’en ai tout de même fait moi-même en utilisant des images sur Google. Jusqu’alors, je croyais que l’utilisation d’images était complètement différente de l’utilisation de textes. L’intégration des technologies incite parfois les étudiants au plagiat. Le « copier-coller » et la réutilisation de travaux existants est aussi une réalité à laquelle il faut porter attention. Le cours que je suis en ce moment m’a fait bien comprendre ce qu’est le plagiat ou la nétiquette sur les Blogues. Je promet, de transmettre ce que mes enseignants m’ont appris sur les droits des auteurs jusqu’à maintenant.

9 réflexions sur « Le Web 2.0 c’est ça, selon moi. »

  1. Merci de ton commentaire. J’ai bien aimé faire cet interview et connaître les différentes technologies qui existent dans les centres de formation professionnel. Merci encore. Marie

  2. Bravo pour le partage, tu peux intégrer des vidéo dans ton billet.
    En cliquant sur média externe,
    puis copie l’URL de ton vidéo,
    le tour est joué….

  3. Merci jasselin, mais il y a déjà deux vidéos dans mon billet. Vas les lires! Merci de ton commentaire j’en ai arraché sur la façon de l’introduire dans mon billet. Bye Marie

  4. Attention, il y a une nuance importante entre l’information disponible sur le Web et le savoir que tu construis grâce à cette information. C’est à cette distinction entre le processus d’apprentissage et l’information que ton fils tentait probablement de faire référence. Le Web 2.0 ne te donne ainsi pas accès à du savoir…

    Je crois que tu devrais reconsidérer le commentaire de jasselin qui t’expliquait que tu pouvais afficher les vidéos directement dans la page de ton billet.

  5. Allo jasselin!
    Je n’avais pas compris la manière d’afficher la vidéo directement sur mon billet. Moi je l’ai fait avec un lien vers youtube. Maintenant, grâce à Patrick, je viens de comprendre la façon que tu voulais que j’insère ma vidéo dans mon commentaire. Je m’excuse, gros comme la terre, de ne pas t’avoir comprise. Merci de l’aide et j’espère que je n’ai pas été trop méchante. Bisou Marie,

  6. Allo jasselin!
    Je n’avais pas compris la manière d’afficher la vidéo directement sur mon billet. Moi je l’ai fait avec un lien vers youtube. Maintenant, grâce à Patrick, je viens de comprendre la façon que tu voulais que j’insère ma vidéo dans mon commentaire. Je m’excuse, gros comme la terre, de ne pas t’avoir comprise. Merci de l’aide et j’espère que je n’ai pas été trop méchante. Bisou Marie,

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Le Web 2.0

Nous sommes maintenant à l’ère du Web 2.0, cet ensemble de données technologiques! L’informatique est devenu un Vidéo».

La liberté d’expression de ce nouveau concept me permet même de recevoir des renseignements, avec la découverte récente, lors de mon cours d’initiation aux technologies éducatives, du fil RSS, je peux maintenant recevoir des informations structurées en ce qui concerne la coiffure. Les blogs, les accessoires actuels, les dernières tendances, envoyées avec les nouvelles mises à jour récentes. Nous sommes tous à la recherche de sources d’information les plus pertinentes! Répondre aux besoins de communication de l’entreprise avec des sites web c’est merveilleux mais je pense sincèrement que l’apprivoisement prend du temps et la mise en place est souvent longue et difficile! Je crois que les principaux événements tournent autour de la qualité du web, Twitter me permet donc d’échanger avec des personnes en relation avec les mêmes intérêts. En effet le Web 2.0 est pour ma part plus actif et interactif puisque l’écriture est en action, comparativement au Web 1.0 qui demeurait plus passif.

En ce qui concerne la gestion de mon entreprise, les TIC procurent beaucoup davantages! Avec le logiciel Simple Comptable 2010, la préparation des factures, chèques, rapports, l’Impôt fédéral et provincial et la gestion de produits. De plus le nouveau logiciel a fait l’ajout de nouvelles fonctions, donc le transfert de RE (relevé d’emplois) vers le RE Web de DRH. Par conte au niveau du C.F.P en coiffure la situation est différente! La rareté d’acquisition d’ordinateurs pour les élèves est réelle. De ce fait, les avantages du Web 2.0 est beaucoup moins efficace! De plus grâce au Web 2.0 le cours 3TLE108 à Saint-Félicien devient agréablement interactif. Tout compte fait, dans l’avenir je peux dire en route vers l’expansion du cerveau, le Web 3.0!

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Le WEB 2.0

Le Web 2.0. Qu’est-ce que ça permet?

Le Web 2.0 est défini comme de l’informatique sociale qui offre divers services. J’en ai retenu trois : le microblogage, la cyberconférence et la création collaborative de contenus.

Pour ma part, j’avoue bien humblement que je suis loin d’être un grand utilisateur des nouvelles technologies. Après le téléphone cellulaire, j’ai apprivoisé l’ordinateur (le courriel surtout) et un peu la recherche sur Internet. Je n’ai pas encore exploré les réseaux tels Facebook ou même chatté sur MSN. Mais avec ce cours universitaire, je découvre davantage de possibilités que je pourrais exploiter dans la salle de classe avec les élèves et aussi, avec mon groupe d’enseignants de  »Protection et exploitation du territoire faunique ».

Dans le 3e texte de Mario Asselin sur le thème 3, je me reconnais parfaitement lorsqu’il écrit : « On se retrouve peut-être pour la première fois devant un phénomène pour lequel nous avons peu d’expertise (…) Pas étonnant qu’en majorité, les professionnels de l’enseignement, les conseillers pédagogiques et les cadres scolaires ne s’aventurent pas très rapidement sur l’autoroute de l’information; les besoins de formation et d’information préalables balisant leurs ardeurs et freinant parfois leurs ambitions. »

Toutefois, à la lecture du billet de mon ami Claude, j’ai été inspiré par son expérience avec Twitter et je pense demander au spécialiste en technologie de mon école de créer un compte Twitter pour former une communauté des guides dans les parcs, SÉPAQ, pourvoiries et autres. Il nous serait ainsi possible d’échanger des informations intéressantes sur les réalités vécues dans les divers lieux de villégiature, de chasse et/ou de pêche. Ce serait ma première expérience avec le microblogage.

On pourrait aussi former un réseau entre enseignants du programme qui sont peu nombreux dans le domaine de la protection et de l’exploitation du territoire faunique. On pourrait ainsi échanger des informations, des ressources et partager nos expériences.

Comme je suis responsable du placement des élèves en milieu de travail et les employeurs sont dispersés sur un très large territoire, je pourrais également établir un réseau avec les entreprises qui offrent des stages de formation pour nos élèves. Cela pourrait faciliter les communications et le suivi des stagiaires.

Je suis très conscient que tout ce réseautage demande du temps. Je suis sûr qu’il faut nommer un responsable pour chacun des comptes Twitter si on veut qu’il fonctionne…

Mais j’ai beaucoup accroché sur le fait que l’« on peut ramener à trois les principales dispositions ou attitudes qu’implique l’édification d’une communauté d’apprentissage : l’attention, le dialogue et l’entraide… et « Parce qu’ils croient à certaines valeurs et se sont donnés une mission, les membres d’une communauté d’apprentissage possèdent « un esprit de loyauté, de camaraderie et de collégialité qui crée un lien commun entre eux » (voir Myers, 1996, p. 3). » Pour des élèves ou des entreprises, ce sont de bonnes dispositions à promouvoir. Dans tous les milieux de travail, ces attitudes sont privilégiées, principalement dans le milieu faunique.

Toutefois dans notre domaine, la technologie a ses limites. Comme je l’ai mentionné dans un billet précédent et comme le soulignait Jean-François Simard dans un de ses billets, du fait que l’on travaille souvent en régions éloignées, voire isolées, il nous est parfois impossible d’avoir accès à un réseau cellulaire ou Internet et se brancher. Lorsque l’on chasse l’ours ou l’orignal, on transporte rarement notre portable avec nous! Mais comme le réseau se développe de plus en plus et que l’on installe des antennes un peu partout, le problème sera peut-être réglé d’ici quelques années.

Les technologies ne sont donc pas une panacée. Cela ne va faciliter tous les apprentissages ou toutes les communications, ou encore fournir une réponse à tout à tout instant. D’après les textes lus, on constate surtout que le réseautage permet de s’ouvrir sur le monde : d’échanger et de partager des connaissances avec des personnes qui ont les mêmes intérêts, ce qui n’est jamais négligeable.

Étant donné que l’on travaille en collaboration avec le Cégep de Saint-Félicien pour le cours de Protection et exploitation du territoire faunique, il serait possible d’envisager de faire des cyberconférences pour offrir de la formation. Comme il est difficile de trouver des enseignants spécialisés dans des domaines très particuliers (ex. formateur en propane ou en énergie solaire), certaines parties du cours pourraient se donner par cyberconférence. Cependant, comme il y a toujours une partie technique à nos cours que ce soit le tir à la carabine, le piégeage, la coupe de bois, le débroussaillage, le dépeçage de bêtes sauvages, etc., la technologie ne pourrait seulement combler en partie nos besoins.

Dans un des articles à lire, on mentionne d’ailleurs les limites que l’on peut rencontrer avec les technologies : « Dans son article sur les TIC, Monsieur Jobin dénonce l’acquisition très lente des élèves et étudiants des compétences reliés aux technologies de l’information et de la communication. Bien que dans un premier temps, il explique les causes de la mauvaise utilisation des technologies, ces causes mêmes qui justifient son défaitiste à l’égard des TIC et de la pédagogie, il convient pourtant que la technologie est très utile dans notre société.» En forêt cependant, on dépend beaucoup de plus de ses habiletés physiques et mentales pour s’adapter aux contextes particuliers de la vie en pleine nature que de ses connaissances technologiques.

Il est certain que la recherche sur Internet peut permettre aux élèves de compléter leurs connaissances (de la faune et de la flore, par exemple) et de réutiliser ces connaissances dans leur milieu de travail. De ce côté, je pousse mes élèves à faire des recherches complémentaires sur Internet pour aller plus loin dans leur apprentissage. Je peux me rendre compte qu’ils sont attirés par la navigation sur le WEB et qu’il dépasse facilement leur maître dans ce domaine!

L’idée de participer à une grande encyclopédie Internet telle que WIKIPÉDIA me semble plein de potentiel. Lorsque l’on a discuté en cours et que j’ai lu que « dans une page wiki, on travaille tous dans le même espace Web, la dernière personne de passage pouvant modifier, voire effacer, ce que la personne précédente avait pu enregistrer. Les systèmes de gestion de contenu de type wiki (des dispositifs avec lesquels on peut facilement produire et gérer du contenu en vue de le diffuser sur Internet) sont aussi au cœur de la nouvelle dynamique des apprenants », j’ai tout de suite aimé cette idée.
Je crois que je vais inviter mes élèves à compléter certaines informations en rapportant des découvertes faites sur le terrain. Par exemple, ils pourraient ajouter des détails sur la vie de l’ours noir s’ils ont découvert des faits pertinents observés en forêt. L’idée d’une création collaborative de contenus me semble très stimulante.

J’aurai besoin d’aide pour explorer ces nouvelles voies. Je sais que je peux apprendre en même temps que mes élèves et qu’ils seront sûrement prêts à m’aider ainsi que mes collègues de travail. Je constate que les technologies sont incontournables et comme le WEB 2.0 offrent des options intéressantes pour enseigner et communiquer, je peux bien essayer de faire un pas de plus dans le monde technologique et profiter des bons côtés de la chose!

_Textes de référence_ :
• Thème 1 – L’utilisation de contenus numériques pour l’enseignement et l’apprentissage par Johanne Rocheleau
• Thème 3 – L’apprenant comme participant à la construction de contenu par Mario Asselin

Hyperliens visités :

http://www.tact.fse.ulaval.ca/fr/html/prj-7.1/commune3.html

http://sbrousseau.wordpress.com/2009/05/06/twitter-comme-levier-de-changement-a-sa-pratiquepedagogique/

Une réflexion sur « Le WEB 2.0 »

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