Karine Côté, Ph.D.

Professeur de psychologie au département des Sciences de la santé

 

 

 

 

 

Dr Karine Côté, Ph.D., psychologue, est professeur agrégé au Département des sciences de la santé à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle a été directeur du programme de maîtrise et du programme de doctorat en psychologie pendant plusieurs années.

Elle a obtenu son Ph.D. en psychologie de l’Université de Montréal en mai 1999. Durant ses études graduées, elle a été récipiendaire des bourses de maîtrise et de doctorat des Fonds pour la Formation de Chercheurs et l’Aide à la Recherche (FCAR). Par la suite, elle a été chercheur boursier post-doctoral (FCAR et Forensic/Law and Mental Health Program) au Centre for Addiction and Mental Health (anciennement le Clarke Institute of Psychiatry) et University of Toronto de 1999 à 2002. Depuis juin 2002, elle est professeur en psychologie à l’Université du Québec à Chicoutimi.

Elle a enseigné aux trois cycles de formation universitaire : baccalauréat, maîtrise et doctorat. Sa tâche régulière d’enseignement est constituée de cours en psychologie clinique et de cours en recherche. Elle est psychologue et membre de l’Ordre des Psychologues du Québec depuis 1999. Elle est d’approche béhavioriale.

Actuellement, ses principaux travaux de recherche se regroupent en deux thèmes : 1)   La prostitution et l’exploitation sexuelle : Connaître les attitudes, les facteurs de risque, les besoins et l’efficacité des interventions pour mieux prévenir et intervenir; et 2) L’influence de la famille sur le développement : Le développement des personnes adoptées et l’effet de l’ordre de naissance sur le développement.

A ce jour, elle a travaillé avec des populations cliniques et non cliniques, institutionnalisées et non institutionnalisées, à travers le Canada : des femmes et des hommes qui offrent des services sexuels (v.g., prostitution de rue et hors rue), des hommes qui ont recours à des services sexuels (v.g.,  clients de prostitution), des agresseurs sexuels incarcérés (v.g., Services Correctionnels du Canada), des victimes d’agression sexuelle ou de violence conjugale, des sadomasochistes, des personnes qui ont été adoptées et des membres de la population générale.  Elle a travaillé auprès de populations de différents âges (adolescents, adultes), de différentes langues et de différentes origines immigrantes ou ethniques. Plusieurs ont subi des traumas complexes.

Crédit photo : Rocket Lavoie