C’est après avoir fait un retour aux études à 27 ans que Mathieu Tremblay, finissant au baccalauréat en géographie, a décidé de terminer ses études en beauté en effectuant son dernier trimestre à l’Université de Grenoble Alpes, en France.
« Le système d’éducation français demande un temps d’adaptation, mais j’aime beaucoup les cours là-bas, ils sont très intéressants. J’apprécie aussi la bouffe française offerte sur le campus, qui est délicieuse et très abordable ! » affirme l’étudiant.
Sur la photo à la une, on peut apercevoir l’étudiant sur l’Alpe du Grand Serre, lors de son actuel séjour d’études. Amateur de ski, sa passion pour les activités hivernales est d’ailleurs l’une des motivations qui l’ont amené à choisir l’UQAC pour son projet d’études :
« J’aime le territoire sur lequel se trouve l’université. Le Saguenay est un paradis du ski en hiver et de la baignade en été. Pendant mes études universitaires, je voulais pouvoir faire du ski le matin avant d’aller à mon cours de 13 h, ce que j’ai fait durant tout mon baccalauréat ».
Dans un même ordre d’idée, son séjour à l’étranger lui permet d’explorer les montagnes françaises tout en terminant son parcours d’études.
Intéressé par la complémentarité des dimensions humaine et physique de la géographie, Mathieu apprécie particulièrement l’approche multidisciplinaire qui caractérise les cours offerts dans son programme d’études :
« Que ce soit par la géographie physique, la géographie humaine, la géopolitique ou l’étude du climat, la géographie amène une approche pertinente, par le territoire, pour mieux saisir les nombreux enjeux de notre époque », explique l’étudiant.
En travaillant deux étés au Laboratoire d’expertise et de recherche en géographie appliquée (LERGA) avec le professeur Maxime Boivin, Mathieu a eu l’occasion de s’impliquer dans des projets stimulants et d’acquérir de l’expérience en recherche et en études géographique des rivières.
« En plus des cours, l’UQAC nous offre la possibilité de participer à des projets stimulants, que ce soit de travailler dans un laboratoire de recherche, de faire un séjour à l’extérieur, ou même de participer à un projet de coopération internationale comme l’a fait une amie! »