La parole autochtone, plurielle, forte et fière de traditions millénaires, demeure méconnue parmi les allochtones.
Notre chaire de recherche vise à étudier comment cette parole a été tour à tour, depuis les tout premiers contacts, déformée, détournée, étouffée, jusqu’à ce qu’elle soit réappropriée, dès lors que les Premiers Peuples ont entrepris d’investir les scènes politique et littéraire contemporaines.
Il s’agit pour nous de contribuer à la connaissance, à la revitalisation et à la promotion des diverses voix autochtones, en cherchant à en déterminer les particularités rhétoriques, linguistiques et historiques, et pourquoi on se refuse, dans certaines circonstances, à les entendre.